Dans une conférence de presse ce mercredi, le président du mouvement Guem Sa Bop/Les Diambars tire sur le régime de Diomaye. « Entre reniements et parjures, notre président-délégué se joue volontairement de tout un peuple pour contenter un homme incapable d’affronter la représentation nationale, incapable de tenir ses engagements en tant que candidat et toujours en porte à faux avec les institutions : Oui, Sonko n’a jamais volontairement déféré aux convocations de la commission d’enquête parlementaire, de la gendarmerie, du procureur dans l’affaire des procès Mame Mbaye Niang et Adji Sarr, a regretté Bougane Gueye Dany qui constate que la vie constitutionnelle du pays « a été vidée de toute sa quintessence » !
Selon Bougane, à la place des institutions constitutionnelles dotées d’une fonctionnalité connue de tous, le duo Diomaye-Sonko « impose aujourd’hui un régime d’amalgames et de confusion de rôles au sommet de l’État et au profit de la volonté exclusive d’un seul homme, président du parti Pastef devenu, depuis avril 2024, le président de fait du Sénégal sans avoir prêté serment ni avoir été investi de la charge ». Faisant allusion au président Bassirou Diomaye Faye, Bougane regrette le discours du 12 septembre dernier actant la dissolution de l’Assemblée nationale. « Ils ont fait du Palais de la République un simple bureau de poste et du PR élu un simple militant de Pastef ! » J’en veux pour preuve la déclaration du 12 septembre qui a entériné définitivement l’air de la présidence de facto de O. Sonko et le serment de fidélité du PR assujetti aujourd’hui à un rôle de suzerain, nous ramenant à la féodalité après tant d’années de conquête pour une démocratie que tout le monde enviait ! « C’est le début d’un grand totalitarisme », a-t-il fait entendre.
Selon Bougane, à la place des institutions constitutionnelles dotées d’une fonctionnalité connue de tous, le duo Diomaye-Sonko « impose aujourd’hui un régime d’amalgames et de confusion de rôles au sommet de l’État et au profit de la volonté exclusive d’un seul homme, président du parti Pastef devenu, depuis avril 2024, le président de fait du Sénégal sans avoir prêté serment ni avoir été investi de la charge ». Faisant allusion au président Bassirou Diomaye Faye, Bougane regrette le discours du 12 septembre dernier actant la dissolution de l’Assemblée nationale. « Ils ont fait du Palais de la République un simple bureau de poste et du PR élu un simple militant de Pastef ! » J’en veux pour preuve la déclaration du 12 septembre qui a entériné définitivement l’air de la présidence de facto de O. Sonko et le serment de fidélité du PR assujetti aujourd’hui à un rôle de suzerain, nous ramenant à la féodalité après tant d’années de conquête pour une démocratie que tout le monde enviait ! « C’est le début d’un grand totalitarisme », a-t-il fait entendre.
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