Les besoins et les résultats du Sénégal en matière de lutte contre la malnutrition ont été exposés hier au Congrès américain. Et c’est l’ambassadeur du Sénégal à Washington, Babacar Diagne, qui s’est chargé de cet exercice lors d’un panel coanimé par le député Chris Smith et Roger Thurow (Senior Fellow Global Food and Agriculture).
Dans son intervention, le diplomate a insisté sur la stabilité du pays avant de donner des informations en matière de malnutrition au Sénégal. Selon Babacar Diagne, «le Sénégal est connu pour son art culinaire, mais également pour le hub régional des affaires, de la culture et du tourisme en Afrique de l’Ouest». Cependant, souligne-t-il, «dans certaines régions du pays, les enfants de moins de 5 ans souffrent chaque année de malnutrition ». Il estime que la malnutrition est responsable de près de la moitié des décès d’enfants de moins de 5 ans.
Devant ses homologues ambassadeurs du Bostwana et de l’Ouganda qui ont pris part au panel, l’ancien Dg de la Rts indique que le Sénégal a très tôt reconnu l’importance de ce défi. C’est ainsi que le gouvernement sénégalais, dit-il, «a constitué l’Unité de contrôle de la malnutrition sénégalaise (Clm)». Cette structure travaille avec divers partenaires de financement et d’exécution. «Ceci est un effort collectif entre le ministère de la Santé au Sénégal, le Clm et des partenaires de la communauté du développement. Il a permis de réaliser de grands progrès pour atténuer les risques de malnutrition au Sénégal», explique-t-il avant de revenir sur deux initiatives actuelles financées par l’Usaid et par le bureau de l’Aide américaine et la cellule pour les catastrophes à l’étranger (Ofda).
Dans son intervention, le diplomate a insisté sur la stabilité du pays avant de donner des informations en matière de malnutrition au Sénégal. Selon Babacar Diagne, «le Sénégal est connu pour son art culinaire, mais également pour le hub régional des affaires, de la culture et du tourisme en Afrique de l’Ouest». Cependant, souligne-t-il, «dans certaines régions du pays, les enfants de moins de 5 ans souffrent chaque année de malnutrition ». Il estime que la malnutrition est responsable de près de la moitié des décès d’enfants de moins de 5 ans.
Devant ses homologues ambassadeurs du Bostwana et de l’Ouganda qui ont pris part au panel, l’ancien Dg de la Rts indique que le Sénégal a très tôt reconnu l’importance de ce défi. C’est ainsi que le gouvernement sénégalais, dit-il, «a constitué l’Unité de contrôle de la malnutrition sénégalaise (Clm)». Cette structure travaille avec divers partenaires de financement et d’exécution. «Ceci est un effort collectif entre le ministère de la Santé au Sénégal, le Clm et des partenaires de la communauté du développement. Il a permis de réaliser de grands progrès pour atténuer les risques de malnutrition au Sénégal», explique-t-il avant de revenir sur deux initiatives actuelles financées par l’Usaid et par le bureau de l’Aide américaine et la cellule pour les catastrophes à l’étranger (Ofda).
Autres articles
-
Thiès- Abdou Mbow sur la transhumance: " le pouvoir en place est en train de travailler à organiser une mascarade au niveau de ces législatives"
-
Médias et élections : Les journalistes formés sur les bonnes pratiques, le jour du scrutin
-
Législatives du 17 novembre 2024 : Zahra Iyane Thiam dévoile la stratégie de l’opposition pour faire face au régime
-
La plateforme "ETTU JAAM" appelle à des élections apaisées
-
Fin de campagne / Sonko assène un coup fatal à l'opposition : "Diékhal Nañu, Ama Tougnou lougn wax..."