La brigade de gendarmerie d’Affiniam, dans le département de Bignona, vient encore une fois d’être l’objet d’une attaque rebelle. C’est la troisième fois en deux mois que cette brigade est la cible d’hommes armés assimilés à des combattants du Mfdc, avec des recettes différentes.
(Correspondance) - C’est vers 21 heures, ce jeudi, que des coups de feu ont été entendus aux alentours de la brigade de gendarmerie d’Affiniam, dans le département de Bignona. Il s’agissait en fait d’une attaque perpétrée par des rebelles. Et pendant plus de 20 minutes, selon nos sources, les gendarmes ont résisté à l’assaut ennemi. Face à la puissance de feu des hommes en bleu, les assaillants se sont finalement repliés dans la forêt. Aucune victime n’a été recensée au terme de ces échanges de tirs entre les gendarmes et des hommes armés identifiés comme des séparatistes casamançais du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc).
Cette attaque rebelle est la troisième perpétrée contre la même cible en deux mois. La première attaque contre la brigade de gendarmerie d’Affiniam remonte au 4 janvier dernier. Ce jour-là, à l’aube, des hommes armés ont lancé l’assaut. Face à l’effet de surprise, les hommes en bleu ne pouvaient que tenter de limiter les dégâts. Mais, un gendarme a été tué, cinq autres blessés, le commandant fait prisonnier, la brigade saccagée par les assaillants. Deux jours après, les rebelles reviendront à la charge. Au cours de cette nouvelle opération lancée cette fois-ci la nuit, trois pandores ont été blessés.
Avec ces trois attaques en deux mois contre la même cible, l’opinion à Ziguinchor se pose aujourd’hui les questions suivantes : qu’est-ce qui se cache derrière cet acharnement des rebelles contre la brigade de gendarmerie d’Affiniam ? Quel intérêt ont-ils à s’attaquer chaque fois à cette même cible ? Devant l’impossibilité de trouver des réponses, les Ziguinchorois et autres riverains de la brigade de gendarmerie d’Affiniam vivent dans la crainte d’une nouvelle attaque rebelle.
Mamadou Papo MANE
(Correspondance) - C’est vers 21 heures, ce jeudi, que des coups de feu ont été entendus aux alentours de la brigade de gendarmerie d’Affiniam, dans le département de Bignona. Il s’agissait en fait d’une attaque perpétrée par des rebelles. Et pendant plus de 20 minutes, selon nos sources, les gendarmes ont résisté à l’assaut ennemi. Face à la puissance de feu des hommes en bleu, les assaillants se sont finalement repliés dans la forêt. Aucune victime n’a été recensée au terme de ces échanges de tirs entre les gendarmes et des hommes armés identifiés comme des séparatistes casamançais du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc).
Cette attaque rebelle est la troisième perpétrée contre la même cible en deux mois. La première attaque contre la brigade de gendarmerie d’Affiniam remonte au 4 janvier dernier. Ce jour-là, à l’aube, des hommes armés ont lancé l’assaut. Face à l’effet de surprise, les hommes en bleu ne pouvaient que tenter de limiter les dégâts. Mais, un gendarme a été tué, cinq autres blessés, le commandant fait prisonnier, la brigade saccagée par les assaillants. Deux jours après, les rebelles reviendront à la charge. Au cours de cette nouvelle opération lancée cette fois-ci la nuit, trois pandores ont été blessés.
Avec ces trois attaques en deux mois contre la même cible, l’opinion à Ziguinchor se pose aujourd’hui les questions suivantes : qu’est-ce qui se cache derrière cet acharnement des rebelles contre la brigade de gendarmerie d’Affiniam ? Quel intérêt ont-ils à s’attaquer chaque fois à cette même cible ? Devant l’impossibilité de trouver des réponses, les Ziguinchorois et autres riverains de la brigade de gendarmerie d’Affiniam vivent dans la crainte d’une nouvelle attaque rebelle.
Mamadou Papo MANE
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