L’affaire a crée bien des frictions entre Dakar et Nouakchott. Dans la soirée de mercredi dernier, les autorités aéroportuaires avait retenu à l’aéroport Léopold Sédar Senghor un officier de l’armée de l’air mauritanienne qui a déserté pour on ne sait encore quelle raison.
Ely Cheikh Ould Maya, puisque c’est de lui dont il s’agit, était visé par un avis de recherche émis par les autorités mauritaniennes qui étaient au courant de sa fuite. Alors qu’il était en transit dans la capitale avant de rejoindre les Etats-Unis qui lui avaient délivré un séjour en bonne et due forme, l’officier a été «bloqué» suivant la procédure de police.
Informée, la Mauritanie a demandé son extradition. Une demande à laquelle les autorités sénégalaises n’ont pu satisfaire et pour cause.
Selon les informations de Libération, l’officier a expliqué qu’il a déserté parce que sa vie était en danger. Et qu’en cas d’extradition, il sera non seulement torturé mais aussi tué.
Des sources renseignent que les autorités sénégalaises l’ont néanmoins retenu pendant quarante huit heures. Ce n’est que vendredi dernier que l’officier mauritanien a été autorisé à embarquer dans un vol en direction des USA. Ce qui n’a pas été du goût des services de sécurité de la Mauritanie qui ont tout fait pour que le Sénégal leur livre le «colis». Elles ont d’ailleurs rappelé qu’il y’a quelques semaines, elles avaient arrêté en Mauritanie, à la demande de Dakar, six de nos compatriotes présumés terroristes qui ont été livrés aux services sénégalais à Rosso, au niveau de la frontière.
Ce que la Mauritanie a oublié de préciser c’est que le Sénégal a aussi géré sur son sol une affaire extrêmement sensible. Elle met en cause un haut fonctionnaire mauritanien qui avait détourné des milliards d’ouguiyas avant de se terrer au Sénégal. Cueilli dans la localité de Pikine, il a été discrètement remis aux autorités mauritaniennes sans que l’affaire ne soit ébruitée. Comme quoi...
Ely Cheikh Ould Maya, puisque c’est de lui dont il s’agit, était visé par un avis de recherche émis par les autorités mauritaniennes qui étaient au courant de sa fuite. Alors qu’il était en transit dans la capitale avant de rejoindre les Etats-Unis qui lui avaient délivré un séjour en bonne et due forme, l’officier a été «bloqué» suivant la procédure de police.
Informée, la Mauritanie a demandé son extradition. Une demande à laquelle les autorités sénégalaises n’ont pu satisfaire et pour cause.
Selon les informations de Libération, l’officier a expliqué qu’il a déserté parce que sa vie était en danger. Et qu’en cas d’extradition, il sera non seulement torturé mais aussi tué.
Des sources renseignent que les autorités sénégalaises l’ont néanmoins retenu pendant quarante huit heures. Ce n’est que vendredi dernier que l’officier mauritanien a été autorisé à embarquer dans un vol en direction des USA. Ce qui n’a pas été du goût des services de sécurité de la Mauritanie qui ont tout fait pour que le Sénégal leur livre le «colis». Elles ont d’ailleurs rappelé qu’il y’a quelques semaines, elles avaient arrêté en Mauritanie, à la demande de Dakar, six de nos compatriotes présumés terroristes qui ont été livrés aux services sénégalais à Rosso, au niveau de la frontière.
Ce que la Mauritanie a oublié de préciser c’est que le Sénégal a aussi géré sur son sol une affaire extrêmement sensible. Elle met en cause un haut fonctionnaire mauritanien qui avait détourné des milliards d’ouguiyas avant de se terrer au Sénégal. Cueilli dans la localité de Pikine, il a été discrètement remis aux autorités mauritaniennes sans que l’affaire ne soit ébruitée. Comme quoi...
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