Pour le Premier Ministre DIONE, la grande réussite de Macky Sall opposant et Macky Sall Président de la République, est de concilier la constance, la cohérence et l’équilibre. Ces trois postulats théorisés par le Premier Ministre Mouhamad Boun Abdallah Dionne lors du Rendez-vous Républicain de la CCR le 09/01 /2016 à Saly, sonnent comme une sorte de propédeutique à l’élévation et à la réussite. Dans la vision du Premier Ministre Dionne, Macky Sall est un des archétypes pour la société sénégalaise de demain que tout le monde appelle de ses vœux. Voilà un exemple de fidélité et de loyauté, là où beaucoup d’hommes politiques ont succombé aux vicissitudes d’un agenda politique caché, Mouhamad Dione lui a choisi la loyauté, l’efficacité et la discrétion. Dans ses interventions aussi bien publiques que privées, on sent nettement chez lui, une parfaite maitrise de l’action gouvernementale, les perspectives à donner à chaque secteur, le contenu des réformes à y exécuter. Mieux, Mouhammad Dione met beaucoup de pédagogie pour sublimer l’ambition et les talents de son « champion » comme il surnomme affectueusement le Président de la République.
La constance :
Parmi les constats qui peuvent subséquemment se dégager, dans la pratique politique du Président Sall, son P.M relève deux éléments significatifs qui semblent mériter une attention particulière. Le premier, c'est sa constance de l'option résolue et inébranlable pour la forme républicaine de notre Etat, constance qui a créé les conditions d'une consolidation progressive des mécanismes et pratiques correspondants, tout au long des péripéties de notre évolution institutionnelle. Le second constat est celui de l'existence des garanties solides pour la poursuite du fonctionnement normal et régulier de nos institutions républicaines, conformément aux dispositions de notre Loi Fondamentale, dans la perspective des échéances et défis futurs pour notre. C’est pourquoi le Premier Ministre, ne manque pas de relever que de la déclaration du 1 er janvier 2008, coïncidant à la création de sa formation politique à son accession au pouvoir, Macky Sall a fait preuve d’une constance, qui tranche nettement avec l’empressement et la grande cupidité avec lesquels beaucoup d’acteurs politiques convoitent le pouvoir en brûlant toutes les étapes et en sacrifiant le culte du travail et de la persévérance sur l’autel de la démagogie; bref, Dione nous enseigne que « son champion a su être là lorsqu’il le fallait et faire ce qu’il fallait comme il le fallait ». Aujourd’hui, absolument parlant, le Président de la République a pris toutes ses responsabilités et les a assumées avec constance et fermeté à propos du Référendum du 20/03/2016. C’est cela la vraie responsabilité : être apte, au nom de certaines valeurs supérieures, à renoncer à des choses auxquelles sa liberté donne pourtant droit comme la diminution de son mandat.
Le 18 février 2016 au King FADH Palace, le Premier Ministre, en parlant de la décision du Conseil Constitutionnel dit que « le Président de la République donne une formidable leçon de constance dans ses options politiques, d’éthique et de déontologie adressée à la classe politique en matière de respect de la parole donnée : son engagement de réduire son mandat de 5 à 7 ans une fois élu, a été respecté jusqu’aux frontières du droit malgré le tumulte politique installé par ses adversaires ». Le candidat Macky Sall, s’était engagé durant la campagne électorale à réduire le mandat de sept à cinq ans s’il avait la confiance des Sénégalais. Cet engagement, Macky Sall, Président de la République l’a réitéré à plusieurs occasions et ce fut une sorte de rupture épistémologique. Pour autant, sur le plan juridique, on ne peut rien reprocher au Président par rapport à son engagement dès lors qu’il a respecté, conformément aux dispositions constitutionnelles, les mécanismes, instruments et procédures prévus par l’Etat de droit, en s’inscrivant dans la trajectoire des leaders respectueux des délibérations des institutions républicaines.
Si jamais il y a eu dans l’histoire politique sénégalaise un conflit entre ce que le sociologue allemand Max Weber appelle l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité, cela pourrait être cette situation dans laquelle s’est installée Macky Sall, préoccupé qu’il est pour le respect de sa parole donnée. Pour réaliser un tel pari, le Président Sall s’est appuyé sur sa loyauté et son attachement exemplaires à la forme républicaine de notre Etat. Au chapitre de la personnalité intrinsèque du Président de la République, il faudrait ajouter sur la base de la réflexion du Premier Ministre ; le primat du sens de l'Etat et de la promotion de l'éthique républicaine. Les choix de comportements personnels du Président de la République et la vigilance observée dans le pilotage et la gestion des importants dossiers de l'Etat, combinés avec les décisions prises subséquemment, peuvent illustrer, à l'envie, cette dimension particulière de la personnalité du Président Sall. L’autre constat observé dans la constance du Président Sall, a trait à la progression sensible de la « culture du consensus politique ». Depuis son arrivée au pouvoir, ce constat peut être illustré à travers le « power sharing spirit» ou « gagner ensemble, gouverner ensemble », c'est-à-dire l'esprit de partage du pouvoir au sein des structures politiques, économiques et sociales existantes. .
