Le projet Simandou qui est le plus grand projet d'exploitation de minerai de fer, est situé dans le Sud-Est de la Guinée. En effet, Rio Tinto et des acteurs chinois ont reçu toutes les autorisations pour exploiter le site de gisement de fer à haute teneur. Selon un communiqué de la multinationale australienne repris par des médias guinéens, "La transaction devrait être finalisée au cours de la semaine du 15 juillet 2024. Parallèlement à l'approbation récente du conseil d'administration de Simfer, cette approbation permet à Simfer d'investir et de financer sa part de l'infrastructure ferroviaire et portuaire co-développée, un effort de collaboration avec Winning Consortium Simandou (WCS), Baowu et la République de Guinée."
D'après les termes de la transaction mentionnée dans le communiqué, "Simfer acquerra une participation dans les sociétés du projet WCS qui construisent les infrastructures ferroviaires et portuaires, s'engagera à réaliser elle-même une partie des travaux de construction et s'engagera à financer sa part du coût global de l'infrastructure co-développée, pour un montant total d'environ 6,5 milliards de dollars (part de Rio Tinto d'environ 3,5 milliards de dollars). Chalco Iron Ore Holdings Ltd (CIOH) a désormais payé sa part des dépenses d'investissement engagées ou requises par Simfer pour faire avancer les travaux critiques jusqu'à leur achèvement. La capacité d'infrastructure co-développée et le coût associé seront partagés à parts égales entre Simfer, qui développera, possédera et exploitera une mine de 60 millions de tonnes par an dans les blocs 3 et 4 du projet Simandou, et WCS, qui développe les blocs 1 et 2.
En contrepartie, "Simfer construira la ligne ferroviaire secondaire Simfer d'environ 70 kilomètres et un port de transbordement pour navires (TSV) d'une capacité de 60 millions de tonnes par an, tandis que WCS construira la ligne ferroviaire principale à double voie d'environ 536 kilomètres, la ligne ferroviaire secondaire WCS d'environ 16 kilomètres et un port de barges d'une capacité de 60 millions de tonnes par an". Une fois achevées, toutes les infrastructures et le matériel roulant co-développés seront transférés et exploités par la coentreprise Compagnie du Transguinen (CTG), dans laquelle Simfer et WCS détiennent chacune une participation de 42,5 % et l'État guinéen une participation de 15 %", renseigne le document exploité par Dakaractu.
En outre, la première production de la mine Simfer est prévue pour 2025, avec une montée en puissance sur 30 mois pour atteindre une capacité annuelle de 60 millions de tonnes par an (27 millions de tonnes pour la part de Rio Tinto).
Les besoins de financement de Simfer pour le projet Simandou dans son ensemble sont estimés à environ 11,6 milliards de dollars, dont la part de Rio Tinto s’élève à environ 6,2 milliards de dollars. La Guinée quant à elle offre le minerai et les garanties souveraines, conclut le communiqué.
D'après les termes de la transaction mentionnée dans le communiqué, "Simfer acquerra une participation dans les sociétés du projet WCS qui construisent les infrastructures ferroviaires et portuaires, s'engagera à réaliser elle-même une partie des travaux de construction et s'engagera à financer sa part du coût global de l'infrastructure co-développée, pour un montant total d'environ 6,5 milliards de dollars (part de Rio Tinto d'environ 3,5 milliards de dollars). Chalco Iron Ore Holdings Ltd (CIOH) a désormais payé sa part des dépenses d'investissement engagées ou requises par Simfer pour faire avancer les travaux critiques jusqu'à leur achèvement. La capacité d'infrastructure co-développée et le coût associé seront partagés à parts égales entre Simfer, qui développera, possédera et exploitera une mine de 60 millions de tonnes par an dans les blocs 3 et 4 du projet Simandou, et WCS, qui développe les blocs 1 et 2.
En contrepartie, "Simfer construira la ligne ferroviaire secondaire Simfer d'environ 70 kilomètres et un port de transbordement pour navires (TSV) d'une capacité de 60 millions de tonnes par an, tandis que WCS construira la ligne ferroviaire principale à double voie d'environ 536 kilomètres, la ligne ferroviaire secondaire WCS d'environ 16 kilomètres et un port de barges d'une capacité de 60 millions de tonnes par an". Une fois achevées, toutes les infrastructures et le matériel roulant co-développés seront transférés et exploités par la coentreprise Compagnie du Transguinen (CTG), dans laquelle Simfer et WCS détiennent chacune une participation de 42,5 % et l'État guinéen une participation de 15 %", renseigne le document exploité par Dakaractu.
En outre, la première production de la mine Simfer est prévue pour 2025, avec une montée en puissance sur 30 mois pour atteindre une capacité annuelle de 60 millions de tonnes par an (27 millions de tonnes pour la part de Rio Tinto).
Les besoins de financement de Simfer pour le projet Simandou dans son ensemble sont estimés à environ 11,6 milliards de dollars, dont la part de Rio Tinto s’élève à environ 6,2 milliards de dollars. La Guinée quant à elle offre le minerai et les garanties souveraines, conclut le communiqué.
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