DAKARACTU.COM - Après la décision du Comité national de gestion de la lutte de faire payer aux organes de presse des droits de couverture des combats de lutte, l’Association nationale de la presse sportive (ANPS) exprime son désaccord total. A entendre Salif Diallo et Cie, cette décision constitue une grave entrave à la liberté d’information du public.
« On ne peut pas, aujourd’hui, envisager de manière unilatérale des décisions quant à l’accès des médias à des combats de lutte sans avoir auparavant discuté avec les éditeurs, les syndicats ou les associations de journalistes », déclare d'emblée l’ANPS. Marquant leur étonnement face à une telle décision, les journalistes sportifs trouvent qu’on ne saurait appliquer aux médias traditionnels (presse écrite, radio et photographes) le même traitement que celui réservé à la télévision. Ouverte au dialogue, l’ANPS invite le CNG, le ministère des Sports et les promoteurs de lutte à trouver un accord dans le cadre d’une convention qui, tout en prenant en compte les dernières évolutions dans le milieu de la lutte, permettra également d’assurer de bonnes conditions de travail aux journalistes. Consciente que la télévision a effectivement pris une place centrale dans la lutte et en fait un spectacle à part entière rétribué par les détenteurs des droits, l’ANPS pense tout de même que l’urgence est de s’occuper de l’accueil des journalistes lors des combats de lutte, des dispositions pour les télévisions détentrices de droits de retransmission, du travail des photographes ainsi que de la prise d’images par les télévisions non détentrices des droits de retransmission.
« On ne peut pas, aujourd’hui, envisager de manière unilatérale des décisions quant à l’accès des médias à des combats de lutte sans avoir auparavant discuté avec les éditeurs, les syndicats ou les associations de journalistes », déclare d'emblée l’ANPS. Marquant leur étonnement face à une telle décision, les journalistes sportifs trouvent qu’on ne saurait appliquer aux médias traditionnels (presse écrite, radio et photographes) le même traitement que celui réservé à la télévision. Ouverte au dialogue, l’ANPS invite le CNG, le ministère des Sports et les promoteurs de lutte à trouver un accord dans le cadre d’une convention qui, tout en prenant en compte les dernières évolutions dans le milieu de la lutte, permettra également d’assurer de bonnes conditions de travail aux journalistes. Consciente que la télévision a effectivement pris une place centrale dans la lutte et en fait un spectacle à part entière rétribué par les détenteurs des droits, l’ANPS pense tout de même que l’urgence est de s’occuper de l’accueil des journalistes lors des combats de lutte, des dispositions pour les télévisions détentrices de droits de retransmission, du travail des photographes ainsi que de la prise d’images par les télévisions non détentrices des droits de retransmission.
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