COMMISSION NATIONALE DE REFORME DES INSTITUTIONS
DOSSIER DE PRESSE
C’est le 14 septembre 2012, à l’occasion de la Journée nationale des Institutions, que le Président de la République annonce son intention de créer une commission nationale chargée de la réforme des institutions, tout en désignant le Professeur Amadou Mahtar Mbow pour en assurer la présidence.
Par une lettre remise au Président Mbow, lors d’une audience le 28 novembre 2012, le Président de la République y note que le peuple sénégalais, en réalisant le 25 mars 2012, dans la paix et la démocratie la deuxième alternance politique de son histoire, prouve encore une fois sa sagesse et sa maturité mais également, et surtout, son attachement profond aux principes et valeurs universels de la démocratie et de la paix.
Il y estime en outre que le message du peuple sénégalais est clair en ce qu’il exprime à la fois, le rejet d’une certaine façon de gouverner et l’espoir d’une nouvelle gouvernance, efficace, sobre et vertueuse, porteuse de transformations socio-économiques profondes et de changements significatifs dans son vécu quotidien.
Le chef de l’Etat y invite le Professeur Amadou Mahtar Mbow en tant que Président des Assises nationales, «à organiser une large concertation nationale sur les réformes à mettre en œuvre à court, moyen et long terme, pour doter le pays d’une armature institutionnelle moderne, à la mesure de son ambition de devenir et de rester une grande nation de démocratie».
Selon la lettre du Président de la République, les propositions que la concertation devra lui soumettre notamment prendra en charge les problématiques suivantes :
Le recentrage de l’Etat autour de ses missions régaliennes ;
La consolidation de l’Etat de droit ;
L’équilibre des pouvoirs entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire ;
Le renforcement de l’indépendance de la justice ;
L’approfondissement de la démocratie représentative et participative ;
Le renforcement de la protection des libertés publiques ;
Le renforcement de la décentralisation et de la déconcentration;
La territorialisation des politiques publiques ;
La protection des valeurs positives de notre société ;
La promotion de la bonne gouvernance, de la transparence et de l’éthique dans la gestion des affaires publiques ainsi que la culture de l’imputabilité ;
La stabilité institutionnelle.
Le Président de la République souligne en outre dans sa lettre qu’il faut veiller, en se fondantsur l’expérience des «Assises nationales», à ce que «la concertation soit large, participative, inclusive, démocratique et ouverte à tous les segments de notre société : acteurs politiques de la majorité comme de l’opposition, société civile, secteur privé, Etat, collectivités locales et ordres religieux etc.» et qu’elle «devra s’appuyer sur les principes et orientations du programme de «YoonouYokkuté» et s’inspirer fortement des conclusions des «Assises nationales» et, en particulier, de la Charte de gouvernance démocratique qu’il signe alors et s’engage à mettre en œuvre, s’il est élu.
Après réflexion etdiverses concertations,notamment, avec le Comité de Pilotage des Assises nationales qui l’approuve, le Président Mbow, par lettre en date du 31 décembre 2012,donne son accord au Président de la République pour conduire les travaux de Concertation nationale sur les réformes institutionnelles.
Il estime, en effet, avec le Comité national de Pilotage des Assises et ceux qui sont pressentis pour composer la Commission nationale de Réforme des Institutions, qu’il s’agit là d’une tâche essentielle qui répond aux attentes des populations.Notamment à travers les mouvements sociaux de l’année 2011, et les résultats des scrutins présidentiels et législatifs de l’année 2012».
Dans sa réponseau Président de la République, ilprécise que «la concertation sera inclusive, participative et ouverte à tous les segments de la société. Hommes et femmes, jeunes et vieux de toutes conditions, de toutes croyances, de toutes appartenances politiques militant ou non dans des partis politiques ; membres des organisations de la société civile ou simples citoyens y seraient conviés.
Les réformes institutionnelles, si elles doivent être transcrites en termes juridiques notamment par des juristes et des spécialistes des sciences humaines, des politologues, etc.,leur contenu intéresse la totalité de la société. Elles doivent donc émaner de la pensée, des idées et des choix de l’ensemble de la collectivité nationale, d’où la nécessité, pour la première fois, d’une vaste concertation.
Aussi, après des consultations avec divers segments de notre société et l’obtention de l’accord des personnalités appelées à la constituer, la Commission nationale de Réforme des Institutions s’est mise au travail dès le 16mars 2013. Sa première tâche a été d’adopter son code de conduite.
Auparavant, le président Mbow tient à informer de cette réunion le président de la République lors d’une audience au cours de laquelle il luiremet la liste des personnalités qui vont constituer la Commission, en raison de leur expérience et de leur disponibilité. Il y ajoute la liste des membres de la plateforme technique qui doit assurer la coordination des travaux et le secrétariat de la Commission, de même que celle des experts qui seront sollicités, au fur et à mesure des travaux, pour apporter à la Commission le concours de leur savoir et de leur expérience.
Deux décrets qui officialisent la Commission sont publiés par la suite.
Le premier, en date du 17 mai 2013, porte nomination du Président de la Commission ; le second, daté du 28 mai 2013, énumère les autres membres de la Commission. Les membres de la CNRIsont donc :
Président : M. Amadou Mahtar Mbow, Professeur à la retraite ;
Vice-président, M. Mamadou Lamine Loum, Inspecteur du Trésor ;
Rapporteur : M. Abdoulaye Dièye, Professeur de Droit à l’Université Cheikh AntaDiop de Dakar;
Rapporteur adjoint : M. Moussa Mbaye, Sociologue, Psychologue.
Des membres :
Mme Aminata DiawCissé, Professeur de Philosophie à l’Université Cheikh AntaDiop ;
Mme Ndèye Marie Diédhiou, Institutrice ;
M. Abdoulaye Bara Diop, Sociologue, Ancien Directeur de l’Ifan ;
M. SerigneDiop, Professeur de droit à l’Université Cheikh AntaDiop de Dakar ;
Me SidikiKaba, Avocat, Président de la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme,
M. Cheikh Hamidou Kane, Administrateur civil, Ancien Gouverneur de région, ancien Représentant régional de l’Unicef, Ecrivain ;
M. Ahmadou Fadel Kane, Professeur de Géographie à l’Ucad à la retraite ;
M. Amadou MoctarMbacké, Magistrat à la retraite, ancien Agent judiciaire de l’Etat ;
M. Saliou Mbaye, Archiviste, documentaliste, spécialiste des Institutions sénégalaises, ancien Directeur des Archives nationales du Sénégal, Professeur à l’Ebad de l’Ucad ;
M. Aloyse Raymond Ndiaye, Professeur de Philosophie à l’Université Cheikh AntaDiop de Dakar ;
M. MazideNdiaye, Economiste, Coordonnateur du Comité de Veille sur le processus électoral ;
M. Seydou Madani Sy, Professeur à la retraite, spécialiste des Institutions sénégalaises, Ancien Doyen de la Faculté de droit, ancien Recteur de l’Ucad ;
Mme MaïmounaNdongo Touré, Magistrat à la retraite ;
M. Samba Traoré, Professeur de Droit à l’Université Gaston Berger de Saint Louis ;
M. Babacar Touré, Journaliste. fondateur de Sud Communication, un des premiers groupes de presse du Sénégal.
L’acte de naissance de la Commission nationale de Réforme des Institutions étant signé, c’est le 20 juin 2013 que la Commission rencontre la presse et, deux jours après, le 22 juin, les partis politiques et les organisations de la société civile. Une démarche inscrite dans la logique de participation inclusive, pour présenter la philosophie des actions à meneret la démarche adoptée, dont le point de mire reste la série des Consultations citoyennes.
