Libération révélait comment le dispositif mis en place par les autorités sénégalaises a permis de mettre la main sur des terroristes présumés liés aux organisateurs de l’attentat du Grand Bassam en Côte d’Ivoire. Ce même dispositif a permis de mettre la main sur un mystérieux individu, selon nos informations exclusives. Son nom ? Mamadi Diané.
Mis en examen depuis plusieurs mois pour terrorisme présumé, ce ressortissant malien intrigue par le fait que malgré la gravité des faits qui pèsent sur lui, il a gardé le silence face aux enquêteurs.
Les circonstances de son arrestation sont plus que troublantes.
Selon nos informations, il a été interpellé, courant 2017, vers 5 heures du matin au croisement CAPA par la brigade de gendarmerie de Hann, avec un sac contenant plusieurs matériaux (cuivre, bronze et laiton broyés) qui, selon les experts, peuvent servir à fabriquer des explosifs. Arrêté en flagrance, Diané a évoqué son droit au silence, se refusant à répondre aux questions des gendarmes. Pourtant, en cellule, il échangeait en Wolof (langue locale) avec ses co détenus, selon le rapport d’enquête de la brigade de gendarmerie de Hann.
Pourquoi ce silence ? Que cache Diané ? Pourquoi avait-il besoin de ces matériaux ? L’instruction confiée au doyen des juges qui ne l’a pas encore entendu dans le fond devrait révéler ses secrets. A noter que plusieurs ressortissants maliens sont écroués à Dakar pour terrorisme présumé.
Mis en examen depuis plusieurs mois pour terrorisme présumé, ce ressortissant malien intrigue par le fait que malgré la gravité des faits qui pèsent sur lui, il a gardé le silence face aux enquêteurs.
Les circonstances de son arrestation sont plus que troublantes.
Selon nos informations, il a été interpellé, courant 2017, vers 5 heures du matin au croisement CAPA par la brigade de gendarmerie de Hann, avec un sac contenant plusieurs matériaux (cuivre, bronze et laiton broyés) qui, selon les experts, peuvent servir à fabriquer des explosifs. Arrêté en flagrance, Diané a évoqué son droit au silence, se refusant à répondre aux questions des gendarmes. Pourtant, en cellule, il échangeait en Wolof (langue locale) avec ses co détenus, selon le rapport d’enquête de la brigade de gendarmerie de Hann.
Pourquoi ce silence ? Que cache Diané ? Pourquoi avait-il besoin de ces matériaux ? L’instruction confiée au doyen des juges qui ne l’a pas encore entendu dans le fond devrait révéler ses secrets. A noter que plusieurs ressortissants maliens sont écroués à Dakar pour terrorisme présumé.
Autres articles
-
Message de Macky Sall aux Sénégalais : La réplique du porte-Parole de la Présidence, Ousseynou Ly
-
Tivaouane- Barthélémy Dias raille Ousmane Sonko : " En l'espace de 7 mois, il n'a pu tenir aucune de ses promesses. Vous pouvez l'appeler MIMI".
-
Tivaouane/Réduction des prix du courant et de l'essence dans 3 voire 4 mois : Amadou Bâ promet de donner la recette d'ici la fin de la semaine.
-
Coup de filet nocturne : la police démantèle un réseau et saisit 301 kg de "YAMBA" à Dakar et Rufisque… Quatre trafiquants sous les verrous !
-
Lac Tchad : des morts jihadistes dans des raids aériens de l'armée selon le président Déby