Le courant du « Non » vient de s’enrichir d’un nouvel allié. Il s’agit du mouvement des « Forces de l’espoir. Samm Li Nu Bokk».
Ce mouvement regroupe le CET de l’ancien ministre Moussa Touré, le Taxaw Tem de Ibrahima Fall, Pastef ( les patriotiques du sénégal pour le Travail l’Ethique et la Fraternité ) d’Ousmane Sonko, le Parti demain la république de l’ancien ministre libéral Lamine Ba, le RND de Diallo Diop et enfin le Parti pour la liberté et la citoyenneté, « défar Djiko Yi » de l’ancien ministre El hadj Ibrahima Sall.
Dans une déclaration lue par EL hadj Ibrahima Sall, la coalition appelle à voter Non parce que « le référendum est déloyal. Un référendum pour rien ». Ceci dira-t-il parce que « le respect du peuple et la souveraineté voudrait qu’il soit au début et à la fin d’un processus référendaire. »
Mais fustige t-il « le Président de la République n’a, dans le cadre de la révision qu’il propose, consulté aucun parti politique, aucune organisation syndicale, aucun mouvement de la société civile. »
Ensuite, poursuit-il, « les 15 points du référendum ont été unilatéralement choisis par le Président et n’ont fait l’objet d’aucune concertation préalable. »
Les forces de l’espoir dénoncent pour finir, « le mépris du peuple et le manque de respect qui caractérisent la méthode de gouvernance d’une certaine classe politique... »
Ce mouvement regroupe le CET de l’ancien ministre Moussa Touré, le Taxaw Tem de Ibrahima Fall, Pastef ( les patriotiques du sénégal pour le Travail l’Ethique et la Fraternité ) d’Ousmane Sonko, le Parti demain la république de l’ancien ministre libéral Lamine Ba, le RND de Diallo Diop et enfin le Parti pour la liberté et la citoyenneté, « défar Djiko Yi » de l’ancien ministre El hadj Ibrahima Sall.
Dans une déclaration lue par EL hadj Ibrahima Sall, la coalition appelle à voter Non parce que « le référendum est déloyal. Un référendum pour rien ». Ceci dira-t-il parce que « le respect du peuple et la souveraineté voudrait qu’il soit au début et à la fin d’un processus référendaire. »
Mais fustige t-il « le Président de la République n’a, dans le cadre de la révision qu’il propose, consulté aucun parti politique, aucune organisation syndicale, aucun mouvement de la société civile. »
Ensuite, poursuit-il, « les 15 points du référendum ont été unilatéralement choisis par le Président et n’ont fait l’objet d’aucune concertation préalable. »
Les forces de l’espoir dénoncent pour finir, « le mépris du peuple et le manque de respect qui caractérisent la méthode de gouvernance d’une certaine classe politique... »