Des conventions sont signées avec la Plateforme des Acteurs non étatiques (PFAnE), l’Organisation nationale de Coordination des Activités de Vacances (ONCAV) et l’Union des Radios Communautaires (URAC) en direction des Consultations citoyennes. La PFAnEestchargée de mettre en œuvre les panels citoyens. L’ONCAV, à travers les ODCAV, estchargée d’organiser et d’animer lesfora populaires. La convention avec les radios communautaires permet d’impliquer les radios membres à l’animation au niveau local de débats et à la sensibilisation sur la réforme des institutions.
Près de 250 personnes, issues des différentes organisations partenaires, sont formés afin d’accomplir correctement leurs tâches de facilitation, d’animation et d’accompagnement du processus.
Par ailleurs, une délégation de la CNRIrend visite d’information et d’échanges aux chefs des communautés religieuses. Une séried’entretiens sont en courségalement avec les chefs de partis représentés à l’Assemblée Nationale et les responsables des organisations de la société civile pour les informer sur le processus et les activités en perspective, et recueillir leurs avis et suggestions.
Un courrier estégalement envoyé à toutes les organisations pour les informer du calendrier des événements jusqu’à leur aboutissement.
Enfin, une campagne médiatique complète la campagne de sensibilisation pour inciter nos compatriotes à s’impliquer dans les débats au sujet de la réforme des institutions du Sénégal.La Commission se dote par ailleurs d’une charte graphique (avec logo et jingle) et d’un site web interactif (www.cnri.sn).
Les réunions de la CNRIse tiennent régulièrement pour préparer les trois composantes des consultations citoyennes qui se dérouleront à compter du 14 septembre 2013 :
- les fora populaires, le 14 septembre : organisation de débats ouverts à tous les citoyens intéressés pour collecter les propositions de solutions en face de chaque élément du diagnostic sur les institutions systématisé par la CNRI;
- les panels citoyens,le 15 septembre : sur la base d’un questionnaire adapté, organisation d’un dialogue structuré entre citoyens constituant un échantillon représentatif de la population de chaque département, en vue de déceler les accords fondamentaux sur les principes et orientations à donner à la réforme et de relever les propositions des porteurs d’enjeux qui emportent le plus l’adhésion des citoyens;
- et, enfin, les enquêtes par questionnaires qui démarreront le 15 septembre et dureront dix (10) jours pour les citoyens et quinze (15) jours pour les diverses organisations politiques, syndicales ou civiles désignées sous le vocable «porteurs d’enjeux».Ces derniers ont la latitude de se prononcer autant sur la pertinence et/ou les orientations primordiales que sur les options et modalités de prise en charge des réformes souhaitées dans l’architecture et le fonctionnement des institutions.
Il est à noter que deux types de questionnaires seront distribués : les premiers sont destinés aux citoyens, et les seconds, aux porteurs d’enjeux, comprenez les organisations politiques et syndicales ainsi que celles de la société civile.
Le traitement des données, qui commence dès après les panels citoyens, sera finalisée au plus tard en mi- octobre.
Il est également prévu une quinzaine de jours de discussions avec les porteurs d’enjeux, pour apaiser ce qui pourrait être considéré comme des «champs de tension».
Au sortir de ces rencontres, début novembre, les ultimes tâches consisteront à l’élaboration du pré-rapport et sa validation par la CNRI.
La remise des conclusions définitives au chef de l’Etat est prévue pour fin novembre, avant sa présentation au grand public.
C’est le 14 septembre 2012, à l’occasion de la Journée nationale des Institutions, que le Président de la République annonce son intention de créer une commission nationale chargée de la réforme des institutions, tout en désignant le Professeur Amadou Mahtar Mbow pour en assurer la présidence.
Par une lettre remise au Président Mbow, lors d’une audience le 28 novembre 2012, le Président de la République y note que le peuple sénégalais, en réalisant le 25 mars 2012, dans la paix et la démocratie la deuxième alternance politique de son histoire, prouve encore une fois sa sagesse et sa maturité mais également, et surtout, son attachement profond aux principes et valeurs universels de la démocratie et de la paix.
Il y estime en outre que le message du peuple sénégalais est clair en ce qu’il exprime à la fois, le rejet d’une certaine façon de gouverner et l’espoir d’une nouvelle gouvernance, efficace, sobre et vertueuse, porteuse de transformations socio-économiques profondes et de changements significatifs dans son vécu quotidien.
Le chef de l’Etat y invite le Professeur Amadou Mahtar Mbow en tant que Président des Assises nationales, «à organiser une large concertation nationale sur les réformes à mettre en œuvre à court, moyen et long terme, pour doter le pays d’une armature institutionnelle moderne, à la mesure de son ambition de devenir et de rester une grande nation de démocratie».
Selon la lettre du Président de la République, les propositions que la concertation devra lui soumettre notamment prendra en charge les problématiques suivantes :
Le recentrage de l’Etat autour de ses missions régaliennes ;
La consolidation de l’Etat de droit ;
L’équilibre des pouvoirs entre l’exécutif, le législatif et le judiciaire ;
Le renforcement de l’indépendance de la justice ;
L’approfondissement de la démocratie représentative et participative ;
Le renforcement de la protection des libertés publiques ;
Le renforcement de la décentralisation et de la déconcentration;
La territorialisation des politiques publiques ;
La protection des valeurs positives de notre société ;
La promotion de la bonne gouvernance, de la transparence et de l’éthique dans la gestion des affaires publiques ainsi que la culture de l’imputabilité ;
La stabilité institutionnelle.
Le Président de la République souligne en outre dans sa lettre qu’il faut veiller, en se fondantsur l’expérience des «Assises nationales», à ce que «la concertation soit large, participative, inclusive, démocratique et ouverte à tous les segments de notre société : acteurs politiques de la majorité comme de l’opposition, société civile, secteur privé, Etat, collectivités locales et ordres religieux etc.» et qu’elle «devra s’appuyer sur les principes et orientations du programme de «YoonouYokkuté» et s’inspirer fortement des conclusions des «Assises nationales» et, en particulier, de la Charte de gouvernance démocratique qu’il signe alors et s’engage à mettre en œuvre, s’il est élu.
