La peur de passer une fête de l‘Aïd El Kébir sans mouton est devenue un mauvais souvenir pour les pères de famille Baol-Baol qui craignaient d’être confrontés à une pénurie. En effet, à deux semaines de l’événement religieux, la totalité des foirails se situant dans l’agglomération (Touba et Mbacké ) étaient déserts. Les rares moutons qui y étaient trouvés attachés ça et là, coûtaient excessivement chers et d’ailleurs, ne trouvaient point de preneurs.
A Moins de 72 heures de la fête, la pression est tombée. Un tour dans plusieurs lieux de vente a permis de se rendre compte que l’animal est suffisamment présent pour satisfaire toute la demande. Ce qui est du reste confirmé par Ngary Diop, le chef du service de l’élevage de Mbacké rencontré au foirail de Keur Kabb. C’est lui qui explique que les moutons sous nos yeux proviennent de la localité et pour l’essentiel, de la sous-région. Interpellés sur les prix de certaines bêtes attrayantes par leur taille et par leur allure, un berger dira allègrement 200 000 francs non sans préciser qu’il est disposé pour le marchandage.
Au finish, il nous a été donné de savoir que les tarifs sont compris entre 15 000 et 300 000 francs. Autrement dit, les foirails habituels ont repris du service de même que les points de vente occasionnels éparpillés dans les quartiers. Les bergers ont tout de même évoqués une inquiétude relative à leur approvisionnement en eau....
A Moins de 72 heures de la fête, la pression est tombée. Un tour dans plusieurs lieux de vente a permis de se rendre compte que l’animal est suffisamment présent pour satisfaire toute la demande. Ce qui est du reste confirmé par Ngary Diop, le chef du service de l’élevage de Mbacké rencontré au foirail de Keur Kabb. C’est lui qui explique que les moutons sous nos yeux proviennent de la localité et pour l’essentiel, de la sous-région. Interpellés sur les prix de certaines bêtes attrayantes par leur taille et par leur allure, un berger dira allègrement 200 000 francs non sans préciser qu’il est disposé pour le marchandage.
Au finish, il nous a été donné de savoir que les tarifs sont compris entre 15 000 et 300 000 francs. Autrement dit, les foirails habituels ont repris du service de même que les points de vente occasionnels éparpillés dans les quartiers. Les bergers ont tout de même évoqués une inquiétude relative à leur approvisionnement en eau....
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