Il est clairement établi que certaines pratiques du PDS (le parti démocratique sénégalais arrivé au pouvoir en 2000) avaient fini de dégoûter le peuple des assises nationales.
La présence récurrente des cars «Ndiaga Ndiaye» à l’intérieur et aux abords du palais présidentiel, les réunions politiques qui y étaient régulièrement convoquées et les amalgames toujours entretenus par Me Wade entre sa fonction de Président de la république et de chef de parti ont longtemps donné des tournis au commun des sénégalais.
Cependant il faut Comprendre une bonne fois pour toute que le Président Macky SALL n’est pas Me Abdoulaye Wade.
Qui sont ces politiciens, tapis dans l’ombre, qui agitent la question d’incompatibilité entre la fonction de chef d’Etat et celle de chef de parti politique ?
Au nom de quoi la charte des assises nationales doit être au-dessus de notre loi fondamentale ?
Ces questions trouvent la seule et unique réponse dans l’idée de freiner l’envol de l’APR en le privant de son chef de file alors que le parti n’est pas encore totalement structuré.
Les jeux de dupes ne passeront pas. Car nous n’accepterons jamais que le Président Macky SALL se décharge de sa responsabilité de chef de l’APR, parti qu’il a mis en place et qui est toujours en construction.
Tous les actes posés par le Président Macky SALL depuis son arrivée au pouvoir ont fini de nous renseigner quant à sa capacité d’être au-dessus de la mêlée.
Les institutions sont toujours à l’image des hommes qui les incarnent.
Abdou Karim Sall
La présence récurrente des cars «Ndiaga Ndiaye» à l’intérieur et aux abords du palais présidentiel, les réunions politiques qui y étaient régulièrement convoquées et les amalgames toujours entretenus par Me Wade entre sa fonction de Président de la république et de chef de parti ont longtemps donné des tournis au commun des sénégalais.
Cependant il faut Comprendre une bonne fois pour toute que le Président Macky SALL n’est pas Me Abdoulaye Wade.
Qui sont ces politiciens, tapis dans l’ombre, qui agitent la question d’incompatibilité entre la fonction de chef d’Etat et celle de chef de parti politique ?
Au nom de quoi la charte des assises nationales doit être au-dessus de notre loi fondamentale ?
Ces questions trouvent la seule et unique réponse dans l’idée de freiner l’envol de l’APR en le privant de son chef de file alors que le parti n’est pas encore totalement structuré.
Les jeux de dupes ne passeront pas. Car nous n’accepterons jamais que le Président Macky SALL se décharge de sa responsabilité de chef de l’APR, parti qu’il a mis en place et qui est toujours en construction.
Tous les actes posés par le Président Macky SALL depuis son arrivée au pouvoir ont fini de nous renseigner quant à sa capacité d’être au-dessus de la mêlée.
Les institutions sont toujours à l’image des hommes qui les incarnent.
Abdou Karim Sall
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