D’après El Hadji Bara Thiam, le Premier vice-président de la fédération sénégalaise d'athlétisme (FSA), « L'athlète est dans son droit…» En effet, la réaction du premier vice-président FSA, ne s'est pas faite attendre suite au ras-le-bol publiquement exprimé par le coureur (110m haies), Louis François Mendy, sur les primes dérisoires que lui proposent la Fédération (50.000 fcfa) et (30.000 fcfa) venant du ministère des sportifs après son sacre aux championnats d'Afrique 2024. Sans oublier une préparation aux jeux olympiques Paris 2024,
Dans un contexte où la voix du président de la FSA, Sara Oualy, ne s'est pas faite entendre, son bras droit, El Hadji Bara Thiam, a pris le relai pour apaiser la tension. Allant dans le sens de Louis François Mendy, il a reconnu que le champion d'Afrique a parfaitement le droit d'exprimer sa frustration et son amertume.
« En mon humble avis l'athlète est dans son droit, il est en train de lancer un cri du coeur lié aux primes. Un champion d'Afrique reste un champion d'Afrique que l'on soit footballeur, basketteur, karatéka etc Il doit y avoir une certaine équité dans le traitement des athlètes de haut niveau. »
Il poursuit en s’adressant au nouveau régime en place : « C'est une vieille doléances qui n'a pas trouvé solution. Tous les régimes qui sont passés par là ont échoué là-dessus. Comme on parle de rupture, il est tant de changer la donne. Dès leur retour nous allons essayer de rencontrer le ministre (Khady Diène Gaye) pour qu'elle nous prête une oreille attentive afin qu'on lui explique de manière nette ce qui se passe. Et qu'elle puisse conseiller le président Bassirou Diomaye Faye. Il est urgent de régler cette situation ! »
Dans un contexte où la voix du président de la FSA, Sara Oualy, ne s'est pas faite entendre, son bras droit, El Hadji Bara Thiam, a pris le relai pour apaiser la tension. Allant dans le sens de Louis François Mendy, il a reconnu que le champion d'Afrique a parfaitement le droit d'exprimer sa frustration et son amertume.
« En mon humble avis l'athlète est dans son droit, il est en train de lancer un cri du coeur lié aux primes. Un champion d'Afrique reste un champion d'Afrique que l'on soit footballeur, basketteur, karatéka etc Il doit y avoir une certaine équité dans le traitement des athlètes de haut niveau. »
Il poursuit en s’adressant au nouveau régime en place : « C'est une vieille doléances qui n'a pas trouvé solution. Tous les régimes qui sont passés par là ont échoué là-dessus. Comme on parle de rupture, il est tant de changer la donne. Dès leur retour nous allons essayer de rencontrer le ministre (Khady Diène Gaye) pour qu'elle nous prête une oreille attentive afin qu'on lui explique de manière nette ce qui se passe. Et qu'elle puisse conseiller le président Bassirou Diomaye Faye. Il est urgent de régler cette situation ! »
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