À moins de trois semaines du scrutin, Essy Amara a fortement dénoncé le processus électoral. Dans une lettre ouverte publiée mardi soir sur son compte
Facebook, l'ancien ministre des Affaires étrangères, figure du PDCI, dit ne pas vouloir se « porter caution d'une combine électorale », et préfère suspendre sa participation.
C'est en dénonçant les conditions dans lesquelles doit se tenir l'élection présidentielle qu’Essy Amara explique suspendre sa participation au processus électoral. Ce scrutin ne s'annonce, je cite, « ni ouvert, ni régulier », écrit l'ancien ministre des Affaires étrangères.
Une figure du PDCI qui, il y a quelques mois, s'était déclaré candidat, allant à l'encontre de la ligne du président de son parti. L'ancien diplomate fustige une élection arrangée. « Les conditions d'un scrutin transparent et équitable ne sont pas réunies », estime-t-il.
Dans cette longue lettre ouverte publiée sur son compte Facebook, Essy Amara dit ne pas vouloir « légitimer le président sortant », qu'il estime « sourd aux revendications démocratiques ». Une charge contre le pouvoir et une décision annoncée à seulement trois jours de l'ouverture de la campagne officielle pour l'élection présidentielle.
Facebook, l'ancien ministre des Affaires étrangères, figure du PDCI, dit ne pas vouloir se « porter caution d'une combine électorale », et préfère suspendre sa participation.
C'est en dénonçant les conditions dans lesquelles doit se tenir l'élection présidentielle qu’Essy Amara explique suspendre sa participation au processus électoral. Ce scrutin ne s'annonce, je cite, « ni ouvert, ni régulier », écrit l'ancien ministre des Affaires étrangères.
Une figure du PDCI qui, il y a quelques mois, s'était déclaré candidat, allant à l'encontre de la ligne du président de son parti. L'ancien diplomate fustige une élection arrangée. « Les conditions d'un scrutin transparent et équitable ne sont pas réunies », estime-t-il.
Dans cette longue lettre ouverte publiée sur son compte Facebook, Essy Amara dit ne pas vouloir « légitimer le président sortant », qu'il estime « sourd aux revendications démocratiques ». Une charge contre le pouvoir et une décision annoncée à seulement trois jours de l'ouverture de la campagne officielle pour l'élection présidentielle.
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