Le stade Alboury Ndiaye de Louga a de nouveau subi la furie des supporteurs du mouvement "navétanes", samedi dernier, lors de la finale régionale entre Asc Deukeudo et Penc (3- 0). Retapé à neuf par la coopération chinoise, ce joyau, qui a fait la fierté de tous les férus de sports, n’a pas résisté longtemps. Tout ou presque a été mis à sac suite à des incidents, donnant raison à ceux qui plaidaient pour la fermeture du stade au championnat populaire de Louga. Au-delà de la sanction de 800 000 F Cfa, plus 3 ans de suspension infligée à l’Asc Penc, par ailleurs finaliste des récentes phases nationales qui se sont déroulées à Tamba, se pose avec acuité le débat sur l’affectation ou non de ce nouveau stade aux navétanes.
Et les tenants de la thèse du refus de l’utilisation de l’infrastructure sportive par les pratiquants du championnat populaire tiennent leurs arguments des violences et saccages du stade malgré les efforts énormes que déploient les pouvoirs publics et les collectivités locales pour son entretien. Le plus marquant a été la mise à sac du stade régional de Louga par ses mêmes supporters de Penc qui s’étaient introduits, en 1999, dans l’enceinte du stade totalement rénové aux frais du défunt conseil régional. Ces derniers avaient «débroussaillé» le gazon, cassé les vitres, mis à sac la cabine de presse et versé de l’huile de moteur sur les gradins non sans emporter les tuyaux servant à l’arrosage de la pelouse.
Une situation qui avait occasionné la fermeture du stade pendant plusieurs saisons, obligeant la tenue des compétitions (navétanes et autres) dans les stades sablonneux de Wattel (Louga), de Dahra ou de Kébémer. C’est ainsi que l’Etat du Sénégal, avec la coopération chinoise, a réussi à retaper ce joyau. Pourtant, ce débat avait suscité l’ire des responsables du navétane qui avaient rejeté en bloc ces accusations, promettant de collaborer pour la sauvegarde de l’infrastructure. Mais cet engagement fera long feu. Samedi dernier, au cours d’un match entre Penc et l’Asc rivale, Seukeundo, le stade a subi la furie des ultras. c’est dire que les autorités doivent sévir...
Et les tenants de la thèse du refus de l’utilisation de l’infrastructure sportive par les pratiquants du championnat populaire tiennent leurs arguments des violences et saccages du stade malgré les efforts énormes que déploient les pouvoirs publics et les collectivités locales pour son entretien. Le plus marquant a été la mise à sac du stade régional de Louga par ses mêmes supporters de Penc qui s’étaient introduits, en 1999, dans l’enceinte du stade totalement rénové aux frais du défunt conseil régional. Ces derniers avaient «débroussaillé» le gazon, cassé les vitres, mis à sac la cabine de presse et versé de l’huile de moteur sur les gradins non sans emporter les tuyaux servant à l’arrosage de la pelouse.
Une situation qui avait occasionné la fermeture du stade pendant plusieurs saisons, obligeant la tenue des compétitions (navétanes et autres) dans les stades sablonneux de Wattel (Louga), de Dahra ou de Kébémer. C’est ainsi que l’Etat du Sénégal, avec la coopération chinoise, a réussi à retaper ce joyau. Pourtant, ce débat avait suscité l’ire des responsables du navétane qui avaient rejeté en bloc ces accusations, promettant de collaborer pour la sauvegarde de l’infrastructure. Mais cet engagement fera long feu. Samedi dernier, au cours d’un match entre Penc et l’Asc rivale, Seukeundo, le stade a subi la furie des ultras. c’est dire que les autorités doivent sévir...
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