Des heurts violents ont opposé dans le centre de Bruxelles, lundi 5 décembre 2011, la police à quelque 300 opposants de la diaspora de République démocratique du Congo (RDC). Les manifestants, des sympathisants du candidat à l'élection présidentielle congolaise Etienne Tshisekedi, entendaient dénoncer les fraudes lors du scrutin du 28 novembre. Le calme est revenu en milieu de soirée.
A la veille de la proclamation, attendue ce mardi 6 décembre, des résultats de l’élection présidentielle en RDC, le quartier d’Ixelles à Bruxelles a été le théâtre de violentes échauffourées. D’un côté les forces de l’ordre belges, de l’autre des sympathisants du candidat Etienne Tshisekedi. Ils étaient environ 300 à manifester leur mécontentement face aux résultats partiels des élections congolaises, à dénoncer des « fraudes massives » et à protester contre « le soutien aveugle de la Belgique au gouvernement corrompu du (président Joseph) Kabila ».
La manifestation n’avait pas été autorisée. La demande avait été déposée trop tard, selon les autorités belges. Malgré tout, quelques centaines de personnes se sont rassemblées à la porte de Namur, proche du centre de Bruxelles.
La manifestation a dégénéré lorsque la police a empêché les manifestants de se diriger vers le siège du Parti socialiste belge, dont le dirigeant menait des discussions pour former un gouvernement. Les esprits se sont alors échauffés et en début d’après-midi, des groupes de manifestants ont commencé à se livrer à des actes de violence.
Des renforts de police dépêchés sur place
Selon les déclarations d’un porte-parole de la police à l’agence Belga, les manifestants, qui étaient environ 300, « ont réagi avec beaucoup d'agressivité devant l'échec de leur manifestation et s'en sont pris à la police. » Les émeutiers ont brisé des vitrines de magasins, endommagé des voitures et se sont affrontés avec les forces de l’ordre. Les policiers ont procédé à des interpellations. Plusieurs personnes ont été blessées, dont trois manifestants et un policier, lorsque les protestataires ont tenté de se diriger vers l'ambassade des Etats-Unis. Des renforts de police ont été dépêchés sur les lieux, survolés par un hélicoptère.
Si la situation s'est calmée aux alentours de 18h, un noyau dur de manifestants continuait de lancer des pavés et des projectiles en direction de la police ainsi que de vitrines de magasins.
A la veille de la proclamation, attendue ce mardi 6 décembre, des résultats de l’élection présidentielle en RDC, le quartier d’Ixelles à Bruxelles a été le théâtre de violentes échauffourées. D’un côté les forces de l’ordre belges, de l’autre des sympathisants du candidat Etienne Tshisekedi. Ils étaient environ 300 à manifester leur mécontentement face aux résultats partiels des élections congolaises, à dénoncer des « fraudes massives » et à protester contre « le soutien aveugle de la Belgique au gouvernement corrompu du (président Joseph) Kabila ».
La manifestation n’avait pas été autorisée. La demande avait été déposée trop tard, selon les autorités belges. Malgré tout, quelques centaines de personnes se sont rassemblées à la porte de Namur, proche du centre de Bruxelles.
La manifestation a dégénéré lorsque la police a empêché les manifestants de se diriger vers le siège du Parti socialiste belge, dont le dirigeant menait des discussions pour former un gouvernement. Les esprits se sont alors échauffés et en début d’après-midi, des groupes de manifestants ont commencé à se livrer à des actes de violence.
Des renforts de police dépêchés sur place
Selon les déclarations d’un porte-parole de la police à l’agence Belga, les manifestants, qui étaient environ 300, « ont réagi avec beaucoup d'agressivité devant l'échec de leur manifestation et s'en sont pris à la police. » Les émeutiers ont brisé des vitrines de magasins, endommagé des voitures et se sont affrontés avec les forces de l’ordre. Les policiers ont procédé à des interpellations. Plusieurs personnes ont été blessées, dont trois manifestants et un policier, lorsque les protestataires ont tenté de se diriger vers l'ambassade des Etats-Unis. Des renforts de police ont été dépêchés sur les lieux, survolés par un hélicoptère.
Si la situation s'est calmée aux alentours de 18h, un noyau dur de manifestants continuait de lancer des pavés et des projectiles en direction de la police ainsi que de vitrines de magasins.
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