La police de la capitale économique canadienne a indiqué sur Twitter que "la collision" a eu lieu à 13H27 locales (17H27 GMT) sans préciser s'il s'agissait d'un acte délibéré ou d'un accident.
Une "fourgonnette blanche" a renversé des passants sur la rue Yonge, au coin de l'avenue Finch, au nord du centre-ville de Toronto, selon la police.
Quatre personnes entre la vie et la mort
D'après des médias locaux, "au moins quatre personnes n'ont plus de signes vitaux". Le journal Toronto Sun a publié sur son site internet une photo d'un homme présenté comme le conducteur, être appréhendé. La police a confirmé au quotidien que l'homme arrêté était bien au volant de la fourgonnette.
La camionnette roulait à vive allure
"J'étais en voiture quand soudain, j'ai vu une camionnette blanche monter sur le trottoir en écrasant des gens (...) projetés en l'air un par un, et (le chauffeur) roulait à vive allure", a raconté un témoin, Alex Shaker, à la chaîne de télévision CTV.
"Je n'ai jamais vu quelque chose comme ça, il y avait des gens allongés sur la route", a-t-il ajouté.
Des ambulances et des véhicules de police étaient déployés sur plusieurs centaines de mètres d'intervalles, et plusieurs personnes étaient évacuées sur des brancards, selon des images aériennes des télévisions canadiennes.
Une camionnette blanche de location avec l'avant de la carrosserie défoncé était arrêtée sur un trottoir d'une grande artère de la ville entourée de véhicules de police.
"Nos pensées sont avec tous ceux affectés" par cet accident, a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau .
"Nous aurons davantage d'informations à partager avec les Canadiens dans les prochaines heures", a-t-il dit devant les députés.
Les motifs du conducteurs inconnus pour l'instant
Cet accident intervient alors que Toronto accueille une réunion des ministres de la Sécurité publique du G7, après avoir été l'hôte ce week-end de la rencontre des ministres des Affaires étrangères des sept pays les plus industrialisés (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie et Canada).
Ces faits rappellent les modes opératoires d'attaques à la voiture bélier dans plusieurs grandes capitales, comme à New York, Barcelone, Londres, Nice, Paris, Berlin ou Stockholm, où des éléments radicaux à bord de véhicules ont fauché mortellement des piétons.
La police n'a toutefois pas précisé jusqu'à présent les motifs du conducteur de la camionnette blanche de Toronto.
Relativement épargné par les attentats à caractère jihadiste, par rapport à d'autres pays, le Canada n'en est pas moins à l'abri.
En octobre dernier, un homme avait agressé à l'arme blanche un policier avant de renverser et de blesser quatre piétons avec une camionnette à Edmonton, dans l'Ouest canadien.
Au Québec, en octobre 2014, un Canadien avait renversé avec son véhicule deux militaires sur un parking, dont un avait été tué. L'homme avait ensuite été abattu par des policiers alors qu'il cherchait à les attaquer avec un couteau.
Cette attaque avait été perpétrée deux jours avant celle du Parlement à Ottawa où un jeune de 23 ans avait été tué après avoir tiré mortellement sur un soldat.
En mars 2016, un Canadien se réclamant de l'islamisme radical avait agressé deux militaires dans un centre de recrutement à Toronto.
Une "fourgonnette blanche" a renversé des passants sur la rue Yonge, au coin de l'avenue Finch, au nord du centre-ville de Toronto, selon la police.
Quatre personnes entre la vie et la mort
D'après des médias locaux, "au moins quatre personnes n'ont plus de signes vitaux". Le journal Toronto Sun a publié sur son site internet une photo d'un homme présenté comme le conducteur, être appréhendé. La police a confirmé au quotidien que l'homme arrêté était bien au volant de la fourgonnette.
La camionnette roulait à vive allure
"J'étais en voiture quand soudain, j'ai vu une camionnette blanche monter sur le trottoir en écrasant des gens (...) projetés en l'air un par un, et (le chauffeur) roulait à vive allure", a raconté un témoin, Alex Shaker, à la chaîne de télévision CTV.
"Je n'ai jamais vu quelque chose comme ça, il y avait des gens allongés sur la route", a-t-il ajouté.
Des ambulances et des véhicules de police étaient déployés sur plusieurs centaines de mètres d'intervalles, et plusieurs personnes étaient évacuées sur des brancards, selon des images aériennes des télévisions canadiennes.
Une camionnette blanche de location avec l'avant de la carrosserie défoncé était arrêtée sur un trottoir d'une grande artère de la ville entourée de véhicules de police.
"Nos pensées sont avec tous ceux affectés" par cet accident, a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau .
"Nous aurons davantage d'informations à partager avec les Canadiens dans les prochaines heures", a-t-il dit devant les députés.
Les motifs du conducteurs inconnus pour l'instant
Cet accident intervient alors que Toronto accueille une réunion des ministres de la Sécurité publique du G7, après avoir été l'hôte ce week-end de la rencontre des ministres des Affaires étrangères des sept pays les plus industrialisés (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie et Canada).
Ces faits rappellent les modes opératoires d'attaques à la voiture bélier dans plusieurs grandes capitales, comme à New York, Barcelone, Londres, Nice, Paris, Berlin ou Stockholm, où des éléments radicaux à bord de véhicules ont fauché mortellement des piétons.
La police n'a toutefois pas précisé jusqu'à présent les motifs du conducteur de la camionnette blanche de Toronto.
Relativement épargné par les attentats à caractère jihadiste, par rapport à d'autres pays, le Canada n'en est pas moins à l'abri.
En octobre dernier, un homme avait agressé à l'arme blanche un policier avant de renverser et de blesser quatre piétons avec une camionnette à Edmonton, dans l'Ouest canadien.
Au Québec, en octobre 2014, un Canadien avait renversé avec son véhicule deux militaires sur un parking, dont un avait été tué. L'homme avait ensuite été abattu par des policiers alors qu'il cherchait à les attaquer avec un couteau.
Cette attaque avait été perpétrée deux jours avant celle du Parlement à Ottawa où un jeune de 23 ans avait été tué après avoir tiré mortellement sur un soldat.
En mars 2016, un Canadien se réclamant de l'islamisme radical avait agressé deux militaires dans un centre de recrutement à Toronto.
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