DAKARACTU.COM L’insoluble problème de l’eau inquiète à plus d’un titre les chefs religieux de la ville sainte dont, principalement, Serigne Cheikh Aliou Mbacké. Le coordonnateur de Maou Rahmati (structure chargée de l’eau à Touba) accuse la gratuité de l’eau comme étant la seule cause. Le marabout a fait la déclaration mercredi, lors de la cérémonie de réception de 12 kilomètres de conduite et d’un groupe électrogène offerts par Serigne Mandiaye Ndiaye.
A l’en croire, la conjoncture économique difficile qui secoue le monde exige de Touba un changement urgent de fusil d’épaule. Il faut, selon lui, impérativement mettre fin à cette gratuité du liquide précieux pour donner aux populations une eau de bonne qualité et en quantité suffisante. Serigne Cheikh Aliou de se féliciter de l’apport considérable de l’Etat en termes d’électrification des forages et de mise à la disposition de la cité de pompes mais regrette les lenteurs accusées dans la résolution du problème. Pour lui, « ce n’est pas à coups de CRD approximatifs à l’approche du magal que l’on arrivera à régler ce casse-tête. Il faut, dit-il, des projets spécifiques et ambitieux à la dimension de l’importance des exigences. Nous ne devons plus penser que l’Etat et le Khalife seuls doivent supporter le coût du ravitaillement en eau ». Serigne Cheikh Aliou se plaindra longuement des « peaux de banane » chaque jour lancées sur son chemin par ses propres parents. Il donnera l’exemple de son ‘’télédon’’ d’alors combattu par des Mbacké-Mbacké.
« Pour faire échouer mon ‘’télédon’’, ils l’ont assimilé à de la mendicité. Aujourd’hui, l’on voit que la mendicité est devenue, pour beaucoup d’entre eux, un viatique fort juteux ».
A l’en croire, la conjoncture économique difficile qui secoue le monde exige de Touba un changement urgent de fusil d’épaule. Il faut, selon lui, impérativement mettre fin à cette gratuité du liquide précieux pour donner aux populations une eau de bonne qualité et en quantité suffisante. Serigne Cheikh Aliou de se féliciter de l’apport considérable de l’Etat en termes d’électrification des forages et de mise à la disposition de la cité de pompes mais regrette les lenteurs accusées dans la résolution du problème. Pour lui, « ce n’est pas à coups de CRD approximatifs à l’approche du magal que l’on arrivera à régler ce casse-tête. Il faut, dit-il, des projets spécifiques et ambitieux à la dimension de l’importance des exigences. Nous ne devons plus penser que l’Etat et le Khalife seuls doivent supporter le coût du ravitaillement en eau ». Serigne Cheikh Aliou se plaindra longuement des « peaux de banane » chaque jour lancées sur son chemin par ses propres parents. Il donnera l’exemple de son ‘’télédon’’ d’alors combattu par des Mbacké-Mbacké.
« Pour faire échouer mon ‘’télédon’’, ils l’ont assimilé à de la mendicité. Aujourd’hui, l’on voit que la mendicité est devenue, pour beaucoup d’entre eux, un viatique fort juteux ».
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