La cohérence :
Il est clair qu’après cinq années de vie constitutionnelles et au regard de notre droit positif et de notre système de gouvernance qu’on ne peut promouvoir la posture d'une République moderne et démocratique sans un recentrage de l’Etat autour de ses missions régaliennes et la consolidation de l’Etat de droit. C’est pourquoi, le Président Macky Sall a en parfaite cohérence avec le fondement de la nouvelle politique de gouvernance, assumé une position de principe allant dans le sens de promouvoir des réformes visant à moderniser les partis politiques (Point-1), à renforcer la bonne gouvernance (Points-3,9) ainsi qu’à consolider l’Etat de droit et la démocratie (Points-1, 2, 4, 6,7…15). En positionnant son action dans cette perspective, le Président Sall donne la preuve qu’il a su lire les exigences de l’heure et s’est inscrit dans la trajectoire de l’histoire à travers des mesures fortes et salutaires :
La position du Président Sall par rapport au dialogue et à la concertation est cohérente et émane de sa détermination à développer notre pays, à enraciner l'exercice de la démocratie et à faire participer les acteurs politiques nationaux à la gestion des affaires publiques. C’est dans ce contexte que le Président de la République a signé le décret n° 2013-730 du 28 mai 2013 portant création de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI). Cette dernière était chargée de mener des concertations sur la réforme des institutions et à formuler toutes propositions visant à améliorer leur fonctionnement, à consolider la démocratie, à approfondir l’Etat de droit et à moderniser le régime politique. Pour bien saisir les enjeux soulevés par les nouvelles orientations définies dans l’avant-projet de Constitution de la CNRI, il faudrait d’abord situer la dynamique qui a été l’origine d’un long processus ayant débouché sur le lancement des assises nationales en juin 2008, suivi par la deuxième alternance démocratique survenue en Mars 2012, en passant par les événements tragiques du 23 Juin, et la campagne électorale chaotique de 2012 à cause du forcing d’Abdoulaye Wade pour un troisième mandat. C’est dire que tout est lié dans la gouvernance du Président Macky Sall. Cette cohérence, mise en exergue par son Premier Ministre est ontologiquement liée aux perspectives porteuses pour la démocratie sénégalaise. Au regard des changements espérés avec le projet de révision constitutionnelle qui sera soumis au peuple, des perspectives d'un fonctionnement continu et régulier des institutions républicaines de notre pays nous semblent, à la fois, réelles et réalistes,
L’équilibre :
L'existence d’un véritable équilibre est constatée par le Premier Ministre Dione dans l’agenda social du Président Sall. D'importants repères confirment l'existence d'une programmation, dans le temps, des actions entreprises par le Président de la République, dans une perspective de bilan, à bonne échéance, devant l'Histoire et la Nation tout entière. Ils peuvent être identifiés essentiellement dans la « Profession de foi » développée lors des campagnes électorales de 2012 à travers le « Yonou Yokouté », autant que dans de nombreuses et importantes décisions prises par lui, au cours de ces dernières années. Déjà, dans cedit programme soumis à la sanction du peuple en 2012, le candidat Macky Sall faisait valoir : « Je m’engage à lutter contre les inégalités, la vulnérabilité et l’exclusion sociale, à travers une protection sociale intégrée, à favoriser l’éducation des enfants, et à permettre aux familles de mieux vivre ». Dans un univers social où le citoyen est non seulement confronté à des difficultés économiques, mais est aussi angoissé par un cycle de troubles et d’incertitudes, la notion de développement est hypothétique. Tout développement qui ne fait pas de l’humain sa raison et sa cible est non seulement voué à l’échec, mais est tout simplement antidémocratique. La politique sociale du Président SALL est distributive des fruits de la croissance. En réfléchissant sur son sens et sa portée, la Bourses de Sécurité Familiale, la couverture maladie universelle, la bonification retraite et les cartes d’égalité des chances pour les handicapés, peuvent parfaitement être intégrées dans le registre de ces actions humaines de Macky SALL dont parle le P.M, comme une nouvelle forme de distribution équilibrée de la croissance. Sous ce rapport, le libéralisme social qui sous-tend cette politique sociale est révolutionnaire dans un contexte de crise mondial. L’économie mondiale est en crise et partout il y a de la fureur et du bruit. « Que faire?». C’est la question qui taraude donc tous les esprits d’ici et d’ailleurs et pendant ce temps au Sénégal, un petit pays aux ressources quasi insignifiantes a ouvert depuis quelques années, une voie originale pour un libéralisme distributif performant et à visage humain. Normal donc que le Sénégal sous Macky Sall atteigne légitimement une croissance de 6,5°/.
