Dans le cadre de la refonte du cadre juridique régissant le secteur sportif, le ministre des Sports, Khady Diène Gaye, a présidé ce jeudi un atelier de partage de l'avant-projet de loi relative aux activités physiques et sportives. Ainsi, comme l'a souligné la ministre lors de son allocution, « Nous voilà réunis ce jour pour examiner le dispositif normatif qui encadre le secteur du sport au Sénégal : mais aussi redéfinir avec vous les contours des nouveaux textes législatifs et réglementaires adaptés aux nouveaux défis et enjeux du sport. »
Cette rencontre s'inscrit dans la continuité d'exercices similaires visant à élaborer un cadre juridique adapté aux nouvelles exigences d'un secteur en pleine mutation. Cependant, comme l'a précisé Mme Gaye, « la réunion d'aujourd'hui se distingue des précédentes en ce sens qu'elle se veut pragmatique et aboutira à l'adoption d'un nouveau cadre législatif et réglementaire."
En effet, ce processus a été engagé depuis plus de dix ans, avec la participation active du ministre en tant que rapporteur de la commission chargée de statuer sur les textes relatifs à la formation et les ressources humaines. Comme l'a expliqué Mme Gaye, « la cérémonie qui nous réunit aujourd'hui revêt pour moi une importance particulière, en ce sens qu'elle marque un nouveau départ pour le sport sénégalais. »
D’après elle, « le sport est devenu de nos jours, un fait social total, intégrant des dimensions d'ordre éducatif, politique et économique. Il demeure de ce fait au centre de tous les enjeux, raison pour laquelle le Gouvernement lui accorde une importance capitale dans la mise en œuvre du Projet de transformation systémique du Sénégal. »
Cependant, le diagnostic de la situation des activités physiques et sportives a mis en évidence le caractère non conforme du cadre juridique actuel. Comme l'a souligné le ministre des sports , « sur plusieurs aspects, la loi 84-59 Portant Charte du Sport, texte de base qui organise jusqu'ici le sport sénégalais, a montré ses limites par rapport aux exigences d'une pratique sportive moderne. »
C'est pourquoi, souligne-t-elle : « l'urgence est réelle d'adapter la loi au contexte actuel de l'évolution de la pratique. » Pour relancer ce processus de réforme, le ministre a tenu à partager avec les cadres du département, ceux des fédérations et groupements sportifs ainsi que les personnes ressources. Elle a également mis en place un comité pour piloter cette réforme, qu'elle espère voir aboutir prochainement afin de valider le cadre juridique formalisant le nouveau consensus sur le sport sénégalais.
Cette rencontre s'inscrit dans la continuité d'exercices similaires visant à élaborer un cadre juridique adapté aux nouvelles exigences d'un secteur en pleine mutation. Cependant, comme l'a précisé Mme Gaye, « la réunion d'aujourd'hui se distingue des précédentes en ce sens qu'elle se veut pragmatique et aboutira à l'adoption d'un nouveau cadre législatif et réglementaire."
En effet, ce processus a été engagé depuis plus de dix ans, avec la participation active du ministre en tant que rapporteur de la commission chargée de statuer sur les textes relatifs à la formation et les ressources humaines. Comme l'a expliqué Mme Gaye, « la cérémonie qui nous réunit aujourd'hui revêt pour moi une importance particulière, en ce sens qu'elle marque un nouveau départ pour le sport sénégalais. »
D’après elle, « le sport est devenu de nos jours, un fait social total, intégrant des dimensions d'ordre éducatif, politique et économique. Il demeure de ce fait au centre de tous les enjeux, raison pour laquelle le Gouvernement lui accorde une importance capitale dans la mise en œuvre du Projet de transformation systémique du Sénégal. »
Cependant, le diagnostic de la situation des activités physiques et sportives a mis en évidence le caractère non conforme du cadre juridique actuel. Comme l'a souligné le ministre des sports , « sur plusieurs aspects, la loi 84-59 Portant Charte du Sport, texte de base qui organise jusqu'ici le sport sénégalais, a montré ses limites par rapport aux exigences d'une pratique sportive moderne. »
C'est pourquoi, souligne-t-elle : « l'urgence est réelle d'adapter la loi au contexte actuel de l'évolution de la pratique. » Pour relancer ce processus de réforme, le ministre a tenu à partager avec les cadres du département, ceux des fédérations et groupements sportifs ainsi que les personnes ressources. Elle a également mis en place un comité pour piloter cette réforme, qu'elle espère voir aboutir prochainement afin de valider le cadre juridique formalisant le nouveau consensus sur le sport sénégalais.
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