Le PDS se lance dans la bataille de l’opinion.


Le PDS se lance dans la bataille de l’opinion.

DAKARACTU.COM Dans son entreprise de reprise en main de la situation, le camp présidentiel concocte une stratégie qui prend en compte la dimension de la communication. Ayant vu son image laminée par une presse virulente, une société civile combattive et une opposition coriace, le régime réagit. Usant des Ntic, il envisage de créer un GFU (groupe fermé d’utilisateurs) sur une plateforme dénommée E-Sopi. Depuis le comité directeur du jeudi, le porte-parole du PDS, Babacar Gaye, est passé à l’offensive, alternant conférence de presse et sorties dans les médias. Une cellule de communication a été mise en place au sein du parti, pilotée par l’ex-garde des sceaux Me Amadou Sall et renforcée par le ministre du Tourisme, Thierno Lô. Sentant perdre la bataille de l’opinion ; le parti présidentiel veut occuper les médias, faire entendre son son de cloche et « mettre fin à la désinformation orchestrée par l’opposition et une société civile politisée. » Mais aussi tenter de regagner le terrain perdu et entièrement occupé par ses adversaires auprès des chancelleries en poste dans le pays. Le régime voit dans son  lâchage par la France et les Etats-Unis un signe de l’hostilité à son égard des ambassadeurs de ces pays à Dakar.

Samedi 9 Juillet 2011




1.Posté par migui le 10/07/2011 02:15
peine perdue , il ya 11 de cela cetait les senegalais eux meme qui defendaient WADE et son regime dans les rues , aujourdhui ce sont ces meme senegalais qui on vomis WADE et son regime A CAUSE DE LA CORRUPTION , DE LA MAUVAISE GESTION DES INSTITUTIONS DU PAYS , DE L'EXECUTION ARBITRAIRE DE L'ETIQUE ET LE MORALE DANS PAYS .
LES VALEURS NE COMPTENT PLUIS AU SENEGAL.

2.Posté par Yérim le 10/07/2011 07:09
Au PDS, il y a trois types de responsables : Les activistes, qui ne cherchent qu'à remplir leurs poches, maname se servir du pouvoir, les gens plus ou moins bien qui ont démissionné de fait, parce que n'étant associés à rien (sou teuyé sène lokho, même si ils n'ont pas démissionné ouvertement) et les fous du roi, qui ne savent rien du parti et de l'Etat, mais sont, soit des wadistes fanatiques, soit des gens incultes, et qui passent leur temps à parler à tort et a travers de question qu'ils ne maîtrisent pas. Dans ce contexte politique précis, la communication et du parti et de l'Etat restera toujours cahoteuse. La réussite de la communication d'un parti au pouvoir repose sur trois variable : une communication interne impeccable
- une élite politique bien informée, bien imprégnée des dossiers de l'Etat, capable de prendre en charge la polémique politique et politicienne, tout en évitant les risques de fuite, car ceux qui n'ont pas de poste de responsabilité ont tendance à vouloir discréditer ceux qui en ont; éviter que les nécessaires guerres politiques internes ne ternissent l'image globale du groupe)
- des services de relations publiques performantes (qui savent préparer des dossiers de presse et faire valoir leur version des faits),
- des thinks tank de haute qualité, capable d'anticiper sur les grandes questions d'actualité et surtout d'orienter celles-ci en faveur du parti.
Le PDS n'a ni les compétences ni les hommes pour mettre en place une infrastructure communicationnelle lui permettant d'exister médiatiquement. C'est une bande de faux rien qui ne font que voler les projets d'autrui.

3.Posté par Yérim le 10/07/2011 07:16
Au PDS, il y a trois types de responsables : Les activistes, qui ne cherchent qu'à remplir leurs poches, maname se servir du pouvoir, les gens plus ou moins bien qui ont démissionné de fait, parce que n'étant associés à rien (sou teuyé sène lokho, même si ils n'ont pas démissionné ouvertement) et les fous du roi, qui ne savent rien du parti et de l'Etat, mais sont, soit des wadistes fanatiques, soit des gens incultes, et qui passent leur temps à parler à tort et a travers de question qu'ils ne maîtrisent pas. Dans ce contexte politique précis, la communication et du parti et de l'Etat restera toujours cahoteuse. La réussite de la communication d'un parti au pouvoir repose sur trois variable :
- une communication interne impeccable.Donc, une élite politique bien informée, bien imprégnée des dossiers de l'Etat, capable de prendre en charge la polémique politique et politicienne, tout en évitant les risques de fuite, car ceux qui n'ont pas de poste de responsabilité ont tendance à vouloir discréditer ceux qui en ont; éviter que les nécessaires guerres politiques internes ne ternissent l'image globale du groupe)
- des services de relations publiques performantes (qui savent préparer des dossiers de presse et faire valoir leur version des faits),
- des thinks tank de haute qualité, capable d'anticiper sur les grandes questions d'actualité et surtout d'orienter celles-ci en faveur du parti.
Le PDS n'a ni les compétences ni les hommes pour mettre en place une infrastructure communicationnelle lui permettant d'exister médiatiquement. C'est une bande de faux rien qui ne font que voler les projets d'autrui.

4.Posté par moxtdou modou le 10/07/2011 08:28
la presse na rien a voir de la chute du pds,plutot les soitdisant membres qui ne font que remplir leurs poches
je me demande acctuellement est ce que le gouvernement fonctionne,est ce que ces ministres peuvent faire du bon boulot..ils sont tous paniques cherchant leurs fautes commises chez les autres.
cest cette population qui ont votee pour le sopi en 2000 et 2007 qui ont tournees le dos a wade et ont womis sur lui.vous pouvez faire tout jeux que vous connaissez ca nira pas.

5.Posté par Mbargou le 10/07/2011 12:21 (depuis mobile)
Je connais ces pantins. C encore l'occasion de bouffer bcp d'argent. Et puis on ne peut pas embellir ce qui est déjà pourri et hors saison. Le pds est mort.

6.Posté par Un passant le 10/07/2011 13:25
Je commente seulement la fin de l'article ! Au lieu de critiquer les Ambassadeurs de France et des Etats-Unis au Sénégal, le pouvoir exécutif ferait mieux de s’interroger sur le travail de l'Ambassadeur du Senegal en France et de l'Ambassadeur du Sénégal aux USA. Ses ambassadeurs ont-il eu le flair de construire leur réseau pouvant les mener directement au moins chez Hilary Clinton et Alain Juppe? Ont-ils suscité des amitiés parlementaires autour du Sénégal ? en fait il y une pédagogie de la diplomatie qui manque. Etre ambassadeur dans un pays qui compte politiquement dans le monde n'est pas la même chose qu’être ambassadeur qui compte financièrement. C est des stratégies différentes. Faut évaluer nos ambassadeurs dans ces pays.

7.Posté par bano le 10/07/2011 15:06
ils sont sur une autre planete

8.Posté par zeuf le 11/07/2011 13:39
le PDS sera battu a plate couture en 2012 comme c'était le cas en mars 2010



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