Depuis quelques années le secteur des télécommunications joue un rôle fulgurant dans les politiques et programmes publics vers l’emploi des jeunes au Sénégal. Une situation qui a poussé les acteurs qui s'activent dans le milieu du call-center de créer un collectif, lequel permettra la réorientation des politiques et programmes publics vers l'emploi des jeunes. Dans une dynamique de matérialiser la volonté du chef de l’État dans son élan d'intensification de la création d'emplois, cet regroupement arrive à point nommé, soutient le Président dudit collectif, Salam Djiba. Pour rappel, le président Sall demandait que « ces structures soient mieux soutenues et encadrées par l'État du Sénégal dans le cadre de l'extension de la convention État-Employeurs. »
Cependant, pour se donner les possibilités d'exercer un rôle aussi important dans cette nouvelle démarche économique numérisé et durable, le collectif des Centres d'Appel du Sénégal (CCAS), compte contribuer au rapprochement et une meilleure synergie entre les acteurs en vue de répondre à cette nouvelle politique économique de l'État.
Toutefois, les membres de ce collectif ambitionnent une meilleure coordination des initiatives des acteurs du milieu, une mise en place d'un dispositif de veille, de centralisation des informations et la création d'un cadre de concertation des acteurs du milieu et l'obtention de fonds et subvention. En conséquence, le secrétaire général dudit collectif, Mouhamadou Moustapha Diack, suggère au gouvernement du Sénégal de s'inspirer du Maroc, qui d’après lui, a compris très tôt les véritables enjeux des centres d'appel et en fait un cheval de bataille pour l'emploi des jeunes avec 140 centres d'appel dont 1.800 positions et 25.000 emplois réels.
Cependant, pour se donner les possibilités d'exercer un rôle aussi important dans cette nouvelle démarche économique numérisé et durable, le collectif des Centres d'Appel du Sénégal (CCAS), compte contribuer au rapprochement et une meilleure synergie entre les acteurs en vue de répondre à cette nouvelle politique économique de l'État.
Toutefois, les membres de ce collectif ambitionnent une meilleure coordination des initiatives des acteurs du milieu, une mise en place d'un dispositif de veille, de centralisation des informations et la création d'un cadre de concertation des acteurs du milieu et l'obtention de fonds et subvention. En conséquence, le secrétaire général dudit collectif, Mouhamadou Moustapha Diack, suggère au gouvernement du Sénégal de s'inspirer du Maroc, qui d’après lui, a compris très tôt les véritables enjeux des centres d'appel et en fait un cheval de bataille pour l'emploi des jeunes avec 140 centres d'appel dont 1.800 positions et 25.000 emplois réels.
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