L’esprit « Y en a marriste » est décidé à se battre pour préserver les prochaines joutes électorales au Sénégal de toute tentative de fraude. Pour les compagnons de Fadel Barro, le coordonnateur du mouvement, la sécurisation du choix démocratique du peuple sénégalais pour l’élection de 2012 doit mobiliser toutes les énergies et capter toutes les attentions. D’autant que les prémisses d’une fraude électorale « mécanique » semblent encore en phase pour détourner les votes des citoyens. Se fondant en effet sur un rapport d’évaluation de la présidentielle de 2007, mené par son expert maison Bakar Ndiaye, spécialiste en questions électorales et en biométrie, le Mouvement Y en a marre met à nu le mécanisme électoral en vigueur au Sénégal et tout propice à la victoire « frauduleuse » du Pds.
Ce processus démarré, selon une note adressée à notre rédaction hier, avec la refonte totale du fichier électoral en 2005 et le recours à la biométrie, a déjà valu aux libéraux deux « grandes victoires avec la présidentielle de 2007 et le boycott des législatives », comme il ne peut fonctionner que sous contrôle des hommes qui l’ont mis au point avec ses multiples failles dont « l’absence d’expertise des techniquement malvoyants qui devaient procéder à sa validation ». Et le mouvement de sonner l’alerte en affirmant qu’à «l’état actuel du déroulement de notre processus électoral, tout confirme que la procédure de gestion de ce nouveau système… se consolide et tend à devenir, pour toute élection générale, une véritable machine à victoires ». Et cela d’autant que « Cette mécanique électorale à une vitesse, seule la victoire au premier tour, n’offre aucune possibilité à ces concepteurs d’inclure dans son schéma stratégique l’éventualité d’un second tour ».
Pis, relève le rapport d’évaluation de la présidentielle de 2007 de Y en a marre, « toute l’administration électorale de notre pays, qui avait en charge la gestion de cette élection et qui est toujours en place pour l’échéance de 2012, est complice, avec des preuves irréfutables, d’escroquerie électorale, de détournement d’objectif et de haute trahison ». qui plus est, « Cette même administration sous le couvert d’un Conseil Constitutionnel et d’une Cena au banc des accusés de complicité de fraude, toujours dans la même logique de détournement de la volonté citoyenne de notre peuple, ne devrait plus se retrouver dans son aise pour opérer, une fois de plus, son forfait ».
Malgré la similitude des contextes, le Mouvement y en amarre avertit toutefois que « la présidentielle de 2012 ne sera jamais comme celle de 2007 ». Clamant son dépit de la fraude électorale, le mouvement fait remarquer qu’ « A l’image du 23 juin 2011, une nouvelle dynamique s’impose pour mettre un terme définitif aux activités anti-démocratiques de la camorra électorale sénégalaise ». Appelant par conséquent à la grande mobilisation pour une synergie d’actions au plan national, les compagnons de Fadel Barro invitent les formations politiques, les mouvements citoyens comme les individualités engagées « à rejoindre le front de la transparence pour sécuriser le choix démocratique du peuple sénégalais ».
(sudonline.sn/)
Ce processus démarré, selon une note adressée à notre rédaction hier, avec la refonte totale du fichier électoral en 2005 et le recours à la biométrie, a déjà valu aux libéraux deux « grandes victoires avec la présidentielle de 2007 et le boycott des législatives », comme il ne peut fonctionner que sous contrôle des hommes qui l’ont mis au point avec ses multiples failles dont « l’absence d’expertise des techniquement malvoyants qui devaient procéder à sa validation ». Et le mouvement de sonner l’alerte en affirmant qu’à «l’état actuel du déroulement de notre processus électoral, tout confirme que la procédure de gestion de ce nouveau système… se consolide et tend à devenir, pour toute élection générale, une véritable machine à victoires ». Et cela d’autant que « Cette mécanique électorale à une vitesse, seule la victoire au premier tour, n’offre aucune possibilité à ces concepteurs d’inclure dans son schéma stratégique l’éventualité d’un second tour ».
Pis, relève le rapport d’évaluation de la présidentielle de 2007 de Y en a marre, « toute l’administration électorale de notre pays, qui avait en charge la gestion de cette élection et qui est toujours en place pour l’échéance de 2012, est complice, avec des preuves irréfutables, d’escroquerie électorale, de détournement d’objectif et de haute trahison ». qui plus est, « Cette même administration sous le couvert d’un Conseil Constitutionnel et d’une Cena au banc des accusés de complicité de fraude, toujours dans la même logique de détournement de la volonté citoyenne de notre peuple, ne devrait plus se retrouver dans son aise pour opérer, une fois de plus, son forfait ».
Malgré la similitude des contextes, le Mouvement y en amarre avertit toutefois que « la présidentielle de 2012 ne sera jamais comme celle de 2007 ». Clamant son dépit de la fraude électorale, le mouvement fait remarquer qu’ « A l’image du 23 juin 2011, une nouvelle dynamique s’impose pour mettre un terme définitif aux activités anti-démocratiques de la camorra électorale sénégalaise ». Appelant par conséquent à la grande mobilisation pour une synergie d’actions au plan national, les compagnons de Fadel Barro invitent les formations politiques, les mouvements citoyens comme les individualités engagées « à rejoindre le front de la transparence pour sécuriser le choix démocratique du peuple sénégalais ».
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