Ne peut-on pas appeler bandits des gens dont la seule norme est le profit ? Comment peut-on accepter que dix(10) kilomètres du littoral du département de Louga soient affectés à une SARL espagnole mue par des intérêts impitoyables et dont le seul objectif est de réaliser des profits même s’il faut affamer, tuer des millions de gens ?
L’implantation d’une usine de démolition de bateaux n’est pas une solution au chômage des jeunes à Potou, lorsqu’il provoque directement ou indirectement l'expulsion des familles paysannes, la destruction des produits maraichers, la raréfaction puis la disparition des produits halieutiques. L’expérience des cimetières de bateaux à Alang en Inde suffit à empêcher ces conséquences dramatiques.
INDIGNONS-NOUS.
Le destin des populations lougatoises, particulièrement celles de la communauté rurale de Léona dépend des calculs de tels bandits affichés , promoteurs dudit projet machiavélique que la Mauritanie a d’ailleurs rejeté à juste raison
En effet ces navires en fin de vie que l’on voudrait démolir à Potou contiennent de nombreux produits toxiques :dangereux , qui posent un problème de la sécurité des hommes qui travailleront dans ces chantiers d'une part et celui de la dissémination de déchets dangereux dans l’environnement marin
Ainsi , la pollution de la nappe phréatique certaine sur une bonne quinzaine de kilomètres à la ronde empêchera désormais la possibilité des cultures maraichers qui assurent 150 000 T d’oignon aux agriculteurs de la localité et partant une perte d’emploi de 79% des jeunes de la sous-région, tous soutien de famille
Les populations du département de Louga respirant l’alizé qui se déplace de l’Ouest vers l’Est seront tous exposées à des déchets lourds cancérigènes .
ALORS RESISTONS ET DISONS NON, Non au mépris, Non à l’irrésistible extension du secteur privé. Non à l’exclusion. Non à la mort, chaque jour, de milliers d’enfants. Non à la destruction de l’environnement, non aux déchets lourds cancérigènes , Non à la disparition du parc de Djiouth sur la langue de Babari ,Non à la perte d’emploi des maraichers ,Non aux autorités qui nous mentent , Non aux corrompus qui signent pour accepter ce projet.
RESISTONS aux promesses mirobolantes de cité ouvrière, pour discerner le fondamental de l'accessoire, et déjouer les pièges de PARROMETAL NAVAL S.L ESPANA et ses acolytes corrompus au Sénégal que sont PERROMETAL SENEGAL SARL, le Conseil Régional de Louga et bien d’autres individus véreux
Osons refuser et dire Non. Ne cédons pas aux injonctions d’une minuscule oligarchie,
Comme il nous faut, bien souvent, aller à l’encontre de lois adoptées sans que nous ayons été consultés, disons Non à l’affectation de dix(10) kilomètres du littoral à cette SARL et à ses comploteurs, Nous sommes dans l’obligation, nous tous, de contrevenir à cette entreprise macabre qui décimera des millions de personnes, toute la faune et toute la flore du département de Louga
Nous étions contestataires, nous le demeurons. Nous sommes hostiles à la société des bandits et de corrompus, nous devons nous y opposer de toutes nos forces
L’an 2012 doit représenter le début d’une ère de fidélité à un événement qui a eu lieu, le 23 juin. Ainsi, l’attitude la plus cohérente consiste à refuser l’injustice..
Louga, le 10 avril 2012
Des Lougatois indignés
L’implantation d’une usine de démolition de bateaux n’est pas une solution au chômage des jeunes à Potou, lorsqu’il provoque directement ou indirectement l'expulsion des familles paysannes, la destruction des produits maraichers, la raréfaction puis la disparition des produits halieutiques. L’expérience des cimetières de bateaux à Alang en Inde suffit à empêcher ces conséquences dramatiques.
INDIGNONS-NOUS.
Le destin des populations lougatoises, particulièrement celles de la communauté rurale de Léona dépend des calculs de tels bandits affichés , promoteurs dudit projet machiavélique que la Mauritanie a d’ailleurs rejeté à juste raison
En effet ces navires en fin de vie que l’on voudrait démolir à Potou contiennent de nombreux produits toxiques :dangereux , qui posent un problème de la sécurité des hommes qui travailleront dans ces chantiers d'une part et celui de la dissémination de déchets dangereux dans l’environnement marin
Ainsi , la pollution de la nappe phréatique certaine sur une bonne quinzaine de kilomètres à la ronde empêchera désormais la possibilité des cultures maraichers qui assurent 150 000 T d’oignon aux agriculteurs de la localité et partant une perte d’emploi de 79% des jeunes de la sous-région, tous soutien de famille
Les populations du département de Louga respirant l’alizé qui se déplace de l’Ouest vers l’Est seront tous exposées à des déchets lourds cancérigènes .
ALORS RESISTONS ET DISONS NON, Non au mépris, Non à l’irrésistible extension du secteur privé. Non à l’exclusion. Non à la mort, chaque jour, de milliers d’enfants. Non à la destruction de l’environnement, non aux déchets lourds cancérigènes , Non à la disparition du parc de Djiouth sur la langue de Babari ,Non à la perte d’emploi des maraichers ,Non aux autorités qui nous mentent , Non aux corrompus qui signent pour accepter ce projet.
RESISTONS aux promesses mirobolantes de cité ouvrière, pour discerner le fondamental de l'accessoire, et déjouer les pièges de PARROMETAL NAVAL S.L ESPANA et ses acolytes corrompus au Sénégal que sont PERROMETAL SENEGAL SARL, le Conseil Régional de Louga et bien d’autres individus véreux
Osons refuser et dire Non. Ne cédons pas aux injonctions d’une minuscule oligarchie,
Comme il nous faut, bien souvent, aller à l’encontre de lois adoptées sans que nous ayons été consultés, disons Non à l’affectation de dix(10) kilomètres du littoral à cette SARL et à ses comploteurs, Nous sommes dans l’obligation, nous tous, de contrevenir à cette entreprise macabre qui décimera des millions de personnes, toute la faune et toute la flore du département de Louga
Nous étions contestataires, nous le demeurons. Nous sommes hostiles à la société des bandits et de corrompus, nous devons nous y opposer de toutes nos forces
L’an 2012 doit représenter le début d’une ère de fidélité à un événement qui a eu lieu, le 23 juin. Ainsi, l’attitude la plus cohérente consiste à refuser l’injustice..
Louga, le 10 avril 2012
Des Lougatois indignés
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