La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), ARTICLE 19/Afrique de l’ouest et Amnesty International Sénégal sont préoccupés par les arrestations et la détention dans des commissariats de police de Dakar de leaders de l’opposition et de la société civile qui participaient à une manifestation pacifique contre l’adoption d’un projet de loi sur le parrainage aux élections présidentielles.
Selon des informations recueillies auprès de leurs partis et mouvements, Idrissa Seck, Président du parti Rewmi , El Hadji Malick Gakou, leader du Grand Parti, Kilifeu du mouvement Y en a marre et Guy Marius Sagna du Collectif « France dégage » sont détenus au commissariat central de Dakar. Les avocats d’Idrissa Seck n’auraient pas été autorisés à le voir par la police, en violation flagrante de lois en vigueur au Sénégal.
Nous, organisations de droits humains demandons au gouvernement du Sénégal :
- De respecter le droit au rassemblement et à la manifestation pacifique garanti par des traités internationaux et régionaux de droits humains auxquels le Sénégal est partie ainsi que par la Constitution du pays ;
- De libérer immédiatement et sans condition les leaders de l’opposition et de la société civile arrêtés.
Nous dénoncent vigoureusement l’usage excessif de la force par la police et la gendarmerie contre des manifestants pacifiques.
Ont signé :
Sadikh NIASS, RADDHO : 77 633 87 13
Assane Dioma NDIAYE, LSDH : 77 638 79 13
Fatou Jagne Senghor, Article 19/Afrique de l’ouest : 77 333 58 45
Seydi GASSAMA, AI Sénégal : 77 636 89 59
Selon des informations recueillies auprès de leurs partis et mouvements, Idrissa Seck, Président du parti Rewmi , El Hadji Malick Gakou, leader du Grand Parti, Kilifeu du mouvement Y en a marre et Guy Marius Sagna du Collectif « France dégage » sont détenus au commissariat central de Dakar. Les avocats d’Idrissa Seck n’auraient pas été autorisés à le voir par la police, en violation flagrante de lois en vigueur au Sénégal.
Nous, organisations de droits humains demandons au gouvernement du Sénégal :
- De respecter le droit au rassemblement et à la manifestation pacifique garanti par des traités internationaux et régionaux de droits humains auxquels le Sénégal est partie ainsi que par la Constitution du pays ;
- De libérer immédiatement et sans condition les leaders de l’opposition et de la société civile arrêtés.
Nous dénoncent vigoureusement l’usage excessif de la force par la police et la gendarmerie contre des manifestants pacifiques.
Ont signé :
Sadikh NIASS, RADDHO : 77 633 87 13
Assane Dioma NDIAYE, LSDH : 77 638 79 13
Fatou Jagne Senghor, Article 19/Afrique de l’ouest : 77 333 58 45
Seydi GASSAMA, AI Sénégal : 77 636 89 59
Autres articles
-
Thiès: Deux investis de "And Bessal Sénégal" quittent la coalition de Abdoulaye Sylla et rejoignent l'inter-coalition
-
Uranium: Orano suspend "à titre provisoire" ses dépenses d'extraction au Niger
-
Sénégal-législatives : Google Trends prédit un vaste raz-de-marée en faveur de Sonko
-
Affaire Amadou Dicko / Détournement à la Société Générale Sénégal : La toile se tisse, six nouvelles inculpations et un préjudice qui flambe...
-
Mali: l'ONU rétrocède le dernier camp de l'ex-mission de Casques bleus