Une rocambolesque histoire de viol qui a failli déboucher sur un meurtre, a été jugée hier par le tribunal correctionnel de Kaolack après que Mamadou Bâ a failli envoyer Amadou Ka qu'il accuse d'avoir violé son épouse, à six pieds sous terre.
Les faits se sont déroulés le 21 mai à Campement, un village situé dans le département de Kaolack. « Le soir de la même date, raconte Mamadou Bâ devant le tribunal, je suis allé à Sokone pour régler quelques courses. Amadou Ka a profité de mon absence pour violer ma femme. Et à mon retour ma femme m'a tout expliqué, mais comme on n'avait pas de témoin, j'ai convoqué les notables du village qui ont arrangé le problème à l'amiable. Mais quand un soir, je l'ai surpris sur le lit de ma femme, je l'ai poursuivi avec un coupe- coupe. On s'est battu et je lui ai donné 6 coups de coupe- coupe : 2 coups sur les jambes, 1 sur le tronc et 3 sur le crâne ».
Interpellé sur les faits qui lui sont reprochés, Amadou Ka nie catégoriquement et soutient qu'il voulait simplement « chasser un esprit maléfique qui possédait la jeune femme ». « Je ne l'ai jamais touchée de ma vie, je voulais juste la protéger et pour ce faire il a fallu que je pose ma poitrine sur la sienne » dit-il.
Pour sa part, Roky Bâ, la femme de Mamadou explique qu'Amadou Ka l'a violée à deux reprises. « La première fois, il a défoncé la porte de ma chambre et a menacé de me tuer si jamais je tentais de crier ou d'appeler le voisinage. J'habite seule avec mon mari et quand ce dernier franchit le seuil de la maison, il entre et commence à me faire ses actes ignobles. Il s'est toujours servi de mon drap pour éviter que le voisinage entende mes cris », confie la jeune femme. Le verdict de cette histoire sera rendu le 8 juin prochain.
Les faits se sont déroulés le 21 mai à Campement, un village situé dans le département de Kaolack. « Le soir de la même date, raconte Mamadou Bâ devant le tribunal, je suis allé à Sokone pour régler quelques courses. Amadou Ka a profité de mon absence pour violer ma femme. Et à mon retour ma femme m'a tout expliqué, mais comme on n'avait pas de témoin, j'ai convoqué les notables du village qui ont arrangé le problème à l'amiable. Mais quand un soir, je l'ai surpris sur le lit de ma femme, je l'ai poursuivi avec un coupe- coupe. On s'est battu et je lui ai donné 6 coups de coupe- coupe : 2 coups sur les jambes, 1 sur le tronc et 3 sur le crâne ».
Interpellé sur les faits qui lui sont reprochés, Amadou Ka nie catégoriquement et soutient qu'il voulait simplement « chasser un esprit maléfique qui possédait la jeune femme ». « Je ne l'ai jamais touchée de ma vie, je voulais juste la protéger et pour ce faire il a fallu que je pose ma poitrine sur la sienne » dit-il.
Pour sa part, Roky Bâ, la femme de Mamadou explique qu'Amadou Ka l'a violée à deux reprises. « La première fois, il a défoncé la porte de ma chambre et a menacé de me tuer si jamais je tentais de crier ou d'appeler le voisinage. J'habite seule avec mon mari et quand ce dernier franchit le seuil de la maison, il entre et commence à me faire ses actes ignobles. Il s'est toujours servi de mon drap pour éviter que le voisinage entende mes cris », confie la jeune femme. Le verdict de cette histoire sera rendu le 8 juin prochain.
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