Après réflexion etdiverses concertations,notamment, avec le Comité de Pilotage des Assises nationales qui l’approuve, le Président Mbow, par lettre en date du 31 décembre 2012,donne son accord au Président de la République pour conduire les travaux de Concertation nationale sur les réformes institutionnelles.
Il estime, en effet, avec le Comité national de Pilotage des Assises et ceux qui sont pressentis pour composer la Commission nationale de Réforme des Institutions, qu’il s’agit là d’une tâche essentielle qui répond aux attentes des populations.Notamment à travers les mouvements sociaux de l’année 2011, et les résultats des scrutins présidentiels et législatifs de l’année 2012».
Dans sa réponseau Président de la République, ilprécise que «la concertation sera inclusive, participative et ouverte à tous les segments de la société. Hommes et femmes, jeunes et vieux de toutes conditions, de toutes croyances, de toutes appartenances politiques militant ou non dans des partis politiques ; membres des organisations de la société civile ou simples citoyens y seraient conviés.
Les réformes institutionnelles, si elles doivent être transcrites en termes juridiques notamment par des juristes et des spécialistes des sciences humaines, des politologues, etc.,leur contenu intéresse la totalité de la société. Elles doivent donc émaner de la pensée, des idées et des choix de l’ensemble de la collectivité nationale, d’où la nécessité, pour la première fois, d’une vaste concertation.
Aussi, après des consultations avec divers segments de notre société et l’obtention de l’accord des personnalités appelées à la constituer, la Commission nationale de Réforme des Institutions s’est mise au travail dès le 16mars 2013. Sa première tâche a été d’adopter son code de conduite.
Auparavant, le président Mbow tient à informer de cette réunion le président de la République lors d’une audience au cours de laquelle il luiremet la liste des personnalités qui vont constituer la Commission, en raison de leur expérience et de leur disponibilité. Il y ajoute la liste des membres de la plateforme technique qui doit assurer la coordination des travaux et le secrétariat de la Commission, de même que celle des experts qui seront sollicités, au fur et à mesure des travaux, pour apporter à la Commission le concours de leur savoir et de leur expérience.
Deux décrets qui officialisent la Commission sont publiés par la suite.
Le premier, en date du 17 mai 2013, porte nomination du Président de la Commission ; le second, daté du 28 mai 2013, énumère les autres membres de la Commission. Les membres de la CNRIsont donc :
Président : M. Amadou Mahtar Mbow, Professeur à la retraite ;
Vice-président, M. Mamadou Lamine Loum, Inspecteur du Trésor ;
Rapporteur : M. Abdoulaye Dièye, Professeur de Droit à l’Université Cheikh AntaDiop de Dakar;
Rapporteur adjoint : M. Moussa Mbaye, Sociologue, Psychologue.
Des membres :
Mme Aminata DiawCissé, Professeur de Philosophie à l’Université Cheikh AntaDiop ;
Mme Ndèye Marie Diédhiou, Institutrice ;
M. Abdoulaye Bara Diop, Sociologue, Ancien Directeur de l’Ifan ;
M. SerigneDiop, Professeur de droit à l’Université Cheikh AntaDiop de Dakar ;
Me SidikiKaba, Avocat, Président de la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme,
M. Cheikh Hamidou Kane, Administrateur civil, Ancien Gouverneur de région, ancien Représentant régional de l’Unicef, Ecrivain ;
M. Ahmadou Fadel Kane, Professeur de Géographie à l’Ucad à la retraite ;
M. Amadou MoctarMbacké, Magistrat à la retraite, ancien Agent judiciaire de l’Etat ;
M. Saliou Mbaye, Archiviste, documentaliste, spécialiste des Institutions sénégalaises, ancien Directeur des Archives nationales du Sénégal, Professeur à l’Ebad de l’Ucad ;
M. Aloyse Raymond Ndiaye, Professeur de Philosophie à l’Université Cheikh AntaDiop de Dakar ;
M. MazideNdiaye, Economiste, Coordonnateur du Comité de Veille sur le processus électoral ;
M. Seydou Madani Sy, Professeur à la retraite, spécialiste des Institutions sénégalaises, Ancien Doyen de la Faculté de droit, ancien Recteur de l’Ucad ;
Mme MaïmounaNdongo Touré, Magistrat à la retraite ;
M. Samba Traoré, Professeur de Droit à l’Université Gaston Berger de Saint Louis ;
M. Babacar Touré, Journaliste. fondateur de Sud Communication, un des premiers groupes de presse du Sénégal.
L’acte de naissance de la Commission nationale de Réforme des Institutions étant signé, c’est le 20 juin 2013 que la Commission rencontre la presse et, deux jours après, le 22 juin, les partis politiques et les organisations de la société civile. Une démarche inscrite dans la logique de participation inclusive, pour présenter la philosophie des actions à meneret la démarche adoptée, dont le point de mire reste la série des Consultations citoyennes.
Des conventions sont signées avec la Plateforme des Acteurs non étatiques (PFAnE), l’Organisation nationale de Coordination des Activités de Vacances (ONCAV) et l’Union des Radios Communautaires (URAC) en direction des Consultations citoyennes. La PFAnEestchargée de mettre en œuvre les panels citoyens. L’ONCAV, à travers les ODCAV, estchargée d’organiser et d’animer lesfora populaires. La convention avec les radios communautaires permet d’impliquer les radios membres à l’animation au niveau local de débats et à la sensibilisation sur la réforme des institutions.
Près de 250 personnes, issues des différentes organisations partenaires, sont formés afin d’accomplir correctement leurs tâches de facilitation, d’animation et d’accompagnement du processus.
Par ailleurs, une délégation de la CNRIrend visite d’information et d’échanges aux chefs des communautés religieuses. Une séried’entretiens sont en courségalement avec les chefs de partis représentés à l’Assemblée Nationale et les responsables des organisations de la société civile pour les informer sur le processus et les activités en perspective, et recueillir leurs avis et suggestions.
Un courrier estégalement envoyé à toutes les organisations pour les informer du calendrier des événements jusqu’à leur aboutissement.
Enfin, une campagne médiatique complète la campagne de sensibilisation pour inciter nos compatriotes à s’impliquer dans les débats au sujet de la réforme des institutions du Sénégal.La Commission se dote par ailleurs d’une charte graphique (avec logo et jingle) et d’un site web interactif (www.cnri.sn).
