Le rôle de l’Etat "n’est pas de créer des industries", mais plutôt de faciliter l’éclosion et le développement de l’esnemble des secteurs économiques, a souligné, mercredi, à Dakar, le ministre en charge du Budget, Birima Mangara.
L’Etat "n’a pas vocation" à créer des industries mais plutôt les encadrer, en vue de "créer les conditions d’éclosion, de performance et de développement" de l’économie, à travers "un cadre attractif pour les investissements", a dit M. Mangara selon qui, "l’Etat a le devoir de l’initiative pour mettre en place les fondamentaux du développement" de ce secteur.
Il réagissait aux interpellations de certains députés, lors de l’examen, par l’Assemblée nationale, du projet de budget de son département pour l’exercice 2016-2017.
Si l’on en croit le ministre du Budget, "la politique industrielle du Sénégal est fortement orientée vers le partenariat".
Il a rappelé que dans la Loi de finance rectificative de 2014, le président de la République avait demandé d’accompagner le pôle urbain de Diamniadio (Rufisque).
"Depuis lors, 25 milliards ont été injectés dans le secteur dans le cadre de la première phase qui est presque à terme. Pour cette raison, il n’y a pas lieu de mettre des ressources pendant que l’on demande d’accompagner la santé ou l’éducation", a-t-il dit.
"C’est la raison pour laquelle ce budget a été revu à la baisse au niveau de ce département de l’Industrie", a justifié Birima Mangara.
Il a révélé que dans le cadre de la mise en œuvre des politiques industrielles sur le continent africain, un partenariat "a été noué avec l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), qui a choisi le Sénégal et la Kenya comme les pays pilotes".
L’Etat "n’a pas vocation" à créer des industries mais plutôt les encadrer, en vue de "créer les conditions d’éclosion, de performance et de développement" de l’économie, à travers "un cadre attractif pour les investissements", a dit M. Mangara selon qui, "l’Etat a le devoir de l’initiative pour mettre en place les fondamentaux du développement" de ce secteur.
Il réagissait aux interpellations de certains députés, lors de l’examen, par l’Assemblée nationale, du projet de budget de son département pour l’exercice 2016-2017.
Si l’on en croit le ministre du Budget, "la politique industrielle du Sénégal est fortement orientée vers le partenariat".
Il a rappelé que dans la Loi de finance rectificative de 2014, le président de la République avait demandé d’accompagner le pôle urbain de Diamniadio (Rufisque).
"Depuis lors, 25 milliards ont été injectés dans le secteur dans le cadre de la première phase qui est presque à terme. Pour cette raison, il n’y a pas lieu de mettre des ressources pendant que l’on demande d’accompagner la santé ou l’éducation", a-t-il dit.
"C’est la raison pour laquelle ce budget a été revu à la baisse au niveau de ce département de l’Industrie", a justifié Birima Mangara.
Il a révélé que dans le cadre de la mise en œuvre des politiques industrielles sur le continent africain, un partenariat "a été noué avec l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), qui a choisi le Sénégal et la Kenya comme les pays pilotes".
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