Un hebdomadaire people repris par plusieurs sites dakarois a plus attribué que révélé les salaires de certaines animatrices et animateurs de la RFM et de la TFM. La Direction générale du Groupe Futurs Médias tient à préciser qu’il y a beaucoup d’exagération dans ces articles de presse distillés ca-et-là. La réalité est tout autre.
Toutefois, il convient d’expliquer le profil concurrentiel du Groupe Futurs Médias.
La position concurrentielle de notre entreprise dicte une sélection de produits et de programmes et recommande la même sélection dans le recrutement. Ces recrutements qui se doivent de capitaliser de l’audience ont un rôle important.
Pour autant, le Groupe Futurs Médias n’ignore pas ses journalistes et autres professionnels de l’information et de la communication sociale, sans oublier les autres travailleurs (personnel administratif et commercial, techniciens de l’imprimerie, chauffeurs, etc.) qui sont tous d’égale dignité.
Le Groupe est fier de leurs performances et attache une importance capitale à leur épanouissement. C’est ce qui vaut à Futurs Médias de faire partie des entreprises en général et de presse en particulier, qui traitent le mieux les employés, et ce en toute humilité.
Comme indiqué le mercredi 16 janvier 2013, lors de la rencontre avec des membres de la section syndicale du groupe, les conditions de travail seront améliorées en fonction des possibilités offertes à l’entreprise.
Cela va de soi pour la recherche de la respectabilité sociale des journalistes et techniciens de la communication sociale. D’ailleurs, dans les faits, le Groupe Futurs Médias applique une « convention maison » (que les spécialistes des ressources humaines appellent accord d’établissement) qui fixe des salaires bien au-delà de ceux régis par la Convention collective des professionnels de l’information et de la communication sociale.
Le Groupe Futurs Médias continuera à afficher ses ambitions et à offrir à ses employés un traitement salarial et autres avantages en vue de leur assurer l’épanouissement professionnel et social.
Charles FAYE
Porte-parole du Groupe Futurs Médias
Toutefois, il convient d’expliquer le profil concurrentiel du Groupe Futurs Médias.
La position concurrentielle de notre entreprise dicte une sélection de produits et de programmes et recommande la même sélection dans le recrutement. Ces recrutements qui se doivent de capitaliser de l’audience ont un rôle important.
Pour autant, le Groupe Futurs Médias n’ignore pas ses journalistes et autres professionnels de l’information et de la communication sociale, sans oublier les autres travailleurs (personnel administratif et commercial, techniciens de l’imprimerie, chauffeurs, etc.) qui sont tous d’égale dignité.
Le Groupe est fier de leurs performances et attache une importance capitale à leur épanouissement. C’est ce qui vaut à Futurs Médias de faire partie des entreprises en général et de presse en particulier, qui traitent le mieux les employés, et ce en toute humilité.
Comme indiqué le mercredi 16 janvier 2013, lors de la rencontre avec des membres de la section syndicale du groupe, les conditions de travail seront améliorées en fonction des possibilités offertes à l’entreprise.
Cela va de soi pour la recherche de la respectabilité sociale des journalistes et techniciens de la communication sociale. D’ailleurs, dans les faits, le Groupe Futurs Médias applique une « convention maison » (que les spécialistes des ressources humaines appellent accord d’établissement) qui fixe des salaires bien au-delà de ceux régis par la Convention collective des professionnels de l’information et de la communication sociale.
Le Groupe Futurs Médias continuera à afficher ses ambitions et à offrir à ses employés un traitement salarial et autres avantages en vue de leur assurer l’épanouissement professionnel et social.
Charles FAYE
Porte-parole du Groupe Futurs Médias
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