La nécessité de rupture, exige assurément des réformes variées et profondes...
La configuration actuelle du parlement ne peut faciliter la mise en œuvre de ces réformes car le nouveau pouvoir n'a pas cette majorité qualifiée a même de soutenir les initiatives du gouvernement coordonné et conduit par le brillant et charismatique premier ministre Ousmane Sonko.
Pour éviter toute démarche suspecte, compromettante,( négociation intra parlementaire,ou entre groupes politiques) l'adoption par voie référendaire d'une nouvelle constitution serait à notre avis une piste qui s'impose.
Et parallèlement, la dissolution de l'Assemblée nationale après le mois de septembre va de soi.
Dans la logique de la rationalisation des dépenses publiques( l'organisation d'une élection coûte chère), il pourrait être envisagé des élections locales anticipées couplées au référendum et aux législatives.
Ainsi une nouvelle ère institutionnelle permettrait d'entreprendre avec plus de fluidité les initiatives de mise en œuvre de toutes les réformes aussi bien au niveau central qu'au niveau décentralisé et donner ainsi le coup d'envoi de la construction du Sénégal Nouveau auquel nous aspirons et pour lequel les sénégalais ont voté.
Abdou Sané coordonnateur pastef commune Ziguinchor
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