Les réunions de la CNRIse tiennent régulièrement pour préparer les trois composantes des consultations citoyennes qui se dérouleront à compter du 14 septembre 2013 :
- les fora populaires, le 14 septembre : organisation de débats ouverts à tous les citoyens intéressés pour collecter les propositions de solutions en face de chaque élément du diagnostic sur les institutions systématisé par la CNRI;
- les panels citoyens,le 15 septembre : sur la base d’un questionnaire adapté, organisation d’un dialogue structuré entre citoyens constituant un échantillon représentatif de la population de chaque département, en vue de déceler les accords fondamentaux sur les principes et orientations à donner à la réforme et de relever les propositions des porteurs d’enjeux qui emportent le plus l’adhésion des citoyens;
- et, enfin, les enquêtes par questionnaires qui démarreront le 15 septembre et dureront dix (10) jours pour les citoyens et quinze (15) jours pour les diverses organisations politiques, syndicales ou civiles désignées sous le vocable «porteurs d’enjeux».Ces derniers ont la latitude de se prononcer autant sur la pertinence et/ou les orientations primordiales que sur les options et modalités de prise en charge des réformes souhaitées dans l’architecture et le fonctionnement des institutions.
Il est à noter que deux types de questionnaires seront distribués : les premiers sont destinés aux citoyens, et les seconds, aux porteurs d’enjeux, comprenez les organisations politiques et syndicales ainsi que celles de la société civile.
Le traitement des données, qui commence dès après les panels citoyens, sera finalisée au plus tard en mi- octobre.
Il est également prévu une quinzaine de jours de discussions avec les porteurs d’enjeux, pour apaiser ce qui pourrait être considéré comme des «champs de tension».
Au sortir de ces rencontres, début novembre, les ultimes tâches consisteront à l’élaboration du pré-rapport et sa validation par la CNRI.
La remise des conclusions définitives au chef de l’Etat est prévue pour fin novembre, avant sa présentation au grand public.
FICHE DE POSTE
-B E P MECANIQUE ou ELECTROMECANIQUE ou bien DIPLOME EQUIVALENT
-EXPERIENCE 5 ANS MINIMUM
-CONNAISSANCE EN INFORMATIQUE
-ETRE AGEE ENTRE 30 A 40 ANS
-PERMIS DE CONDUIRE (2 ANS MINIMUM)
-CONNAISSANCE EN ANGLAIS
-EXPERIENCE 5 ANS MINIMUM
-CONNAISSANCE EN INFORMATIQUE
-ETRE AGEE ENTRE 30 A 40 ANS
-PERMIS DE CONDUIRE (2 ANS MINIMUM)
-CONNAISSANCE EN ANGLAIS
Cérémonie de remise des diplômes des promotion 7 et 8 du MBA IP Paris du CESAG
Sous le parrainage du Dr Cheikh KANTE, Directeur Général du Port
autonome de Dakar, le Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion
organise, le samedi 29 juin 2013 à son auditorium, une cérémonie de
remise de Diplômes des promotions 7 et 8 du programme de MBA IP
Paris Dauphine- CESAG- IAE Paris Panthéon Sorbonne.
A l’occasion de cette cérémonie, une conférence portant sur le thème :
Capital immatériel et performance : cas des entreprises au sein de
L’UEMOA» sera animée par le Parrain.
Elle sera suivie d’une table ronde sur le thème : « Exemple de modèle
stratégique de réussite locale et internationale d’une entreprise
africaine : le modèle du groupe GHA-EXO ».
Mise en place et début de la cérémonie 9 heures
autonome de Dakar, le Centre Africain d’Etudes Supérieures en Gestion
organise, le samedi 29 juin 2013 à son auditorium, une cérémonie de
remise de Diplômes des promotions 7 et 8 du programme de MBA IP
Paris Dauphine- CESAG- IAE Paris Panthéon Sorbonne.
A l’occasion de cette cérémonie, une conférence portant sur le thème :
Capital immatériel et performance : cas des entreprises au sein de
L’UEMOA» sera animée par le Parrain.
Elle sera suivie d’une table ronde sur le thème : « Exemple de modèle
stratégique de réussite locale et internationale d’une entreprise
africaine : le modèle du groupe GHA-EXO ».
Mise en place et début de la cérémonie 9 heures
CONSEIL NATIONAL DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
REPUBLIQUE DU SENEGAL N°0001.CNRA/P/D.C. /r.b.
UN PEUPLE – UN BUT – UNE FOI
--------------------
CONSEIL NATIONAL Dakar, le 16 avril 2013
DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
Immeuble Tamaro – Rue Mohamed VI x Jules Ferry
Boite postale : 50059 – DAKARRP
Tel: 33849.52.52 – Fax: 33821.86.14
cnra@cnra.sn
AVIS DU CONSEIL NATIONAL DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
_*_*_*_*_*_*_
LE CNRA INVITE AU RESPECT STRICT DE LA LOI INTERDISANT
LA PUBLICITE DU TABAC ET DE L’ALCOOL
DANS LES MEDIAS AUDIOVISUELS
---------------°°°----------------
Les missions du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) incluent le contrôle du contenu des messages publicitaires diffusés par les supports audiovisuels. Le contenu de ces messages doit respecter l’interdiction de tout procédé constitutif d’une propagande ou d’une publicité indirecte ou clandestine en faveur du tabac ou des produits dérivés du tabac à la télévision.
Le message publicitaire sur le jeu « bingo » diffusé par certains médias audiovisuels pour le compte de la LONASE, n’est pas conforme à ce dispositif prévu par la loi, encore moins à l’article 18, du Cahier des charges applicables aux titulaires d’une autorisation de diffusion de programmes de télévision, qui prévoit et organise la publicité dans ces supports. Cette situation explique la correspondance envoyée par le CNRA aux différentes chaines de télévision concernées, pour l’arrêt immédiat de la diffusion de la partie portant sur la présence du cigare dans le spot, avec ampliation au Directeur Général de la LONASE pour information.
Le CNRA attire l’attention des éditeurs de programmes audiovisuels sur la nécessité de veiller à la protection des consommateurs, à l’intégrité des messages véhiculés. Il importe de rappeler aussi, l’interdiction formelle de toute forme de publicité de l’alcool, y compris lors de la retransmission d’événements sportifs à caractère national ou international, comme c’est le cas de la Coupe d’Afrique des Nations ou la Coupe du Monde.
Ces événements, généralement sponsorisés par des marques de bière ou d’autres alcools, sont retransmis notamment par la télévision publique sans que la publicité des éléments interdits par la loi sénégalaise, n’en soient expurgés.
A cet égard, le CNRA se réjouit de la prompte réaction positive de la LONASE qui a soutenu sa démarche et souscrit à la demande de retrait immédiat de la partie du message publicitaire en cause. Le CNRA salue cette attitude et, par conséquent remercie le Directeur général de la LONASE pour sa franche collaboration.
Conscient de l’importance du marché publicitaire dans le financement des entreprises de presse audiovisuelle, le CNRA invite cependant les différents acteurs, annonceurs comme médias audiovisuels, à s’attacher au respect des dispositions légales et aux stipulations contractuelles, aussi bien dans la conception des messages publicitaires qu’au moment de leur diffusion, afin d’éviter des situations de cette nature. C’est fort de cette réalité, que le CNRA a choisi de demander le retrait de l’image en cause et non d’interdire la diffusion du spot. …/…
Ces précautions d’usage s’appliquent également aux artistes, producteurs, créateurs de contenus comme aux opérateurs de médias audiovisuels.
