George Ashman est un petit garçon tout ce qu'il y a de plus normal. Du moins depuis que l'étrange thérapie dont il a fait l'objet est terminée. Le garçonnet britannique, alors âgé de 5 ans, portait un angiome important sur le front.
Les chirurgiens londoniens ont alors proposé une technique particulière pour l'en débarrasser définitivement. Deux sacs ont été greffés à la racine de ses cheveux, au bord du front, avant d'être remplis au fur et à mesure afin d'étirer la peau sans l'abîmer pour pouvoir l'utiliser ensuite. Une fois la peau suffisamment étendue, l'angiome a été ôté. La peau étirée de part et d'autre de l'angiome a été recousue et aujourd'hui l'enfant ne porte plus qu'une discrète cicatrice.
Une merveille chirurgicale qui a pourtant stupéfait les parents de George ainsi que les curieux. "Avec ces deux gonflements de part et d'autre du front, comme des cornes, mon bébé au visage d'ange, mon fils, ressemblait soudain à Frankenstein", avoue la maman toutefois admirative du courage de son fiston. "Ce qui me rend la plus fière de lui, c'est que tout au long de son traitement, j'ai vu une force en lui que je n'ai jamais eu étant petite. Il était différent, mais il restait lui-même, et il n'a jamais laissé tout cela le freiner", ajoute-t-elle dans The Sun avant de préciser que quoi qu'il arrive, elle aimera toujours son "petit diable".
( 7SUR 7.BE )
Les chirurgiens londoniens ont alors proposé une technique particulière pour l'en débarrasser définitivement. Deux sacs ont été greffés à la racine de ses cheveux, au bord du front, avant d'être remplis au fur et à mesure afin d'étirer la peau sans l'abîmer pour pouvoir l'utiliser ensuite. Une fois la peau suffisamment étendue, l'angiome a été ôté. La peau étirée de part et d'autre de l'angiome a été recousue et aujourd'hui l'enfant ne porte plus qu'une discrète cicatrice.
Une merveille chirurgicale qui a pourtant stupéfait les parents de George ainsi que les curieux. "Avec ces deux gonflements de part et d'autre du front, comme des cornes, mon bébé au visage d'ange, mon fils, ressemblait soudain à Frankenstein", avoue la maman toutefois admirative du courage de son fiston. "Ce qui me rend la plus fière de lui, c'est que tout au long de son traitement, j'ai vu une force en lui que je n'ai jamais eu étant petite. Il était différent, mais il restait lui-même, et il n'a jamais laissé tout cela le freiner", ajoute-t-elle dans The Sun avant de préciser que quoi qu'il arrive, elle aimera toujours son "petit diable".
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