La Cour a également confirmé les jugements prononcés à l’encontre de huit co-accusés, dont sept ont été condamnés à la même peine et un autre à 10 ans de prison, selon un responsable judiciaire.
M. Morsi avait été condamné en avril 2015, pour sa responsabilité dans des affrontements meurtriers qui ont éclaté à l’extérieur du palais présidentiel, durant sa seule année au pouvoir.
Ces heurts avaient opposé ses partisans à des manifestants de l’opposition, venus dénoncer un décret présidentiel dans lequel M. Morsi s’octroyait des prérogatives s’apparentant à des pleins pouvoirs, en plaçant ses décisions au-dessus de tout contrôle judiciaire.
Le chef de l’Etat islamiste a été destitué en juillet 2013 par l’ex-chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi, qui s’est fait élire président un an plus tard après avoir orchestré une répression sanglante contre l’opposition islamiste.
Plusieurs procès ont été intentés contre l’ancien président islamiste. Ses avocats ont ainsi fait appel après une condamnation à mort prononcée dans un dossier concernant des évasions massives de prison et des attaques contre la police durant la révolte de 2011 qui avait chassé Hosni Moubarak du pouvoir.
Seuls les avocats des accusés étaient présents à l’audience de samedi, a affirmé l’avocat de M. Morsi, Abdel Moneim Abdel Maqsoud.
Quatre co-accusés, initialement condamnés par contumace, n’avaient pas pu saisir la Cour de cassation pour qu’elle réexamine leur condamnation
L’organisation de défense des droits de l’Homme Amnesty international avait qualifié le premier procès de « parodie de justice ».
Depuis la destitution de M. Morsi, les autorités installées par l’armée ont lancé une répression implacable contre la confrérie islamiste des Frères musulmans, dont est issu M. Morsi, et ses partisans.
Dans les semaines qui avaient suivi la destitution de M. Morsi, plus de 1.400 manifestants islamistes ont été tués, tandis que des dizaines de milliers de personnes ont été emprisonnées et des centaines condamnées à mort dans des procès expéditifs dénoncés par l’ONU.
M. Morsi avait été condamné en avril 2015, pour sa responsabilité dans des affrontements meurtriers qui ont éclaté à l’extérieur du palais présidentiel, durant sa seule année au pouvoir.
Ces heurts avaient opposé ses partisans à des manifestants de l’opposition, venus dénoncer un décret présidentiel dans lequel M. Morsi s’octroyait des prérogatives s’apparentant à des pleins pouvoirs, en plaçant ses décisions au-dessus de tout contrôle judiciaire.
Le chef de l’Etat islamiste a été destitué en juillet 2013 par l’ex-chef de l’armée Abdel Fattah al-Sissi, qui s’est fait élire président un an plus tard après avoir orchestré une répression sanglante contre l’opposition islamiste.
Plusieurs procès ont été intentés contre l’ancien président islamiste. Ses avocats ont ainsi fait appel après une condamnation à mort prononcée dans un dossier concernant des évasions massives de prison et des attaques contre la police durant la révolte de 2011 qui avait chassé Hosni Moubarak du pouvoir.
Seuls les avocats des accusés étaient présents à l’audience de samedi, a affirmé l’avocat de M. Morsi, Abdel Moneim Abdel Maqsoud.
Quatre co-accusés, initialement condamnés par contumace, n’avaient pas pu saisir la Cour de cassation pour qu’elle réexamine leur condamnation
L’organisation de défense des droits de l’Homme Amnesty international avait qualifié le premier procès de « parodie de justice ».
Depuis la destitution de M. Morsi, les autorités installées par l’armée ont lancé une répression implacable contre la confrérie islamiste des Frères musulmans, dont est issu M. Morsi, et ses partisans.
Dans les semaines qui avaient suivi la destitution de M. Morsi, plus de 1.400 manifestants islamistes ont été tués, tandis que des dizaines de milliers de personnes ont été emprisonnées et des centaines condamnées à mort dans des procès expéditifs dénoncés par l’ONU.
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