Saleh, contesté par la rue depuis janvier, a été blessé et partiellement brûlé dans un attentat contre son palais présidentiel le 3 juin. Le président, qui a accédé au pouvoir en 1978, avait annoncé le 16 août qu'il serait prochainement de retour dans son pays.
Son retour, salué par des tirs d'armes automatiques et des explosions dans la capitale, a été annoncé dans la matinée par la télévision nationale yéménite.
Les combats se sont intensifiés peu après l'annonce du retour surprise à Sanaa du président Ali Abdallah Saleh, ses forces n'hésitant pas à bombarder certains quartiers de la capitale à l'arme lourde. "Nous nous dirigeons à coup sûr vers une escalade de la violence, mais laissons-le revenir", a déclaré un organisateur des manifestations anti-Saleh, Mohamed Asl. "Nous voulons qu'il revienne et qu'il soit jugé pour ses crimes."
Les affrontements entre partisans et opposants au régime du président Saleh se sont propagés à travers la capitale Sanaa, faisant 16 morts, jeudi 22 septembre.
DES MANIFESTATIONS PRÉVUES VENDREDI
Les manifestants ont prévu de descendre dans les rues de la capitale après les grandes prières hebdomadaires de ce vendredi, ce qui augure d'une poursuite des affrontements entre les fidèles du chef de l'Etat et ceux qui réclament son départ du pouvoir.
Après cinq jours de combats, le bilan dépasse les 100 morts. Très contesté depuis janvier dans la rue, M. Saleh refuse de quitter le pouvoir et l'on ignore dans l'immédiat les motifs ou l'objectif de son retour au pays.
Son retour, salué par des tirs d'armes automatiques et des explosions dans la capitale, a été annoncé dans la matinée par la télévision nationale yéménite.
Les combats se sont intensifiés peu après l'annonce du retour surprise à Sanaa du président Ali Abdallah Saleh, ses forces n'hésitant pas à bombarder certains quartiers de la capitale à l'arme lourde. "Nous nous dirigeons à coup sûr vers une escalade de la violence, mais laissons-le revenir", a déclaré un organisateur des manifestations anti-Saleh, Mohamed Asl. "Nous voulons qu'il revienne et qu'il soit jugé pour ses crimes."
Les affrontements entre partisans et opposants au régime du président Saleh se sont propagés à travers la capitale Sanaa, faisant 16 morts, jeudi 22 septembre.
DES MANIFESTATIONS PRÉVUES VENDREDI
Les manifestants ont prévu de descendre dans les rues de la capitale après les grandes prières hebdomadaires de ce vendredi, ce qui augure d'une poursuite des affrontements entre les fidèles du chef de l'Etat et ceux qui réclament son départ du pouvoir.
Après cinq jours de combats, le bilan dépasse les 100 morts. Très contesté depuis janvier dans la rue, M. Saleh refuse de quitter le pouvoir et l'on ignore dans l'immédiat les motifs ou l'objectif de son retour au pays.
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