Le président du Comité national de gestion de la lutte (CNG), Alioune Sarr, a déploré le manque de compétition de bon nombre de lutteurs sénégalais qui ne disputent qu’un combat par an, estimant qu’une carrière comme celle de l’ancien Tigre de Fass, Moustapha Guèye, qui a eu 40 voire 50 combats, ‘’ne se verra plus dans l’arène’’.
‘’Il faut faire comprendre aux lutteurs qu’ils ont intérêt à lutter plusieurs fois pour garder leur forme au lieu d’attendre un combat qui ne vient pas, ou bien quand il arrive ne donne pas les résultats escomptés’’, a-t-il dit dans un entretien paru jeudi dans le quotidien L’Observateur.
Pour Alioune Sarr, il sera difficile d’égaler le Tigre de Fass ‘’à moins que les choses ne changent plus tard et que les gens arrivent à faire 2 à 3 combats dans l’arène et qu’ils restent 20 ans dans l’arène’’
‘’Aujourd’hui, à cause de la médiatisation du gain financier énorme, les montages coûtent trop cher (…) les lutteurs font un combat sur l’année’’, a-t-il expliqué.
En sport, il est impossible d’être un grand champion sans beaucoup de compétitions, a-t-il affirmé, estimant que l’entraînement n’a rien à voir avec la compétition.
‘’Le sport de contact, de surcroît la lutte, plus tu fais de contact, plus tu te bonifie’’, souligne-t-il. Selon lui, tous les lutteurs en manque de compétition ont un problème.
‘’La répétition de l’entraînement, dit-il, ne suffit pas pour faire un champion. Si on n’a peur de la défaite, on ne peut pas faire du sport. On gagne ou on perd.’’ Pour lui, le plus important pour un lutteur, ‘’c’est la qualité de son combat’’.
( Avec APS )
‘’Il faut faire comprendre aux lutteurs qu’ils ont intérêt à lutter plusieurs fois pour garder leur forme au lieu d’attendre un combat qui ne vient pas, ou bien quand il arrive ne donne pas les résultats escomptés’’, a-t-il dit dans un entretien paru jeudi dans le quotidien L’Observateur.
Pour Alioune Sarr, il sera difficile d’égaler le Tigre de Fass ‘’à moins que les choses ne changent plus tard et que les gens arrivent à faire 2 à 3 combats dans l’arène et qu’ils restent 20 ans dans l’arène’’
‘’Aujourd’hui, à cause de la médiatisation du gain financier énorme, les montages coûtent trop cher (…) les lutteurs font un combat sur l’année’’, a-t-il expliqué.
En sport, il est impossible d’être un grand champion sans beaucoup de compétitions, a-t-il affirmé, estimant que l’entraînement n’a rien à voir avec la compétition.
‘’Le sport de contact, de surcroît la lutte, plus tu fais de contact, plus tu te bonifie’’, souligne-t-il. Selon lui, tous les lutteurs en manque de compétition ont un problème.
‘’La répétition de l’entraînement, dit-il, ne suffit pas pour faire un champion. Si on n’a peur de la défaite, on ne peut pas faire du sport. On gagne ou on perd.’’ Pour lui, le plus important pour un lutteur, ‘’c’est la qualité de son combat’’.
( Avec APS )
Autres articles
-
Visite officielle à Ndiassane: Reçu par le khalife, le président de l'Assemblée Nationale, El Malick Ndiaye, sollicite les prières du guide religieux
-
Réaction des patriotes à la déclaration de Fadilou Keïta : Un malaise grandissant au sein de Pastef
-
Affaire des 108 millions : Accusations de favoritisme et guerre de clans parmi les ex-détenus politiques
-
Réunion secrète à la Bank of America : Le Sénégal cherche à apaiser les tensions sur sa dette
-
Touba- Mbacké - Les conducteurs de mototaxis en colère : « Sonko ! Défaillant - bi »