Dans un épisode effrayant qui a secoué la Cité Sotiba à Pikine hier soir, un homme a tenté de résister à son arrestation, allant jusqu’à libérer son pitbull sur un policier, qui a été mordu par l’animal. Ce drame s’est produit alors que les forces de l’ordre cherchaient à interpeller M., un individu recherché pour escroquerie au foncier.
La situation s’est intensifiée lorsque les policiers, après plusieurs tentatives infructueuses, ont enfin réussi à cerner la résidence de M. Cependant, à la vue des agents, il a lâché son pitbull, provoquant une réaction chaotique. L’individu a réussi à se barricader à l’intérieur de son domicile, entraînant un déploiement rapide de la Brigade d’intervention de la police (BIP), sur instruction du parquet, qui suivait de près cette affaire.
Les témoins ont décrit une scène de tension extrême, alors que les forces de l’ordre, lourdement armées, ont installé un cordon de sécurité autour de la maison, forçant les voisins à rester chez eux. « Nos éléments n’hésitent jamais. Et ils ne ratent jamais leur cible, », ont averti des responsables de la Bip, incitant ainsi la population à prendre des précautions face à ce péril imminent.
Selon L’Observateur , Des coups de feu ont été tirés, et des habitants ont rapporté que M. était armé, augmentant la menace qui pesait sur le quartier. Toutefois, grâce au professionnalisme des policiers, un carnage a été évité. Alors que M. tentait de négocier sa reddition, En demandant que ses pitbulls ne soient pas abattus, les policiers ont su gérer la situation avec calme, minimisant ainsi le risque pour les civils.
Après plusieurs heures de tensions, l’individu a été neutralisé et arrêté. Les habitants, soulagés, ont témoigné à L’Observateur, exprimant leur gratitude envers les forces de l’ordre qui ont su gérer cette situation délicate. « Ils ont montré un grand professionnalisme pour éviter un carnage », a affirmé un riverain, encore ébranlé par les événements.
Cet incident rappelle les défis auxquels sont confrontées les autorités locales, mais aussi la résilience des forces de l’ordre face à des situations de crise. L’Observateur continue de suivre cette affaire de près, alors que le quartier tente de retrouver une certaine normalité après cette nuit de frayeur.
La situation s’est intensifiée lorsque les policiers, après plusieurs tentatives infructueuses, ont enfin réussi à cerner la résidence de M. Cependant, à la vue des agents, il a lâché son pitbull, provoquant une réaction chaotique. L’individu a réussi à se barricader à l’intérieur de son domicile, entraînant un déploiement rapide de la Brigade d’intervention de la police (BIP), sur instruction du parquet, qui suivait de près cette affaire.
Les témoins ont décrit une scène de tension extrême, alors que les forces de l’ordre, lourdement armées, ont installé un cordon de sécurité autour de la maison, forçant les voisins à rester chez eux. « Nos éléments n’hésitent jamais. Et ils ne ratent jamais leur cible, », ont averti des responsables de la Bip, incitant ainsi la population à prendre des précautions face à ce péril imminent.
Selon L’Observateur , Des coups de feu ont été tirés, et des habitants ont rapporté que M. était armé, augmentant la menace qui pesait sur le quartier. Toutefois, grâce au professionnalisme des policiers, un carnage a été évité. Alors que M. tentait de négocier sa reddition, En demandant que ses pitbulls ne soient pas abattus, les policiers ont su gérer la situation avec calme, minimisant ainsi le risque pour les civils.
Après plusieurs heures de tensions, l’individu a été neutralisé et arrêté. Les habitants, soulagés, ont témoigné à L’Observateur, exprimant leur gratitude envers les forces de l’ordre qui ont su gérer cette situation délicate. « Ils ont montré un grand professionnalisme pour éviter un carnage », a affirmé un riverain, encore ébranlé par les événements.
Cet incident rappelle les défis auxquels sont confrontées les autorités locales, mais aussi la résilience des forces de l’ordre face à des situations de crise. L’Observateur continue de suivre cette affaire de près, alors que le quartier tente de retrouver une certaine normalité après cette nuit de frayeur.
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