Constance, cohérence, équilibre : à bon entendeur salut !
Pape Abdoulaye KHOUMA
Conseiller Spécial/Primature
Dakar
La constance :
Parmi les constats qui peuvent subséquemment se dégager, dans la pratique politique du Président Sall, son P.M relève deux éléments significatifs qui semblent mériter une attention particulière. Le premier, c'est sa constance de l'option résolue et inébranlable pour la forme républicaine de notre Etat, constance qui a créé les conditions d'une consolidation progressive des mécanismes et pratiques correspondants, tout au long des péripéties de notre évolution institutionnelle. Le second constat est celui de l'existence des garanties solides pour la poursuite du fonctionnement normal et régulier de nos institutions républicaines, conformément aux dispositions de notre Loi Fondamentale, dans la perspective des échéances et défis futurs pour notre. C’est pourquoi le Premier Ministre, ne manque pas de relever que de la déclaration du 1 er janvier 2008, coïncidant à la création de sa formation politique à son accession au pouvoir, Macky Sall a fait preuve d’une constance, qui tranche nettement avec l’empressement et la grande cupidité avec lesquels beaucoup d’acteurs politiques convoitent le pouvoir en brûlant toutes les étapes et en sacrifiant le culte du travail et de la persévérance sur l’autel de la démagogie; bref, Dione nous enseigne que « son champion a su être là lorsqu’il le fallait et faire ce qu’il fallait comme il le fallait ». Aujourd’hui, absolument parlant, le Président de la République a pris toutes ses responsabilités et les a assumées avec constance et fermeté à propos du Référendum du 20/03/2016. C’est cela la vraie responsabilité : être apte, au nom de certaines valeurs supérieures, à renoncer à des choses auxquelles sa liberté donne pourtant droit comme la diminution de son mandat.
Le 18 février 2016 au King FADH Palace, le Premier Ministre, en parlant de la décision du Conseil Constitutionnel dit que « le Président de la République donne une formidable leçon de constance dans ses options politiques, d’éthique et de déontologie adressée à la classe politique en matière de respect de la parole donnée : son engagement de réduire son mandat de 5 à 7 ans une fois élu, a été respecté jusqu’aux frontières du droit malgré le tumulte politique installé par ses adversaires ». Le candidat Macky Sall, s’était engagé durant la campagne électorale à réduire le mandat de sept à cinq ans s’il avait la confiance des Sénégalais. Cet engagement, Macky Sall, Président de la République l’a réitéré à plusieurs occasions et ce fut une sorte de rupture épistémologique. Pour autant, sur le plan juridique, on ne peut rien reprocher au Président par rapport à son engagement dès lors qu’il a respecté, conformément aux dispositions constitutionnelles, les mécanismes, instruments et procédures prévus par l’Etat de droit, en s’inscrivant dans la trajectoire des leaders respectueux des délibérations des institutions républicaines.
Si jamais il y a eu dans l’histoire politique sénégalaise un conflit entre ce que le sociologue allemand Max Weber appelle l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité, cela pourrait être cette situation dans laquelle s’est installée Macky Sall, préoccupé qu’il est pour le respect de sa parole donnée. Pour réaliser un tel pari, le Président Sall s’est appuyé sur sa loyauté et son attachement exemplaires à la forme républicaine de notre Etat. Au chapitre de la personnalité intrinsèque du Président de la République, il faudrait ajouter sur la base de la réflexion du Premier Ministre ; le primat du sens de l'Etat et de la promotion de l'éthique républicaine. Les choix de comportements personnels du Président de la République et la vigilance observée dans le pilotage et la gestion des importants dossiers de l'Etat, combinés avec les décisions prises subséquemment, peuvent illustrer, à l'envie, cette dimension particulière de la personnalité du Président Sall. L’autre constat observé dans la constance du Président Sall, a trait à la progression sensible de la « culture du consensus politique ». Depuis son arrivée au pouvoir, ce constat peut être illustré à travers le « power sharing spirit» ou « gagner ensemble, gouverner ensemble », c'est-à-dire l'esprit de partage du pouvoir au sein des structures politiques, économiques et sociales existantes. .
