Plusieurs morts au siège de la RADIO-TV malienne à Bamako


 Plusieurs morts au siège de la RADIO-TV malienne à Bamako
Plusieurs personnes ont été tuées lundi au siège de la radio-télévision malienne (ORTM) à Bamako lors d'échanges de tirs entre ex-putschistes et la garde présidentielle fidèle à l'ancien président renversé le 22 mars, Amadou Toumani Touré, a appris l'AFP auprès de salariés de l'ORTM. Il y a des morts, a dit un salarié sous couvert d'anonymat, confirmé par des collègues qui n'ont toutefois pu préciser combien de personnes avaient été tuées, ni qui elles étaient. L'ORTM était occupée par des putschistes depuis le 22 mars et des éléments de la garde présidentielle ont tenté d'en reprendre le contrôle après avoir fait évacuer es journalistes. Nous avons demandé aux journalistes de quitter l'ORTM, mais nous ne contrôlons pas encore totalement les lieux, a déclaré à l'AFP un membre de la garde présidentielle interrogé par téléphone. Plus tôt dans la soirée, l'ambassade américaine à Bamako avait fait état de tirs près du siège de l'ORTM et une journaliste avait également parlé d'échanges de coups de feu. D'autres échanges de tirs ont été entendus à Bamako ainsi qu'à proximité du camp militaire de Kati, près de la capitale malienne, qui sert de quartier général à la junte dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo qui avait renversé le président ATT. Les Bérets rouges de la garde présidentielle se sont opposés à l'arrestation d'Abidine Guindo, ancien chef d'état-major particulier du président ATT.
Mardi 1 Mai 2012
afp




1.Posté par leuk le 01/05/2012 17:17
Sans parler des événements malheureux qui se déroulent au Mali, je voudrais attirer l'attention des sénégalais sur ce qui se passe à l'université cheikh anta diop de dakar. Tenez, des étudiants qui tentent de se faire payer leurs bourses mais qui font face à d'énormes difficultés parce que tout simplement de gros bras qui se nomment kékendo y font leur loi. Dans les guichets de paiement, ils sèment le bordel en ne respectant pas les lots déjà formés par des étudiants qui sont souvent obligés de passer des jours voire des semaines sans pouvoir se faire payer. Le kékendo récupere certaines cartes de quelques étudiants qu'ils font introduire dans les guichets moyennant 5000 et meme 10000 francs qu'ils exigent aux étudiants qui acceptent ce système. J'ai remarqué que certains acceptent car ne pouvant plus attendre. Ce qui est grave dans tout cela les membres du kékendo ne sont meme pas des étudiants. Je demande au nouveau directeur du Coud de nettoyer le campus social. Les étudiants sont terrorisés,il faut les aider et vite.



Dans la même rubrique :