A titre d’exemple, un vidéo clip récent intitulé « kouy feug » de la chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo SECK comporte une image récurrente – revenant plusieurs fois dans le clip - d’un prétendant qui, cigare à la bouche, mime une scène de séduction, pour obtenir les faveurs de l’artiste. La diffusion de ce vidéo clip avec l’image incriminée tombe sous le coup de la loi.
Le CNRA en appelle au sens de l’éthique et au respect scrupuleux de la déontologie par tous les acteurs des médias audiovisuels, à l’esprit civique et à l’observation stricte de la loi par toutes les parties concernées, et/ ou intéressées par la production et la diffusion de messages publicitaires destinés au grand public.
REPUBLIQUE DU SENEGAL N°0001.CNRA/P/D.C. /r.b.
UN PEUPLE – UN BUT – UNE FOI
--------------------
CONSEIL NATIONAL Dakar, le 16 avril 2013
DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
Immeuble Tamaro – Rue Mohamed VI x Jules Ferry
Boite postale : 50059 – DAKARRP
Tel: 33849.52.52 – Fax: 33821.86.14
cnra@cnra.sn
AVIS DU CONSEIL NATIONAL DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
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LE CNRA INVITE AU RESPECT STRICT DE LA LOI INTERDISANT
LA PUBLICITE DU TABAC ET DE L’ALCOOL
DANS LES MEDIAS AUDIOVISUELS
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Les missions du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) incluent le contrôle du contenu des messages publicitaires diffusés par les supports audiovisuels. Le contenu de ces messages doit respecter l’interdiction de tout procédé constitutif d’une propagande ou d’une publicité indirecte ou clandestine en faveur du tabac ou des produits dérivés du tabac à la télévision.
Le message publicitaire sur le jeu « bingo » diffusé par certains médias audiovisuels pour le compte de la LONASE, n’est pas conforme à ce dispositif prévu par la loi, encore moins à l’article 18, du Cahier des charges applicables aux titulaires d’une autorisation de diffusion de programmes de télévision, qui prévoit et organise la publicité dans ces supports. Cette situation explique la correspondance envoyée par le CNRA aux différentes chaines de télévision concernées, pour l’arrêt immédiat de la diffusion de la partie portant sur la présence du cigare dans le spot, avec ampliation au Directeur Général de la LONASE pour information.
Le CNRA attire l’attention des éditeurs de programmes audiovisuels sur la nécessité de veiller à la protection des consommateurs, à l’intégrité des messages véhiculés. Il importe de rappeler aussi, l’interdiction formelle de toute forme de publicité de l’alcool, y compris lors de la retransmission d’événements sportifs à caractère national ou international, comme c’est le cas de la Coupe d’Afrique des Nations ou la Coupe du Monde.
Ces événements, généralement sponsorisés par des marques de bière ou d’autres alcools, sont retransmis notamment par la télévision publique sans que la publicité des éléments interdits par la loi sénégalaise, n’en soient expurgés.
A cet égard, le CNRA se réjouit de la prompte réaction positive de la LONASE qui a soutenu sa démarche et souscrit à la demande de retrait immédiat de la partie du message publicitaire en cause. Le CNRA salue cette attitude et, par conséquent remercie le Directeur général de la LONASE pour sa franche collaboration.
Conscient de l’importance du marché publicitaire dans le financement des entreprises de presse audiovisuelle, le CNRA invite cependant les différents acteurs, annonceurs comme médias audiovisuels, à s’attacher au respect des dispositions légales et aux stipulations contractuelles, aussi bien dans la conception des messages publicitaires qu’au moment de leur diffusion, afin d’éviter des situations de cette nature. C’est fort de cette réalité, que le CNRA a choisi de demander le retrait de l’image en cause et non d’interdire la diffusion du spot. …/…
Ces précautions d’usage s’appliquent également aux artistes, producteurs, créateurs de contenus comme aux opérateurs de médias audiovisuels.
A titre d’exemple, un vidéo clip récent intitulé « kouy feug » de la chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo SECK comporte une image récurrente – revenant plusieurs fois dans le clip - d’un prétendant qui, cigare à la bouche, mime une scène de séduction, pour obtenir les faveurs de l’artiste. La diffusion de ce vidéo clip avec l’image incriminée tombe sous le coup de la loi.
Le CNRA en appelle au sens de l’éthique et au respect scrupuleux de la déontologie par tous les acteurs des médias audiovisuels, à l’esprit civique et à l’observation stricte de la loi par toutes les parties concernées, et/ ou intéressées par la production et la diffusion de messages publicitaires destinés au grand public.
UN PEUPLE – UN BUT – UNE FOI
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Tel: 33849.52.52 – Fax: 33821.86.14
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LA PUBLICITE DU TABAC ET DE L’ALCOOL
DANS LES MEDIAS AUDIOVISUELS
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Les missions du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) incluent le contrôle du contenu des messages publicitaires diffusés par les supports audiovisuels. Le contenu de ces messages doit respecter l’interdiction de tout procédé constitutif d’une propagande ou d’une publicité indirecte ou clandestine en faveur du tabac ou des produits dérivés du tabac à la télévision.
Le message publicitaire sur le jeu « bingo » diffusé par certains médias audiovisuels pour le compte de la LONASE, n’est pas conforme à ce dispositif prévu par la loi, encore moins à l’article 18, du Cahier des charges applicables aux titulaires d’une autorisation de diffusion de programmes de télévision, qui prévoit et organise la publicité dans ces supports. Cette situation explique la correspondance envoyée par le CNRA aux différentes chaines de télévision concernées, pour l’arrêt immédiat de la diffusion de la partie portant sur la présence du cigare dans le spot, avec ampliation au Directeur Général de la LONASE pour information.
Le CNRA attire l’attention des éditeurs de programmes audiovisuels sur la nécessité de veiller à la protection des consommateurs, à l’intégrité des messages véhiculés. Il importe de rappeler aussi, l’interdiction formelle de toute forme de publicité de l’alcool, y compris lors de la retransmission d’événements sportifs à caractère national ou international, comme c’est le cas de la Coupe d’Afrique des Nations ou la Coupe du Monde.
Ces événements, généralement sponsorisés par des marques de bière ou d’autres alcools, sont retransmis notamment par la télévision publique sans que la publicité des éléments interdits par la loi sénégalaise, n’en soient expurgés.
A cet égard, le CNRA se réjouit de la prompte réaction positive de la LONASE qui a soutenu sa démarche et souscrit à la demande de retrait immédiat de la partie du message publicitaire en cause. Le CNRA salue cette attitude et, par conséquent remercie le Directeur général de la LONASE pour sa franche collaboration.