La cohérence :
Il est clair qu’après cinq années de vie constitutionnelles et au regard de notre droit positif et de notre système de gouvernance qu’on ne peut promouvoir la posture d'une République moderne et démocratique sans un recentrage de l’Etat autour de ses missions régaliennes et la consolidation de l’Etat de droit. C’est pourquoi, le Président Macky Sall a en parfaite cohérence avec le fondement de la nouvelle politique de gouvernance, assumé une position de principe allant dans le sens de promouvoir des réformes visant à moderniser les partis politiques (Point-1), à renforcer la bonne gouvernance (Points-3,9) ainsi qu’à consolider l’Etat de droit et la démocratie (Points-1, 2, 4, 6,7…15). En positionnant son action dans cette perspective, le Président Sall donne la preuve qu’il a su lire les exigences de l’heure et s’est inscrit dans la trajectoire de l’histoire à travers des mesures fortes et salutaires :
La position du Président Sall par rapport au dialogue et à la concertation est cohérente et émane de sa détermination à développer notre pays, à enraciner l'exercice de la démocratie et à faire participer les acteurs politiques nationaux à la gestion des affaires publiques. C’est dans ce contexte que le Président de la République a signé le décret n° 2013-730 du 28 mai 2013 portant création de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI). Cette dernière était chargée de mener des concertations sur la réforme des institutions et à formuler toutes propositions visant à améliorer leur fonctionnement, à consolider la démocratie, à approfondir l’Etat de droit et à moderniser le régime politique. Pour bien saisir les enjeux soulevés par les nouvelles orientations définies dans l’avant-projet de Constitution de la CNRI, il faudrait d’abord situer la dynamique qui a été l’origine d’un long processus ayant débouché sur le lancement des assises nationales en juin 2008, suivi par la deuxième alternance démocratique survenue en Mars 2012, en passant par les événements tragiques du 23 Juin, et la campagne électorale chaotique de 2012 à cause du forcing d’Abdoulaye Wade pour un troisième mandat. C’est dire que tout est lié dans la gouvernance du Président Macky Sall. Cette cohérence, mise en exergue par son Premier Ministre est ontologiquement liée aux perspectives porteuses pour la démocratie sénégalaise. Au regard des changements espérés avec le projet de révision constitutionnelle qui sera soumis au peuple, des perspectives d'un fonctionnement continu et régulier des institutions républicaines de notre pays nous semblent, à la fois, réelles et réalistes,
L’équilibre :
L'existence d’un véritable équilibre est constatée par le Premier Ministre Dione dans l’agenda social du Président Sall. D'importants repères confirment l'existence d'une programmation, dans le temps, des actions entreprises par le Président de la République, dans une perspective de bilan, à bonne échéance, devant l'Histoire et la Nation tout entière. Ils peuvent être identifiés essentiellement dans la « Profession de foi » développée lors des campagnes électorales de 2012 à travers le « Yonou Yokouté », autant que dans de nombreuses et importantes décisions prises par lui, au cours de ces dernières années. Déjà, dans cedit programme soumis à la sanction du peuple en 2012, le candidat Macky Sall faisait valoir : « Je m’engage à lutter contre les inégalités, la vulnérabilité et l’exclusion sociale, à travers une protection sociale intégrée, à favoriser l’éducation des enfants, et à permettre aux familles de mieux vivre ». Dans un univers social où le citoyen est non seulement confronté à des difficultés économiques, mais est aussi angoissé par un cycle de troubles et d’incertitudes, la notion de développement est hypothétique. Tout développement qui ne fait pas de l’humain sa raison et sa cible est non seulement voué à l’échec, mais est tout simplement antidémocratique. La politique sociale du Président SALL est distributive des fruits de la croissance. En réfléchissant sur son sens et sa portée, la Bourses de Sécurité Familiale, la couverture maladie universelle, la bonification retraite et les cartes d’égalité des chances pour les handicapés, peuvent parfaitement être intégrées dans le registre de ces actions humaines de Macky SALL dont parle le P.M, comme une nouvelle forme de distribution équilibrée de la croissance. Sous ce rapport, le libéralisme social qui sous-tend cette politique sociale est révolutionnaire dans un contexte de crise mondial. L’économie mondiale est en crise et partout il y a de la fureur et du bruit. « Que faire?». C’est la question qui taraude donc tous les esprits d’ici et d’ailleurs et pendant ce temps au Sénégal, un petit pays aux ressources quasi insignifiantes a ouvert depuis quelques années, une voie originale pour un libéralisme distributif performant et à visage humain. Normal donc que le Sénégal sous Macky Sall atteigne légitimement une croissance de 6,5°/.
Constance, cohérence, équilibre : à bon entendeur salut !
Pape Abdoulaye KHOUMA
Conseiller Spécial/Primature
Dakar