Les enquêteurs de la sûreté départementale ont exploité des traces ADN, un témoignage et l’analyse de la vidéosurveillance.
L’auteur présumé du viol commis à Trappes le vendredi 13 octobre sur une fillette de 11 ans a été arrêté en début de semaine au Sénégal où il s’était envolé deux jours après l’agression. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international. Cet habitant de Trappes âgé d’une trentaine d’années a été identifié par les enquêteurs de la Sûreté départementale notamment grâce à un témoignage et à l’analyse de la vidéosurveillance implantée dans le secteur de la gare de Trappes. Cet homme avait aussi été repéré à Paris quelques jours plus tôt, alors qu’il touchait les fesses de passantes issues de la communauté asiatique.
La fillette, d’origine tibétaine, vit en France depuis un an. Elle est logée dans un hôtel du secteur, vers lequel elle se dirigeait le soir des faits, pour retrouver sa famille. L’homme l’avait abordée vers 20 heures et lui avait imposé une relation sexuelle après l’avoir attirée jusqu’à un bosquet, à proximité du pont qui enjambe l’avenue Politzer et les voies SNCF, en pleine zone d’activités de Trappes-Elancourt.
Elle s’était confiée à ses proches en arrivant à l’hôtel. C’est un employé de cet établissement qui avait alerté la police. La fillette avait été prise en charge en pédiatrie, à l’hôpital André-Mignot du Chesnay.
Une dizaine de traces ADN avaient été relevées par les spécialistes de la police technique et scientifique sur les lieux du viol et sur les vêtements de la victime.
L’auteur présumé du viol commis à Trappes le vendredi 13 octobre sur une fillette de 11 ans a été arrêté en début de semaine au Sénégal où il s’était envolé deux jours après l’agression. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international. Cet habitant de Trappes âgé d’une trentaine d’années a été identifié par les enquêteurs de la Sûreté départementale notamment grâce à un témoignage et à l’analyse de la vidéosurveillance implantée dans le secteur de la gare de Trappes. Cet homme avait aussi été repéré à Paris quelques jours plus tôt, alors qu’il touchait les fesses de passantes issues de la communauté asiatique.
La fillette, d’origine tibétaine, vit en France depuis un an. Elle est logée dans un hôtel du secteur, vers lequel elle se dirigeait le soir des faits, pour retrouver sa famille. L’homme l’avait abordée vers 20 heures et lui avait imposé une relation sexuelle après l’avoir attirée jusqu’à un bosquet, à proximité du pont qui enjambe l’avenue Politzer et les voies SNCF, en pleine zone d’activités de Trappes-Elancourt.
Elle s’était confiée à ses proches en arrivant à l’hôtel. C’est un employé de cet établissement qui avait alerté la police. La fillette avait été prise en charge en pédiatrie, à l’hôpital André-Mignot du Chesnay.
Une dizaine de traces ADN avaient été relevées par les spécialistes de la police technique et scientifique sur les lieux du viol et sur les vêtements de la victime.
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