Dans un développement qui agite les milieux politiques et judiciaires, l’ancien ministre Birima Mangara, récemment élu député, a été libéré après son audition par la Brigade de recherches de Faidherbe. Toutefois, cette liberté reste encadrée, car Mangara demeure à la disposition des enquêteurs, tandis que son dossier est en route pour le bureau du procureur. Retour sur une affaire qui mêle accusations, terrain glissant et loyauté affichée envers la justice.
Une convocation tardive, une présence remarquée
Selon L’Observateur, le tout nouvel élu n’avait pas répondu, dans un premier temps, à l’invitation de la gendarmerie vendredi dernier. C’est finalement mardi, après un délai scruté, que Birima Mangara s’est présenté à la Brigade de recherches. L’objet de cette convocation : deux plaintes déposées à son encontre, l’une concernant un terrain litigieux, l’autre une affaire de véhicules impliquant un membre de sa coalition.
Après son audition par les gendarmes enquêteurs, l’ancien ministre sous Macky Sall a été relâché, mais avec une convocation. Une décision qui laisse planer des questions sur la prochaine étape de la procédure.
L’homme politique joue la transparence
Dans un message relayé par plusieurs médias, dont L’Observateur, Birima Mangara s’est exprimé avec clarté et une pointe de défi : « Je ne suis nullement tenté de me réfugier derrière une immunité parlementaire. Mon sentiment est de contribuer à l’éclatement de la vérité, et mon honneur ainsi que celui des miens ne sauraient être ternis. » Une déclaration qui se veut rassurante sur sa volonté de coopérer avec la justice sénégalaise.
Son choix de ne pas invoquer son immunité parlementaire est perçu comme un geste stratégique mais risqué, dans un contexte où l’intégrité des élus est souvent mise à l’épreuve. Selon L’Observateur, l’ancien ministre affirme vouloir démontrer sa foi en une justice impartiale.
Le rôle du procureur attendu
Pour l’heure, le dossier a été transmis au procureur de la République, qui devra décider des suites judiciaires à donner. Une étape cruciale, car elle déterminera si cette affaire se poursuivra devant les tribunaux ou si elle sera classée sans suite. Pendant ce temps, l’opinion publique reste suspendue à l’évolution de ce feuilleton politico-judiciaire.
Entre foi et prudence
Si l’ancien ministre affiche une confiance inébranlable en la justice, les défis qui l’attendent sont nombreux. Comme le souligne L’Observateur, cette affaire met à nu les tensions entre responsabilités politiques et exigences judiciaires. Mangara, désormais sous le feu des projecteurs, parviendra-t-il à s’en sortir indemne ? La justice tranchera.
Une convocation tardive, une présence remarquée
Selon L’Observateur, le tout nouvel élu n’avait pas répondu, dans un premier temps, à l’invitation de la gendarmerie vendredi dernier. C’est finalement mardi, après un délai scruté, que Birima Mangara s’est présenté à la Brigade de recherches. L’objet de cette convocation : deux plaintes déposées à son encontre, l’une concernant un terrain litigieux, l’autre une affaire de véhicules impliquant un membre de sa coalition.
Après son audition par les gendarmes enquêteurs, l’ancien ministre sous Macky Sall a été relâché, mais avec une convocation. Une décision qui laisse planer des questions sur la prochaine étape de la procédure.
L’homme politique joue la transparence
Dans un message relayé par plusieurs médias, dont L’Observateur, Birima Mangara s’est exprimé avec clarté et une pointe de défi : « Je ne suis nullement tenté de me réfugier derrière une immunité parlementaire. Mon sentiment est de contribuer à l’éclatement de la vérité, et mon honneur ainsi que celui des miens ne sauraient être ternis. » Une déclaration qui se veut rassurante sur sa volonté de coopérer avec la justice sénégalaise.
Son choix de ne pas invoquer son immunité parlementaire est perçu comme un geste stratégique mais risqué, dans un contexte où l’intégrité des élus est souvent mise à l’épreuve. Selon L’Observateur, l’ancien ministre affirme vouloir démontrer sa foi en une justice impartiale.
Le rôle du procureur attendu
Pour l’heure, le dossier a été transmis au procureur de la République, qui devra décider des suites judiciaires à donner. Une étape cruciale, car elle déterminera si cette affaire se poursuivra devant les tribunaux ou si elle sera classée sans suite. Pendant ce temps, l’opinion publique reste suspendue à l’évolution de ce feuilleton politico-judiciaire.
Entre foi et prudence
Si l’ancien ministre affiche une confiance inébranlable en la justice, les défis qui l’attendent sont nombreux. Comme le souligne L’Observateur, cette affaire met à nu les tensions entre responsabilités politiques et exigences judiciaires. Mangara, désormais sous le feu des projecteurs, parviendra-t-il à s’en sortir indemne ? La justice tranchera.
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