Après le pouvoir, Wade va perdre son parti.
Pape Diop se révolte.
La liste parallèle ira aux législatives.
Le président Abdoulaye Wade avait une occasion rêvée de sortir par la grande porte après la perte du pouvoir. Il pouvait se donner une retraite dorée, s’il avait décidé de se mettre loin de la politique. Malheureusement, il en a décidé autrement, il reste à la tête du PDS, commet l’erreur de parachuter Oumar Sarr et il va certainement être confronté, à la plus grande rébellion qu’il n’ait jamais connue dans le PDS. Pape Diop et des membres influents du parti, se sont révoltés.
Le Président Abdoulaye Wade va vers une fin politique tragique, ce qu’il a construit en plus de 20 ans, risque de s’effondrer comme un château de cartes. Le Général National du PDS était pourtant averti : « l’avenir du PDS repose en grande partie sur sa capacité à conduire les investitures » lui avait confessé un ancien Ministre. Le Président Abdoulaye Wade avait reçu carte blanche du parti après la réunion du CICES pour faire les listes. Au lieu de faire de larges concertations avec les responsables du parti et la base, le président s’est fait entourer de personnes qui l’ont encore conduit vers des erreurs. Le groupe qui s’est formé autour de Oumar Sarr, Karim Wade, Farba Senghor, Aliou Sow et Modou Diagne Fada, a décidé de conduire les investitures à sa façon. Ce cercle restreint a comme ambition de contrôler le PDS pour faire de Karim Wade, le patron du parti. Ils ont investi tous les responsables qui donnent des garanties de fidélité au fils du Président et, naturellement, ont écarté tous les « révolutionnaires ».
C’est ainsi que Pape Diop ( Président du Sénat) Mamadou Seck (Président de l’Assemblée Nationale),Ousmane Masseck Ndiaye (Président du conseil économique et social), d’anciens Ministres, des députés et des sénateurs sont entrés en rébellion, ils vont se dresser contre le projet monarchique du Président Wade. Ce groupe de « refus de la capitulation » va déposer sa propre liste aux élections législatives du 1er juillet. Le parti démocratique sénégalais part, ainsi, en lambeaux. Son avenir est plus que jamais compromis. Chez les initiateurs de la rébellion, on se dit frustrer par la façon « anti démocratique et sectaire » dont les investitures ont été conduites.
Doudou Coulibaly.
La liste parallèle ira aux législatives.
Le président Abdoulaye Wade avait une occasion rêvée de sortir par la grande porte après la perte du pouvoir. Il pouvait se donner une retraite dorée, s’il avait décidé de se mettre loin de la politique. Malheureusement, il en a décidé autrement, il reste à la tête du PDS, commet l’erreur de parachuter Oumar Sarr et il va certainement être confronté, à la plus grande rébellion qu’il n’ait jamais connue dans le PDS. Pape Diop et des membres influents du parti, se sont révoltés.
Le Président Abdoulaye Wade va vers une fin politique tragique, ce qu’il a construit en plus de 20 ans, risque de s’effondrer comme un château de cartes. Le Général National du PDS était pourtant averti : « l’avenir du PDS repose en grande partie sur sa capacité à conduire les investitures » lui avait confessé un ancien Ministre. Le Président Abdoulaye Wade avait reçu carte blanche du parti après la réunion du CICES pour faire les listes. Au lieu de faire de larges concertations avec les responsables du parti et la base, le président s’est fait entourer de personnes qui l’ont encore conduit vers des erreurs. Le groupe qui s’est formé autour de Oumar Sarr, Karim Wade, Farba Senghor, Aliou Sow et Modou Diagne Fada, a décidé de conduire les investitures à sa façon. Ce cercle restreint a comme ambition de contrôler le PDS pour faire de Karim Wade, le patron du parti. Ils ont investi tous les responsables qui donnent des garanties de fidélité au fils du Président et, naturellement, ont écarté tous les « révolutionnaires ».
C’est ainsi que Pape Diop ( Président du Sénat) Mamadou Seck (Président de l’Assemblée Nationale),Ousmane Masseck Ndiaye (Président du conseil économique et social), d’anciens Ministres, des députés et des sénateurs sont entrés en rébellion, ils vont se dresser contre le projet monarchique du Président Wade. Ce groupe de « refus de la capitulation » va déposer sa propre liste aux élections législatives du 1er juillet. Le parti démocratique sénégalais part, ainsi, en lambeaux. Son avenir est plus que jamais compromis. Chez les initiateurs de la rébellion, on se dit frustrer par la façon « anti démocratique et sectaire » dont les investitures ont été conduites.
Doudou Coulibaly.
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