1. Il a ignoré sa fille
A 23 ans, Steve Jobs se retrouve papa d’une petite fille. Pendant des années, il refuse de reconnaître sa paternité, même devant tribunal. Des années plus tard, il finira par réaliser son erreur et tentera de nouer des liens avec sa fille.
2. Il a engagé John Sculley
En 1983, Steve Jobs, alors âgé de 28 ans, demande à l’homme d’affaires John Sculley de prendre la tête d’Apple. Le but de la manœuvre était qu’ils dirigent la société ensemble. Mais l’histoire se déroule autrement : Jobs et Sculley entrent en conflit et après quelques grossières erreurs, Steve Jobs est mis à la porte du conseil d’administration d’Apple. Sculley reste et offre au départ de très bonnes prestations. Jusqu’au moment où les ventes commencent à baisser drastiquement. Après 10 ans de bons et loyaux services, Sculley reçoit son C4.
3. Il s’est débarrassé de ses actions Apple
Après son licenciement en 1985, Steve Jobs décide de se débarrasser de toutes ses actions Apple. Certainement pas son idée la plus intelligente… Heureusement, il s’est bien rattrapé par la suite et n’est aujourd’hui absolument pas à plaindre au niveau financier.
4. Il a fait un fiasco avec NeXT
Après son licenciement de chez Apple, Steve Jobs ne reste pas à se tourner les pouces. Il développe le système d’exploitation NeXT. Mais les ventes sont très décevantes et l’entreprise doit alors se concentrer sur les softwares. Jobs arrive quand même à tirer son épingle du jeu: il revendra la société à Apple pour 249 millions de dollars.
5. Il a été lié au scandale des actions Apple
Il y a quelques années, Steve Jobs a été mêlé au scandale des actions Apple: les top managers s’attribueraient des options d’action antidatées. Antidater des actions permet à d’augmenter la valeur des options. Cette pratique a depuis été reprise par plusieurs entreprises technologiques.
6. Il a fait confiance à Eric Schmidt
De 2006 à 2009, Eric Schmidt, l’un des patrons de Google, est également membre du conseil d’administration d’Apple. Il y a été invité grâce à son expérience et son expertise. Comme par hasard, Google a commencé à investir les mêmes domaines d’action qu’Apple: les tablettes digitales, les smartphones et les ordinateurs. En 2009, Apple a donc jugé préférable de demander à Schmidt de quitter le conseil d’administration.
7. Il n’est pas le champion du service clientèle
Après la commercialisation de l’iPhone 4, beaucoup de clients se sont plaints de problèmes de réseau. Un client lui a d’ailleurs envoyé u e-mail, se plaignant que le signal du réseau perdait en intensité lorsqu’il tenait son téléphone de la main gauche. Ce à quoi Jobs a cru bon de répondre: “Faites en sorte de ne pas tenir votre téléphone de cette façon”.
Résultat: un client déconfit et une gaffe qui a fait le tour du monde.
8. La philanthropie, ce n’est pas son truc
La fortune de Steve Jobs vaut des milliards de dollars, mais il n’en reverse pas un centime à la bonne cause. Peut-être devrait-il prendre quelques leçons auprès de Bill Gates?
9. Il a laissé échapper AdMob
Il y a deux ans, Apple a fait une offre de 600 millions de dollars pour racheter la société AdMob, spécialisé en publicité mobile. AdMob accepte l’offre et Apple dispose de 45 jours pour confirmer l’achat. Mais la société à la pomme laisse le temps s’écouler sans réagir. C’est alors que Google a saisi sa chance et s’est emparé d’AdMob pour 750 millions de dollars.
10. Il a conclu un partenariat exclusif avec AT&T
Pour l’exploitation de l’iPhone, Apple a conclu un partenariat exclusif avec la société télécom américaine AT&T. Nombreux sont ceux qui se demandent à quoi ressemblerait le paysage des smartphones aujourd’hui si Apple s’était embarqué avec Verizon, par exemple. C’est en effet l’une des compagnies télécom qui a lancé pour la 1ere fois un Androïd sur le marché.