Conscient de l’importance du marché publicitaire dans le financement des entreprises de presse audiovisuelle, le CNRA invite cependant les différents acteurs, annonceurs comme médias audiovisuels, à s’attacher au respect des dispositions légales et aux stipulations contractuelles, aussi bien dans la conception des messages publicitaires qu’au moment de leur diffusion, afin d’éviter des situations de cette nature. C’est fort de cette réalité, que le CNRA a choisi de demander le retrait de l’image en cause et non d’interdire la diffusion du spot. …/…
Ces précautions d’usage s’appliquent également aux artistes, producteurs, créateurs de contenus comme aux opérateurs de médias audiovisuels.
A titre d’exemple, un vidéo clip récent intitulé « kouy feug » de la chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo SECK comporte une image récurrente – revenant plusieurs fois dans le clip - d’un prétendant qui, cigare à la bouche, mime une scène de séduction, pour obtenir les faveurs de l’artiste. La diffusion de ce vidéo clip avec l’image incriminée tombe sous le coup de la loi.
Le CNRA en appelle au sens de l’éthique et au respect scrupuleux de la déontologie par tous les acteurs des médias audiovisuels, à l’esprit civique et à l’observation stricte de la loi par toutes les parties concernées, et/ ou intéressées par la production et la diffusion de messages publicitaires destinés au grand public.
REPUBLIQUE DU SENEGAL N°0001.CNRA/P/D.C. /r.b.
UN PEUPLE – UN BUT – UNE FOI
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CONSEIL NATIONAL Dakar, le 16 avril 2013
DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
Immeuble Tamaro – Rue Mohamed VI x Jules Ferry
Boite postale : 50059 – DAKARRP
Tel: 33849.52.52 – Fax: 33821.86.14
cnra@cnra.sn
AVIS DU CONSEIL NATIONAL DE REGULATION DE L’AUDIOVISUEL
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LE CNRA INVITE AU RESPECT STRICT DE LA LOI INTERDISANT
LA PUBLICITE DU TABAC ET DE L’ALCOOL
DANS LES MEDIAS AUDIOVISUELS
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Les missions du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) incluent le contrôle du contenu des messages publicitaires diffusés par les supports audiovisuels. Le contenu de ces messages doit respecter l’interdiction de tout procédé constitutif d’une propagande ou d’une publicité indirecte ou clandestine en faveur du tabac ou des produits dérivés du tabac à la télévision.
Le message publicitaire sur le jeu « bingo » diffusé par certains médias audiovisuels pour le compte de la LONASE, n’est pas conforme à ce dispositif prévu par la loi, encore moins à l’article 18, du Cahier des charges applicables aux titulaires d’une autorisation de diffusion de programmes de télévision, qui prévoit et organise la publicité dans ces supports. Cette situation explique la correspondance envoyée par le CNRA aux différentes chaines de télévision concernées, pour l’arrêt immédiat de la diffusion de la partie portant sur la présence du cigare dans le spot, avec ampliation au Directeur Général de la LONASE pour information.
Le CNRA attire l’attention des éditeurs de programmes audiovisuels sur la nécessité de veiller à la protection des consommateurs, à l’intégrité des messages véhiculés. Il importe de rappeler aussi, l’interdiction formelle de toute forme de publicité de l’alcool, y compris lors de la retransmission d’événements sportifs à caractère national ou international, comme c’est le cas de la Coupe d’Afrique des Nations ou la Coupe du Monde.
Ces événements, généralement sponsorisés par des marques de bière ou d’autres alcools, sont retransmis notamment par la télévision publique sans que la publicité des éléments interdits par la loi sénégalaise, n’en soient expurgés.
A cet égard, le CNRA se réjouit de la prompte réaction positive de la LONASE qui a soutenu sa démarche et souscrit à la demande de retrait immédiat de la partie du message publicitaire en cause. Le CNRA salue cette attitude et, par conséquent remercie le Directeur général de la LONASE pour sa franche collaboration.
Conscient de l’importance du marché publicitaire dans le financement des entreprises de presse audiovisuelle, le CNRA invite cependant les différents acteurs, annonceurs comme médias audiovisuels, à s’attacher au respect des dispositions légales et aux stipulations contractuelles, aussi bien dans la conception des messages publicitaires qu’au moment de leur diffusion, afin d’éviter des situations de cette nature. C’est fort de cette réalité, que le CNRA a choisi de demander le retrait de l’image en cause et non d’interdire la diffusion du spot. …/…
Ces précautions d’usage s’appliquent également aux artistes, producteurs, créateurs de contenus comme aux opérateurs de médias audiovisuels.
A titre d’exemple, un vidéo clip récent intitulé « kouy feug » de la chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo SECK comporte une image récurrente – revenant plusieurs fois dans le clip - d’un prétendant qui, cigare à la bouche, mime une scène de séduction, pour obtenir les faveurs de l’artiste. La diffusion de ce vidéo clip avec l’image incriminée tombe sous le coup de la loi.
Le CNRA en appelle au sens de l’éthique et au respect scrupuleux de la déontologie par tous les acteurs des médias audiovisuels, à l’esprit civique et à l’observation stricte de la loi par toutes les parties concernées, et/ ou intéressées par la production et la diffusion de messages publicitaires destinés au grand public.
ASSISTANT IMMOBILIER
FICHE DE POSTE
MISSION
Il aura pour mission d’assister les cadres dirigeants et les consultants du groupe en charge du développement ou de la gestion de projets immobiliers.
Son rôle sera, entre autre de :
Organiser, à la demande des chefs de projets, les réunions de travail et de décisions nécessaires à l’avancement des projets, tant en interne au groupe qu’avec des participants extérieurs,
Contrôler la bonne exécution des plannings et assurer les relances nécessaires,
Veiller à la bonne circulation de l’information,
Représenter le groupe à toute réunion organisée par un prestataire extérieur ou sa présence serait souhaitée. Rendre compte de ces réunions,
Procéder, à la demande des chefs de projets, à la recherche d’information de toute nature.
Il aura également en charge d’entreprendre et de faire aboutir l’ensemble des démarches administratives et juridiques nécessaires à l’avancement des projets : baux, dossiers d’autorisation de construire, constitution de SCI, relations avec les services fiscaux…
Il assurera enfin la liaison entre le groupe et les notaires et avocats susceptibles d’intervenir sur les projets.
FORMATION/EXPERIENCE
De formation juridico /économique, il aura 4 à 5 ans d’expérience professionnelle.
Cette expérience lui aura permis d’acquérir une bonne connaissance du secteur immobilier sénégalais : promoteurs, architectes et bureaux d’études, commercialisateurs, entreprises de bâtiment, administrations …
Le poste est basé à Dakar mais demande une grande disponibilité.
Après une période d’activité probante, une évolution de carrière vers des responsabilités accrues pourra être envisagée.
Envoyez votre CV : recruteonesn@gmail.com
MISSION
Il aura pour mission d’assister les cadres dirigeants et les consultants du groupe en charge du développement ou de la gestion de projets immobiliers.
