Avec la nouvelle vision du gouvernement présentée ce matin, les défis sont énormes. C'est une vision à l'horizon 2050, déclinée depuis des semaines et qui met en évidence un schéma directeur sur 5 ans, sur ce que sera l'avenir du Sénégal. Selon Marie Rose Faye, directrice générale de l’Agence de Développement et d’Encadrement des Petites et Moyennes Entreprises (ADEPME), « l'idée est de mettre tout le monde à contribution, tous les Sénégalais, pour pouvoir mener à bien ce projet, pour sa réussite.
L'économie compétitive est l'un des premiers axes du projet présenté aujourd'hui, donc la formalisation des entreprises reste un défi. « Nous devons aller vers une économie formelle, avec un pays avec plus de 98% d'entreprises informelles, nous ne pouvons plus continuer, nous ne pouvons pas nous développer. Je rappelle que l'ADPME va jouer un rôle fondamental dans l'accompagnement de la formalisation, au-delà de la formalisation administrative, parce que c'est ce que tout le monde sait de la formalisation, mais en fait il y a d'autres axes », a t-elle expliqué.
En plus de la formalisation administrative, il faut, dira Marie Rose Faye, « aider les petites et moyennes entreprises à maintenir une situation financière simple, à avoir des responsabilités, pouvoir bénéficier d'une couverture sociale et à pouvoir également disposer d’un emploi décent. Tout cela fait partie de la formalisation. D’ailleurs, il existe un vaste programme qui sera développé dans ce sens. Et nous allons aussi travailler sur l'attractivité, sur les avantages de la formalisation », indique t-elle.
Aussi, une collaboration avec la DGID pour travailler sur les aspects de fiscalité dans le cadre de la formalisation est attendue. Et tout ceci, est pris en compte par le nouveau référentiel. « Aujourd’hui, l’accès au financement dont nous parlons, au marché, passe d’abord par la formalisation. C’est là que nous avons les avantages de la formalisation. Maintenant, la fiscalité doit nous permettre d'avoir un environnement peut-être plus simple, plus adapté au type d'entreprise que nous avons aujourd'hui, à savoir la micro et la petite. Nous allons travailler là-dessus ensemble, et donc la formalisation commencera à la base pour avoir une économie », dira la directrice de l’ADEPME.
Tout ceci, dans une parfaite synergie avec les différentes agences, les structures d'accompagnement. « Nous devons travailler pour avoir cette énergie et cette intervention commune, plus réfléchie », servira t-elle en conclusion.
L'économie compétitive est l'un des premiers axes du projet présenté aujourd'hui, donc la formalisation des entreprises reste un défi. « Nous devons aller vers une économie formelle, avec un pays avec plus de 98% d'entreprises informelles, nous ne pouvons plus continuer, nous ne pouvons pas nous développer. Je rappelle que l'ADPME va jouer un rôle fondamental dans l'accompagnement de la formalisation, au-delà de la formalisation administrative, parce que c'est ce que tout le monde sait de la formalisation, mais en fait il y a d'autres axes », a t-elle expliqué.
En plus de la formalisation administrative, il faut, dira Marie Rose Faye, « aider les petites et moyennes entreprises à maintenir une situation financière simple, à avoir des responsabilités, pouvoir bénéficier d'une couverture sociale et à pouvoir également disposer d’un emploi décent. Tout cela fait partie de la formalisation. D’ailleurs, il existe un vaste programme qui sera développé dans ce sens. Et nous allons aussi travailler sur l'attractivité, sur les avantages de la formalisation », indique t-elle.
Aussi, une collaboration avec la DGID pour travailler sur les aspects de fiscalité dans le cadre de la formalisation est attendue. Et tout ceci, est pris en compte par le nouveau référentiel. « Aujourd’hui, l’accès au financement dont nous parlons, au marché, passe d’abord par la formalisation. C’est là que nous avons les avantages de la formalisation. Maintenant, la fiscalité doit nous permettre d'avoir un environnement peut-être plus simple, plus adapté au type d'entreprise que nous avons aujourd'hui, à savoir la micro et la petite. Nous allons travailler là-dessus ensemble, et donc la formalisation commencera à la base pour avoir une économie », dira la directrice de l’ADEPME.
Tout ceci, dans une parfaite synergie avec les différentes agences, les structures d'accompagnement. « Nous devons travailler pour avoir cette énergie et cette intervention commune, plus réfléchie », servira t-elle en conclusion.
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