Le deputé Seydina Fall dit Boughazelli a nié avoir recu un quelconque coup de poing de la part de sa collègue Aïssatou Mbodj.
Selon lui cette histoire a été montée de toutes pièces par cette dernière pour jeter le discrédit sur sa personne.
« Ce qui s’est passé c’est que Aïda Mbodj ainsi que Omar Sarr ont voulu empêcher Sokhna Seck Dieng de prendre la parole, estimant qu’aucune commission ne sera installée. Je me suis opposé entre les deux libéraux et ma collègue. Aïda M'bodj m’a tancé et a menacé de me frapper. Je lui ai rétorqué que si jamais elle levait la main sur moi, je la frapperais jusqu'à ce qu’elle s'évanouisse », dira le député de la banlieue.
Qui ajoute qu'ainsi, elle a bousculé Aïda M'bodj qui s’est retrouvée en bas des escaliers devant la salle de délibération des commissions. La Présidente du conseil départemental de Bambey l’aurait menacé de représailles, fera savoir Seydina Fall.
Selon Boughazelli, les informations sorties ce matin sont à mettre sur le compte de la diffamation. « Elle a abusé les journalistes leur disant qu’elle m’a frappé, alors que c’est archi faux. Sa façon de mener la politique est très salace. Il y avait plus de 60 députés dans la salle, personne ne pourra vous confirmer qu’elle m’a frappé » conclura-t-il.
Selon lui cette histoire a été montée de toutes pièces par cette dernière pour jeter le discrédit sur sa personne.
« Ce qui s’est passé c’est que Aïda Mbodj ainsi que Omar Sarr ont voulu empêcher Sokhna Seck Dieng de prendre la parole, estimant qu’aucune commission ne sera installée. Je me suis opposé entre les deux libéraux et ma collègue. Aïda M'bodj m’a tancé et a menacé de me frapper. Je lui ai rétorqué que si jamais elle levait la main sur moi, je la frapperais jusqu'à ce qu’elle s'évanouisse », dira le député de la banlieue.
Qui ajoute qu'ainsi, elle a bousculé Aïda M'bodj qui s’est retrouvée en bas des escaliers devant la salle de délibération des commissions. La Présidente du conseil départemental de Bambey l’aurait menacé de représailles, fera savoir Seydina Fall.
Selon Boughazelli, les informations sorties ce matin sont à mettre sur le compte de la diffamation. « Elle a abusé les journalistes leur disant qu’elle m’a frappé, alors que c’est archi faux. Sa façon de mener la politique est très salace. Il y avait plus de 60 députés dans la salle, personne ne pourra vous confirmer qu’elle m’a frappé » conclura-t-il.
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