« Non à une solution militaire en Gambie », c’est le cri de guerre des étudiants « Casaçais », lors d’un point de presse relayé. La situation en Casamance inquiète au plus haut degré. Raison pour laquelle, ces derniers, représentés par Mamina Diedhiou, ont jugé nécessaire d’interpeller l’opinion publique sur les dangers qui guettent la Casamance, pays frontalier de la Gambie. Selon eux, une intervention militaire en Gambie, ne ferait que raviver le conflit en Casamance.
« Le défi mondial actuel reste la sécurité, la promotion de la paix et la réconciliation des peuples divisés. Aujourd’hui face à la menace de la paix mondiale, nous pensons que la situation en Gambie mérite une analyse profonde et objective. Notre pays, le Sénégal, de par sa position géographique particulière avec la Gambie est aujourd’hui interpellé et devra répondre devant l’histoire, face à l’avenir incertain qui se dessine en Gambie et qui peut toucher notre pays et plus particulièrement la partie Sud », selon le porte-parole des étudiants.
Ainsi, face à cette situation, les étudiants de la Casamance comptent partager avec l’opinion nationale et le reste du monde, leurs inquiétudes sur les éventuelles conséquences d’une guerre en Gambie. « Constatant l’inexistence de frontières socioculturelles entre les pays voisins de la Sénégambie, une guerre risque d’entraîner cette partie de l’Afrique de l’Ouest vers un terrible choc », lance Mamina Diédhiou, représentant des étudiants de la Casamance.
Ils demandent ainsi aux chefs d’Etat de la Cedeao qui se réunissent demain samedi, de l’Union africaine (Ua) ainsi que la communauté internationale d’utiliser la seule et unique voie diplomatique, afin d’aider le peuple « frère de la Gambie » à sortir de cette « impasse ».
« Le défi mondial actuel reste la sécurité, la promotion de la paix et la réconciliation des peuples divisés. Aujourd’hui face à la menace de la paix mondiale, nous pensons que la situation en Gambie mérite une analyse profonde et objective. Notre pays, le Sénégal, de par sa position géographique particulière avec la Gambie est aujourd’hui interpellé et devra répondre devant l’histoire, face à l’avenir incertain qui se dessine en Gambie et qui peut toucher notre pays et plus particulièrement la partie Sud », selon le porte-parole des étudiants.
Ainsi, face à cette situation, les étudiants de la Casamance comptent partager avec l’opinion nationale et le reste du monde, leurs inquiétudes sur les éventuelles conséquences d’une guerre en Gambie. « Constatant l’inexistence de frontières socioculturelles entre les pays voisins de la Sénégambie, une guerre risque d’entraîner cette partie de l’Afrique de l’Ouest vers un terrible choc », lance Mamina Diédhiou, représentant des étudiants de la Casamance.
Ils demandent ainsi aux chefs d’Etat de la Cedeao qui se réunissent demain samedi, de l’Union africaine (Ua) ainsi que la communauté internationale d’utiliser la seule et unique voie diplomatique, afin d’aider le peuple « frère de la Gambie » à sortir de cette « impasse ».
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