DAKARACTU.COM - Le pouvoir en veut aux journalistes et veut leur faire payer leur liberté de ton. Le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) et le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (Cdeps) en sont convaincus. Ils organisent la résistance.
Le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) et le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (Cdeps) ont remis au goût du jour le Comité pour la défense et la protection des journalistes (Cdpj) qui avait été créé après l’agression par la Brigade d’intervention polyvalente (Bip) des journalistes Boubacar Kambel Dieng, alors journaliste de la Radio Futurs Médias (Rfm), et Karamokho Thioune de West africain democracy radio (Wadr Fm).
« Nous exigeons toute la protection requise pour les journalistes »,a déclaré Madior Fall de Sud Quotidien. A ses yeux, les acteurs politiques seront tenus responsables de tout ce qui peut arriver à un journaliste dans l’exercice de ses fonctions.
Pour M. Fall, c’est injuste de dire que les journalistes sont contre le pouvoir : « Ce sont eux qui ont des problèmes. La presse n’est là que pour relayer ce qui se passe. Nous sommes là pour faire notre métier, et nous le ferons de la manière la plus responsable qui soit. »
Le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) et le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (Cdeps) ont remis au goût du jour le Comité pour la défense et la protection des journalistes (Cdpj) qui avait été créé après l’agression par la Brigade d’intervention polyvalente (Bip) des journalistes Boubacar Kambel Dieng, alors journaliste de la Radio Futurs Médias (Rfm), et Karamokho Thioune de West africain democracy radio (Wadr Fm).
« Nous exigeons toute la protection requise pour les journalistes »,a déclaré Madior Fall de Sud Quotidien. A ses yeux, les acteurs politiques seront tenus responsables de tout ce qui peut arriver à un journaliste dans l’exercice de ses fonctions.
Pour M. Fall, c’est injuste de dire que les journalistes sont contre le pouvoir : « Ce sont eux qui ont des problèmes. La presse n’est là que pour relayer ce qui se passe. Nous sommes là pour faire notre métier, et nous le ferons de la manière la plus responsable qui soit. »
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