Loin le temps où les critères de sélection dépendaient juste des résultats du concours national d’entrée en 6e avec les 25 meilleures élèves filles qui étaient primées, décrochant ainsi le droit d’entrer dans la prestigieuse école Mariama Ba de Gorée.
Maintenant cela ressemble à n'importe quoi à l’image de ce qui s’est passé, hier, dans le centre d’examen où se déroulait ledit concours d’entrée pour l’année académique 2015-2016 : une cinquantaine de candidates a été recalée et laissée en rade. C’est ce qui a suscité l’amertume chez certains parents d’élèves qui n’ont pas manqué de voir derrière cela de la magouille. C’est le cas de Mamadou Seck. «Depuis un an, nos enfants se sont mis à préparer cet examen. Et les autorités du lycée, nous ont appelés et nous sommes venus vers elles».
Poursuivant, il révèle : «c’est à partir de là qu’elles leur ont fait savoir seulement ce matin (hier), vers les coups de 7 heures 30, que 50 autres places ont été supprimées devant nos enfants. A ce moment, nous ne donnons aucun crédit à ce concours et nous pensons que c’est de la magouille», assène ce père de famille, ivre de colère qui accompagnait sa fille. Il explique que face à leur détermination à bloquer le déroulement du concours, les responsables du ministère de l’Education ont requis la police pour les faire sortir du centre. Du côté du ministère justement, Amadou Makhtar Ndiaye, le Directeur des examens et concours (Dexco) dit tout le contraire. Selon lui, il a été fait appel de 150 candidates pour n'en prendre à la fin que 50 sur la liste d’attente.
«On fait un contrôle a priori des dossiers et si on se rend compte que parmi les 150 candidates, il y en a certaines qui ne remplissent pas les conditions, on prend sur la liste d’attente des 50 en ciblant les suivantes immédiates dont on étudie les dossiers. Si c’est bon, on les fait participer au concours sans aucun problème», réplique-t-il en soutenant que c’est ce qui a fait qu’il y avait une liste de 200 candidates potentiellement pré-sélectionnables». Pour le Dexco, il n’y a aucun souci, encore moins une quelconque magouille dans ce concours. M. Ndiaye affirme que tout a été fait dans les règles de l’art, mais qu’il y a juste un ou deux parents insatisfaits, soi-disant que leurs filles sont très brillantes et qu’ils ont voulu perturber.
Le Populaire
Maintenant cela ressemble à n'importe quoi à l’image de ce qui s’est passé, hier, dans le centre d’examen où se déroulait ledit concours d’entrée pour l’année académique 2015-2016 : une cinquantaine de candidates a été recalée et laissée en rade. C’est ce qui a suscité l’amertume chez certains parents d’élèves qui n’ont pas manqué de voir derrière cela de la magouille. C’est le cas de Mamadou Seck. «Depuis un an, nos enfants se sont mis à préparer cet examen. Et les autorités du lycée, nous ont appelés et nous sommes venus vers elles».
Poursuivant, il révèle : «c’est à partir de là qu’elles leur ont fait savoir seulement ce matin (hier), vers les coups de 7 heures 30, que 50 autres places ont été supprimées devant nos enfants. A ce moment, nous ne donnons aucun crédit à ce concours et nous pensons que c’est de la magouille», assène ce père de famille, ivre de colère qui accompagnait sa fille. Il explique que face à leur détermination à bloquer le déroulement du concours, les responsables du ministère de l’Education ont requis la police pour les faire sortir du centre. Du côté du ministère justement, Amadou Makhtar Ndiaye, le Directeur des examens et concours (Dexco) dit tout le contraire. Selon lui, il a été fait appel de 150 candidates pour n'en prendre à la fin que 50 sur la liste d’attente.
«On fait un contrôle a priori des dossiers et si on se rend compte que parmi les 150 candidates, il y en a certaines qui ne remplissent pas les conditions, on prend sur la liste d’attente des 50 en ciblant les suivantes immédiates dont on étudie les dossiers. Si c’est bon, on les fait participer au concours sans aucun problème», réplique-t-il en soutenant que c’est ce qui a fait qu’il y avait une liste de 200 candidates potentiellement pré-sélectionnables». Pour le Dexco, il n’y a aucun souci, encore moins une quelconque magouille dans ce concours. M. Ndiaye affirme que tout a été fait dans les règles de l’art, mais qu’il y a juste un ou deux parents insatisfaits, soi-disant que leurs filles sont très brillantes et qu’ils ont voulu perturber.
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