Son rôle sera, entre autre de :
Organiser, à la demande des chefs de projets, les réunions de travail et de décisions nécessaires à l’avancement des projets, tant en interne au groupe qu’avec des participants extérieurs,
Contrôler la bonne exécution des plannings et assurer les relances nécessaires,
Veiller à la bonne circulation de l’information,
Représenter le groupe à toute réunion organisée par un prestataire extérieur ou sa présence serait souhaitée. Rendre compte de ces réunions,
Procéder, à la demande des chefs de projets, à la recherche d’information de toute nature.
Il aura également en charge d’entreprendre et de faire aboutir l’ensemble des démarches administratives et juridiques nécessaires à l’avancement des projets : baux, dossiers d’autorisation de construire, constitution de SCI, relations avec les services fiscaux…
Il assurera enfin la liaison entre le groupe et les notaires et avocats susceptibles d’intervenir sur les projets.
FORMATION/EXPERIENCE
De formation juridico /économique, il aura 4 à 5 ans d’expérience professionnelle.
Cette expérience lui aura permis d’acquérir une bonne connaissance du secteur immobilier sénégalais : promoteurs, architectes et bureaux d’études, commercialisateurs, entreprises de bâtiment, administrations …
Le poste est basé à Dakar mais demande une grande disponibilité.
Après une période d’activité probante, une évolution de carrière vers des responsabilités accrues pourra être envisagée.
Envoyez votre CV : recruteonesn@gmail.com
Groupe BENNOO BOKK YAAKAAR - Pas de médiation pénale : les milliards détournés seront intégralement remboursés
Le 25 mars 2012, en réalisant la seconde alternance démocratique, les Sénégalais, dans leur immense majorité, ont voulu mettre fin à 12 longues années de népotisme, de concussion, de pillages des biens de la nation, de détournements de deniers publics et d’enrichissements illicites.
Dès sa prise de fonction, le Président Macky SALL s’est attelé à poser les bases d’une gouvernance vertueuse et s’est attaqué avec courage et détermination à la politique de prédation des ressources publiques. Il a d’emblée pris des initiatives fortes destinées à combattre les pratiques maffieuses qui ont abimé notre pays avec notamment :
– la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite,
– l’adoption d’un code de transparence,
– la création d’un ministère de la promotion de la bonne gouvernance,
– la mise en place de l’Office national anti-corruption (OFNAC).
Le processus engagé, avec courage, pour traquer, débusquer, infliger des sanctions exemplaires à la fois pécuniaires et pénales aux seules fins de recouvrer la totalité des milliards détournés représente une grande avancée dans la moralisation de la vie publique. Il constitue aussi, sans doute, le moyen le plus sûr de restituer au peuple sénégalais ses biens spoliés. L’objectif de cette belle entreprise est de permettre à terme au peuple sénégalais de bénéficier de ses maigres ressources.
A cet égard, aucun soutien ne sera de trop. C’est pourquoi la majorité Bennoo bokk yaakaar invite tous les sénégalais épris d’éthique républicaine à rejoindre le Président Macky SALL dans ce combat juste et noble.
Heureusement, les sénégalais savent pertinemment que la droiture, l’esprit de justice et le patriotisme ne consistent pas à s’apitoyer sur le sort de ceux qui ont mis à genoux l’économie de leur pays, qui ont fait fi des années durant des principes éthiques les plus élémentaires dans la gestion des biens publics et dont ils ont fait un usage familial et partisan.
C’est ne pas comprendre cela que d’essayer d’émouvoir les populations sur le sort de ceux à qui il n’est demandé que de faire la lumière sur leurs immenses patrimoines acquis en un temps record, au moment où le peuple fait dans la débrouillardise et les stratégies de survie.
Cela tient même du machiavélisme que de s’attaquer à l’Etat et au gouvernement à qui le peuple attend qu’ils lui restituent ses biens spoliés.
C’est là que réside le vrai débat. La stratégie qui consiste à vouloir transformer la traque des biens mal acquis en une question d’atteinte aux droits de l’homme est une supercherie, une vaste escroquerie intellectuelle.
Les sénégalais sont un peuple mûr et avisé et vaine sera toute entreprise de victimisation de ceux là qui, il n’y a guère longtemps encore, faisaient preuve d’arrogance et de mépris insultants à leur égard.
Entendre dire que la justice ne respecte pas les droits de la défense des fossoyeurs de l’économie nationale, dans le cadre de la traque des biens mal acquis, est une insupportable négation de l’impérieux devoir des pouvoirs publics de recouvrer les milliards que l’ancien Président et ses affidés ont soutiré au peuple sénégalais.
Ce noble combat permettra à terme d’extirper notre pays des racines de la gouvernance patrimoniale et participera à l’effort de redressement national auquel le Président SALL appelle tous les Sénégalais.
Il tiendra son engagement de sortir le Sénégal de la gouvernance compradore.
N’en déplaisent à ceux qui ont choisi de se faire les avocats du diable et qui agitent avec impertinence et démagogie des questions de droit et de justice. Rien ni personne ne saurait venir à bout de la détermination du gouvernement à aller jusqu’au bout de ce processus.
Les auteurs de la casse économique et sociale de notre pays ne méritent aucun soutien encore moins de la compassion à la suite de l’interdiction de sortie du territoire qui les frappe à juste titre.
Cette décision reste une mesure de précaution. Une mesure conservatoire légale, opportune et légitime utilisée par tous les pays du monde dans de telles circonstances.
En tout état de cause, l’honneur et le patriotisme commandent de participer aux efforts pour la traque, la restitution des biens et le recouvrement intégral des avoirs spoliés.
Au lieu de rejoindre ce juste combat, certaines personnes se sont érigées en boucliers des pillards, cherchent à semer la confusion dans les esprits et à discréditer cette entreprise de dimension hautement patriotique de traque des biens mal acquis.
La gouvernance vertueuse et la traque des biens mal acquis sont les deux leviers de la politique d’éthique républicaine que portent et partagent les Sénégalais qui ont le souci de donner à tous les enfants de leur pays l’espoir d’une vie meilleure, une chance de réussite.
La Majorité Présidentielle BENNOO BOKK YAAKAAR, en ce qui la concerne, appuie cette démarche de salubrité publique et renouvelle son soutien sans réserve au Président SALL dans son combat pour réparer les dégâts consécutifs à 12 ans de pillage systématique de nos ressources par une poignée de véreux libéraux.
Fait à Dakar, le 07 mars 2013
Le Groupe BENNOO BOKK YAAKAAR
Dès sa prise de fonction, le Président Macky SALL s’est attelé à poser les bases d’une gouvernance vertueuse et s’est attaqué avec courage et détermination à la politique de prédation des ressources publiques. Il a d’emblée pris des initiatives fortes destinées à combattre les pratiques maffieuses qui ont abimé notre pays avec notamment :
– la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite,
– l’adoption d’un code de transparence,
– la création d’un ministère de la promotion de la bonne gouvernance,
– la mise en place de l’Office national anti-corruption (OFNAC).
