La Directrice générale du Font monétaire international (FMI), Mme Christine Lagarde, a rencontré les grandes écoles de formation au Sénégal ce samedi en fin de matinée.
La grande salle du Radisson Blu a été remplie d’étudiants, «futurs leaders», venus nombreux, des Ecoles de formation en gestion ou en management, notamment d’IAM, CESAG, ISM, BEM. Sup d’Eco, ENSAE, entre autres.
Ces étudiants ont tenu des échanges où diverses préoccupations sur les réalités actuelles du Continent africain ont été abordées. Il s’agit, entre autres thèmes, des questions du genre, d’innovation technologique, d’économie- mondialisation. Mme Lagarde a témoigné devant les étudiants, de son engagement à œuvrer pour le rayonnement économique et social de l’Afrique.
Pour répondre à une question d’un des panélistes, Mme Lagarde dira que le FMI n’est pas une banque; «il traite l’argent des Etats membres».
Au cours de la seconde étape de cette rencontre, la Dg du FMI a répondu aux questions des étudiants, «futurs leaders d’Afrique», sur des thèmes précis. Et, sur la question du genre, elle demandera aux filles, notamment de s’appuyer sur la culture, la créativité, la mode, et d'utiliser les plateformes même éloignées.
Deux autres panélistes sont intervenus sur le financement de l’Economie. A ce propos, Mme Lagarde a tenté de faire rejeter l’idée selon laquelle ‘’la plupart des pays d’Afrique sont sur endettés’’. Pour preuve, elle leur fera comprendre que le ratio des Etats-Unis est plus élevé que celui de l’Afrique.
La patronne du FMI ne manquera pas de lancer un message d’espoir à cette élite de l’Afrique: «Compte tenu des politiques macroéconomiques, le Continent africain suscite de l’appétit pour les investisseurs».
Pour finir, Mme Lagarde incitera la jeunesse africaine à croire en elle-même. A la fin de la cérémonie, elle recevra un pagne traditionnel en guise de cadeau de la part de Melle Rokhaya N'gom qui servait de modérateur au panel…
La grande salle du Radisson Blu a été remplie d’étudiants, «futurs leaders», venus nombreux, des Ecoles de formation en gestion ou en management, notamment d’IAM, CESAG, ISM, BEM. Sup d’Eco, ENSAE, entre autres.
Ces étudiants ont tenu des échanges où diverses préoccupations sur les réalités actuelles du Continent africain ont été abordées. Il s’agit, entre autres thèmes, des questions du genre, d’innovation technologique, d’économie- mondialisation. Mme Lagarde a témoigné devant les étudiants, de son engagement à œuvrer pour le rayonnement économique et social de l’Afrique.
Pour répondre à une question d’un des panélistes, Mme Lagarde dira que le FMI n’est pas une banque; «il traite l’argent des Etats membres».
Au cours de la seconde étape de cette rencontre, la Dg du FMI a répondu aux questions des étudiants, «futurs leaders d’Afrique», sur des thèmes précis. Et, sur la question du genre, elle demandera aux filles, notamment de s’appuyer sur la culture, la créativité, la mode, et d'utiliser les plateformes même éloignées.
Deux autres panélistes sont intervenus sur le financement de l’Economie. A ce propos, Mme Lagarde a tenté de faire rejeter l’idée selon laquelle ‘’la plupart des pays d’Afrique sont sur endettés’’. Pour preuve, elle leur fera comprendre que le ratio des Etats-Unis est plus élevé que celui de l’Afrique.
La patronne du FMI ne manquera pas de lancer un message d’espoir à cette élite de l’Afrique: «Compte tenu des politiques macroéconomiques, le Continent africain suscite de l’appétit pour les investisseurs».
Pour finir, Mme Lagarde incitera la jeunesse africaine à croire en elle-même. A la fin de la cérémonie, elle recevra un pagne traditionnel en guise de cadeau de la part de Melle Rokhaya N'gom qui servait de modérateur au panel…
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