Source: Business Insider
A 23 ans, Steve Jobs se retrouve papa d’une petite fille. Pendant des années, il refuse de reconnaître sa paternité, même devant tribunal. Des années plus tard, il finira par réaliser son erreur et tentera de nouer des liens avec sa fille.
2. Il a engagé John Sculley
En 1983, Steve Jobs, alors âgé de 28 ans, demande à l’homme d’affaires John Sculley de prendre la tête d’Apple. Le but de la manœuvre était qu’ils dirigent la société ensemble. Mais l’histoire se déroule autrement : Jobs et Sculley entrent en conflit et après quelques grossières erreurs, Steve Jobs est mis à la porte du conseil d’administration d’Apple. Sculley reste et offre au départ de très bonnes prestations. Jusqu’au moment où les ventes commencent à baisser drastiquement. Après 10 ans de bons et loyaux services, Sculley reçoit son C4.
3. Il s’est débarrassé de ses actions Apple
Après son licenciement en 1985, Steve Jobs décide de se débarrasser de toutes ses actions Apple. Certainement pas son idée la plus intelligente… Heureusement, il s’est bien rattrapé par la suite et n’est aujourd’hui absolument pas à plaindre au niveau financier.
4. Il a fait un fiasco avec NeXT
Après son licenciement de chez Apple, Steve Jobs ne reste pas à se tourner les pouces. Il développe le système d’exploitation NeXT. Mais les ventes sont très décevantes et l’entreprise doit alors se concentrer sur les softwares. Jobs arrive quand même à tirer son épingle du jeu: il revendra la société à Apple pour 249 millions de dollars.
5. Il a été lié au scandale des actions Apple
Il y a quelques années, Steve Jobs a été mêlé au scandale des actions Apple: les top managers s’attribueraient des options d’action antidatées. Antidater des actions permet à d’augmenter la valeur des options. Cette pratique a depuis été reprise par plusieurs entreprises technologiques.
6. Il a fait confiance à Eric Schmidt
De 2006 à 2009, Eric Schmidt, l’un des patrons de Google, est également membre du conseil d’administration d’Apple. Il y a été invité grâce à son expérience et son expertise. Comme par hasard, Google a commencé à investir les mêmes domaines d’action qu’Apple: les tablettes digitales, les smartphones et les ordinateurs. En 2009, Apple a donc jugé préférable de demander à Schmidt de quitter le conseil d’administration.
7. Il n’est pas le champion du service clientèle
Après la commercialisation de l’iPhone 4, beaucoup de clients se sont plaints de problèmes de réseau. Un client lui a d’ailleurs envoyé u e-mail, se plaignant que le signal du réseau perdait en intensité lorsqu’il tenait son téléphone de la main gauche. Ce à quoi Jobs a cru bon de répondre: “Faites en sorte de ne pas tenir votre téléphone de cette façon”.
Résultat: un client déconfit et une gaffe qui a fait le tour du monde.
8. La philanthropie, ce n’est pas son truc
La fortune de Steve Jobs vaut des milliards de dollars, mais il n’en reverse pas un centime à la bonne cause. Peut-être devrait-il prendre quelques leçons auprès de Bill Gates?
9. Il a laissé échapper AdMob
Il y a deux ans, Apple a fait une offre de 600 millions de dollars pour racheter la société AdMob, spécialisé en publicité mobile. AdMob accepte l’offre et Apple dispose de 45 jours pour confirmer l’achat. Mais la société à la pomme laisse le temps s’écouler sans réagir. C’est alors que Google a saisi sa chance et s’est emparé d’AdMob pour 750 millions de dollars.
10. Il a conclu un partenariat exclusif avec AT&T
Pour l’exploitation de l’iPhone, Apple a conclu un partenariat exclusif avec la société télécom américaine AT&T. Nombreux sont ceux qui se demandent à quoi ressemblerait le paysage des smartphones aujourd’hui si Apple s’était embarqué avec Verizon, par exemple. C’est en effet l’une des compagnies télécom qui a lancé pour la 1ere fois un Androïd sur le marché.
Source: Business Insider
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