L’ancien Premier ministre Abdoul M'baye qui indique avoir pris connaissance de la tentative de couper le signal de la radio et de la télévision Walfadjri, au moment où les opérations de vote se déroulent sur l’ensemble du territoire, note dans un communiqué que «le moment et le principe de cette décision sont gros de dangers pour notre pays. »
L’ancien PM condamne fermement cet acte quelles que soient les raisons qui y ont poussé les autorités? parce que note-t-il, « l’article 8 de la Constitution de notre pays garantit la liberté d’opinion et la liberté d’expression et cette décision des autorités, si elle est exécutée, entraînerait un trouble grave à l’ordre public dans notre pays et les plus hautes autorités en seraient totalement responsables, quel que soit celui qui en est l’auteur. »
Les mêmes autorités, ajoute-t-il, ont laissé depuis plusieurs semaines les organes de presse de l’Etat mener une campagne en sens unique, en violation de toutes les règles du Service Public, malgré les constats et alertes du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA).
Ce « deux poids,deux mesures » n’est pas acceptable en République et en Démocratie rappelle t-il.
« Nous avions conseillé au Président d’annuler le référendum, dès lors qu’il avait décidé de suivre l’avis consultatif du Conseil Constitutionnel sur le point relatif à la durée de son mandat en cours. Il ne nous a pas malheureusement entendu et les faits nous donnent raison aujourd’hui », dira-t-il.
Le Sénégal aurait pu faire l’économie de cette tension politique, poursuit Abdoul M'baye, « inutile et des milliards jetés à la fenêtre. Au nom de l’intérêt du Sénégal, le seul intérêt qui vaille, nous lui conseillons de mettre fin à toute tentative d’intimidation et de musellement de la presse qui n’est pas aux ordres. »
Il demande pour finir aux journalistes et personnalités s’exprimant par le biais de la presse de se garder de propos injurieux ou diffamatoires, dans le respect de la loi.
L’ancien PM condamne fermement cet acte quelles que soient les raisons qui y ont poussé les autorités? parce que note-t-il, « l’article 8 de la Constitution de notre pays garantit la liberté d’opinion et la liberté d’expression et cette décision des autorités, si elle est exécutée, entraînerait un trouble grave à l’ordre public dans notre pays et les plus hautes autorités en seraient totalement responsables, quel que soit celui qui en est l’auteur. »
Les mêmes autorités, ajoute-t-il, ont laissé depuis plusieurs semaines les organes de presse de l’Etat mener une campagne en sens unique, en violation de toutes les règles du Service Public, malgré les constats et alertes du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA).
Ce « deux poids,deux mesures » n’est pas acceptable en République et en Démocratie rappelle t-il.
« Nous avions conseillé au Président d’annuler le référendum, dès lors qu’il avait décidé de suivre l’avis consultatif du Conseil Constitutionnel sur le point relatif à la durée de son mandat en cours. Il ne nous a pas malheureusement entendu et les faits nous donnent raison aujourd’hui », dira-t-il.
Le Sénégal aurait pu faire l’économie de cette tension politique, poursuit Abdoul M'baye, « inutile et des milliards jetés à la fenêtre. Au nom de l’intérêt du Sénégal, le seul intérêt qui vaille, nous lui conseillons de mettre fin à toute tentative d’intimidation et de musellement de la presse qui n’est pas aux ordres. »
Il demande pour finir aux journalistes et personnalités s’exprimant par le biais de la presse de se garder de propos injurieux ou diffamatoires, dans le respect de la loi.