Me Ousmane Ngom, président du mouvement Libéral Ca Kanam (LCK), a réaffirmé dimanche à Saint-Louis (nord), sa volonté de tourner le dos à la politique politicienne à travers la promotion d’actions de développement en faveur des populations.
"J’ai décidé de faire de la politique autrement en tournant le dos à la politique politicienne. On a constaté que les acteurs politiques ne s’occupent pas comme il le faut du vécu quotidien des populations. Nous avons lancé le LCK pour promouvoir le développement à la base’’, a-t-il déclaré.
L’ancien ministre sénégalais de l’Intérieur s’adressait à des journalistes en marge du lancement officiel à Saint-Louis de ce mouvement politique proche de la mouvance présidentielle.
Le LCK a été notamment créé en mars 2016 à Dakar. "Notre mouvement suivant le concept + s’occuper du petit matin des populations en attendant le grand soir+ va promouvoir des actions de développement par le biais d’un encadrement des populations afin de les aider à mettre en place des activités génératrices de revenus’’, a expliqué Me Ngom.
"Il s’agit d’aider les populations à la base à être des acteurs majeurs du développement dans le cadre de l’émergence du pays. Il ne faudrait pas au moment de l’émergence qu’un groupe s’accapare des fruits de la croissance en laissant les braves populations en rade’’, a-t-il fait valoir.
Selon lui, cette approche traduit un nouvel engagement politique en faveur des populations. ‘’Ce qui est nouveau c’est l’adhésion de responsables de groupements d’intérêt économique (GIE) et de guides religieux qui s’adressent à la conscience des populations’’, a-t-il fait valoir.
"Libéral Ca Kanam se veut un réceptacle et un moyen pour tous ceux qui ont une sensibilité ou une fibre libérale de se retrouver et d’aller de l’avant pour mettre en œuvre plus rapidement et plus vigoureusement les idéaux du libéralisme social’’, lit-on dans une déclaration faisant office de profession de foi dudit mouvement.
"Suivant le slogan +La démocratie économique pour le développement du Sénégal et l’épanouissement intégral de tous ses enfants+ le mouvement entend promouvoir la formation, l’information en vue d’ancrer au Sénégal en Afrique, une culture de respect des libertés, de paix et de solidarité’’, indique la même source.
Agé d’une soixantaine d’années, le dernier ministre de l’Intérieur sous la présidence d’Abdoulaye Wade (2000-2012) est un acteur de premier plan de la classe politique sénégalaise.
Plusieurs fois ministres, il a la particularité d’avoir cheminé avec les prédécesseurs du président Macky Sall. D’abord en tant que numéro deux du Parti démocratique sénégalais (PDS) alors dans l’opposition et ensuite secrétaire général du Parti libéral sénégalais (formation politique née des flancs du PDS).
Avec la casquette de leader du PLS, il soutient la candidature du président Abdou Diouf en 2000. Me Ngom va par la suite dissoudre son parti au sein du PDS après l’arrivée de Wade au pouvoir.
Aujourd’hui président du mouvement Libéral Ca Kanam, il se présente comme un acteur de la mouvance présidentielle en envisageant de soutenir la réélection du président Macky Sall à la prochaine élection présidentielle prévue en 2019.
"J’ai décidé de faire de la politique autrement en tournant le dos à la politique politicienne. On a constaté que les acteurs politiques ne s’occupent pas comme il le faut du vécu quotidien des populations. Nous avons lancé le LCK pour promouvoir le développement à la base’’, a-t-il déclaré.
L’ancien ministre sénégalais de l’Intérieur s’adressait à des journalistes en marge du lancement officiel à Saint-Louis de ce mouvement politique proche de la mouvance présidentielle.
Le LCK a été notamment créé en mars 2016 à Dakar. "Notre mouvement suivant le concept + s’occuper du petit matin des populations en attendant le grand soir+ va promouvoir des actions de développement par le biais d’un encadrement des populations afin de les aider à mettre en place des activités génératrices de revenus’’, a expliqué Me Ngom.
"Il s’agit d’aider les populations à la base à être des acteurs majeurs du développement dans le cadre de l’émergence du pays. Il ne faudrait pas au moment de l’émergence qu’un groupe s’accapare des fruits de la croissance en laissant les braves populations en rade’’, a-t-il fait valoir.
Selon lui, cette approche traduit un nouvel engagement politique en faveur des populations. ‘’Ce qui est nouveau c’est l’adhésion de responsables de groupements d’intérêt économique (GIE) et de guides religieux qui s’adressent à la conscience des populations’’, a-t-il fait valoir.
"Libéral Ca Kanam se veut un réceptacle et un moyen pour tous ceux qui ont une sensibilité ou une fibre libérale de se retrouver et d’aller de l’avant pour mettre en œuvre plus rapidement et plus vigoureusement les idéaux du libéralisme social’’, lit-on dans une déclaration faisant office de profession de foi dudit mouvement.
"Suivant le slogan +La démocratie économique pour le développement du Sénégal et l’épanouissement intégral de tous ses enfants+ le mouvement entend promouvoir la formation, l’information en vue d’ancrer au Sénégal en Afrique, une culture de respect des libertés, de paix et de solidarité’’, indique la même source.
Agé d’une soixantaine d’années, le dernier ministre de l’Intérieur sous la présidence d’Abdoulaye Wade (2000-2012) est un acteur de premier plan de la classe politique sénégalaise.
Plusieurs fois ministres, il a la particularité d’avoir cheminé avec les prédécesseurs du président Macky Sall. D’abord en tant que numéro deux du Parti démocratique sénégalais (PDS) alors dans l’opposition et ensuite secrétaire général du Parti libéral sénégalais (formation politique née des flancs du PDS).
Avec la casquette de leader du PLS, il soutient la candidature du président Abdou Diouf en 2000. Me Ngom va par la suite dissoudre son parti au sein du PDS après l’arrivée de Wade au pouvoir.
Aujourd’hui président du mouvement Libéral Ca Kanam, il se présente comme un acteur de la mouvance présidentielle en envisageant de soutenir la réélection du président Macky Sall à la prochaine élection présidentielle prévue en 2019.
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