Le processus engagé, avec courage, pour traquer, débusquer, infliger des sanctions exemplaires à la fois pécuniaires et pénales aux seules fins de recouvrer la totalité des milliards détournés représente une grande avancée dans la moralisation de la vie publique. Il constitue aussi, sans doute, le moyen le plus sûr de restituer au peuple sénégalais ses biens spoliés. L’objectif de cette belle entreprise est de permettre à terme au peuple sénégalais de bénéficier de ses maigres ressources.
A cet égard, aucun soutien ne sera de trop. C’est pourquoi la majorité Bennoo bokk yaakaar invite tous les sénégalais épris d’éthique républicaine à rejoindre le Président Macky SALL dans ce combat juste et noble.
Heureusement, les sénégalais savent pertinemment que la droiture, l’esprit de justice et le patriotisme ne consistent pas à s’apitoyer sur le sort de ceux qui ont mis à genoux l’économie de leur pays, qui ont fait fi des années durant des principes éthiques les plus élémentaires dans la gestion des biens publics et dont ils ont fait un usage familial et partisan.
C’est ne pas comprendre cela que d’essayer d’émouvoir les populations sur le sort de ceux à qui il n’est demandé que de faire la lumière sur leurs immenses patrimoines acquis en un temps record, au moment où le peuple fait dans la débrouillardise et les stratégies de survie.
Cela tient même du machiavélisme que de s’attaquer à l’Etat et au gouvernement à qui le peuple attend qu’ils lui restituent ses biens spoliés.
C’est là que réside le vrai débat. La stratégie qui consiste à vouloir transformer la traque des biens mal acquis en une question d’atteinte aux droits de l’homme est une supercherie, une vaste escroquerie intellectuelle.
Les sénégalais sont un peuple mûr et avisé et vaine sera toute entreprise de victimisation de ceux là qui, il n’y a guère longtemps encore, faisaient preuve d’arrogance et de mépris insultants à leur égard.
Entendre dire que la justice ne respecte pas les droits de la défense des fossoyeurs de l’économie nationale, dans le cadre de la traque des biens mal acquis, est une insupportable négation de l’impérieux devoir des pouvoirs publics de recouvrer les milliards que l’ancien Président et ses affidés ont soutiré au peuple sénégalais.
Ce noble combat permettra à terme d’extirper notre pays des racines de la gouvernance patrimoniale et participera à l’effort de redressement national auquel le Président SALL appelle tous les Sénégalais.
Il tiendra son engagement de sortir le Sénégal de la gouvernance compradore.
N’en déplaisent à ceux qui ont choisi de se faire les avocats du diable et qui agitent avec impertinence et démagogie des questions de droit et de justice. Rien ni personne ne saurait venir à bout de la détermination du gouvernement à aller jusqu’au bout de ce processus.
Les auteurs de la casse économique et sociale de notre pays ne méritent aucun soutien encore moins de la compassion à la suite de l’interdiction de sortie du territoire qui les frappe à juste titre.
Cette décision reste une mesure de précaution. Une mesure conservatoire légale, opportune et légitime utilisée par tous les pays du monde dans de telles circonstances.
En tout état de cause, l’honneur et le patriotisme commandent de participer aux efforts pour la traque, la restitution des biens et le recouvrement intégral des avoirs spoliés.
Au lieu de rejoindre ce juste combat, certaines personnes se sont érigées en boucliers des pillards, cherchent à semer la confusion dans les esprits et à discréditer cette entreprise de dimension hautement patriotique de traque des biens mal acquis.
La gouvernance vertueuse et la traque des biens mal acquis sont les deux leviers de la politique d’éthique républicaine que portent et partagent les Sénégalais qui ont le souci de donner à tous les enfants de leur pays l’espoir d’une vie meilleure, une chance de réussite.
La Majorité Présidentielle BENNOO BOKK YAAKAAR, en ce qui la concerne, appuie cette démarche de salubrité publique et renouvelle son soutien sans réserve au Président SALL dans son combat pour réparer les dégâts consécutifs à 12 ans de pillage systématique de nos ressources par une poignée de véreux libéraux.
Fait à Dakar, le 07 mars 2013
Le Groupe BENNOO BOKK YAAKAAR
CŒUR DE KAOLACK
Le Cœur de Kaolack est un projet d’infrastructures socio économique qui va redonner à la capitale du Saloum sa vocation de ville carrefour, centre des affaires et des échanges économiques tant sur le plan national qu’international.
Ce complexe multifonctionnel sera doté :
D’un village des commerçants village des commerçants où seront aménagés des magasins et espaces commerciaux.
D’un vaste souk avec un vaste éventail de cantines et de hangars destinés aux marchands
D’une esplanade où seront organisés des spectacles et autres activités en plein air
De bâtiments devant abriter des plateaux libres destinés aux activités de Banques, Télécom, média ainsi qu’un centre commercial moderne
D’une zone d’exposition internationale appelée Kaolack expo internationale
D’un marché des produits agricoles
D’une garderie d’enfants pour les visiteurs
D’un comptoir International de l’Or
De salles de cinéma et théatre
D’un manège et parcours sportif
D’un parking de plus de 500 places
Et pour planter le décor une mosquée pour la dévotion des visiteurs et futurs occupants du cœur de ville.
Vous êtes investisseurs et vous souhaitez participer dans le capital de ce projet, vous souhaitez acquérir un local ou apporter une expérience ou expertise dans la gestion et l’exploitation d’un des édifices du projet cœur de Kaolack, appelez au 33 849 6545.
Ce complexe multifonctionnel sera doté :
D’un village des commerçants village des commerçants où seront aménagés des magasins et espaces commerciaux.
D’un vaste souk avec un vaste éventail de cantines et de hangars destinés aux marchands
D’une esplanade où seront organisés des spectacles et autres activités en plein air
De bâtiments devant abriter des plateaux libres destinés aux activités de Banques, Télécom, média ainsi qu’un centre commercial moderne
D’une zone d’exposition internationale appelée Kaolack expo internationale
D’un marché des produits agricoles
D’une garderie d’enfants pour les visiteurs
D’un comptoir International de l’Or
De salles de cinéma et théatre
D’un manège et parcours sportif
D’un parking de plus de 500 places
Et pour planter le décor une mosquée pour la dévotion des visiteurs et futurs occupants du cœur de ville.
Vous êtes investisseurs et vous souhaitez participer dans le capital de ce projet, vous souhaitez acquérir un local ou apporter une expérience ou expertise dans la gestion et l’exploitation d’un des édifices du projet cœur de Kaolack, appelez au 33 849 6545.
Dakaractu S.A.R.L
Ouest Foire Dakar ( Sénégal ) BP : 30018 Ndeye Maty Diagne : Directrice de publication REDACTION : dakaractu@gmail.com COMMERCIAL: pub.dakaractu@gmail.com Tél : (+221) 33 865 24 71 / 77 683 85 85 |
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