L’utilisation du sel au stade Demba Diop suscite toujours polémique. En effet, en plus de la mesure du Comité national de gestion (Cng) de lutte d’interdire l’entrée des véhicules sur la piste d’athlétisme, la direction du stade vient de corser la dose. Cela, avec l’interdiction faite désormais aux lutteurs d’utiliser du sel sur la pelouse synthétique.
Car, d’après les spécialistes, le sel fait partie des produits qui dégradent la pelouse du stade, récemment réfectionné par l’Etat, pour près d’un demi-milliard de francs Cfa. C’est dire que maintenant, le feu, le lait et les œufs cassés, le sel font partie, entre autres, de la liste des produits interdits aux lutteurs au stade Demba Diop.
Ainsi, les managers sont invités à une réunion pour discuter de cette mesure qui renforce la récente sortie du Grand Serigne de Dakar. «Il est évident que les détériorations vont continuer. Que les gens de la lutte n’oublient pas qu’on leur prête le stade en attendant que nous ayons une arène nationale», a dit, avant-hier, Abdoulaye Makhtar Diop.
Profitant de l’organisation du face-à-face entre Sa Thiès et Lac Rose, hier, au Cices, Malick Thiandoum a fustigé l’attitude de la direction du stade Demba Diop. «S’asperger de lait, casser des œufs, utiliser le feu et verser le sel participent au charme de la lutte. Ces rituels participent aussi à la protection du lutteur du mauvais œil. Interdire ces pratiques, c’est dégrader l’image de la lutte et notre culture», a défendu le chroniqueur de lutte de la SenTv qui semble se soucier très peu des dégradations que la lutte cause à la pelouse synthétique de Demba Diop.
«Nous avons l’impression que la construction de l’arène nationale est devenue une chimère et non une réalité. Le président de la République doit savoir que la non-construction de notre arène nationale sera considérée comme une échec dans sa politique sportive», a-t-il d’ailleurs affirmé, comme pour enfoncer le clou.
Car, d’après les spécialistes, le sel fait partie des produits qui dégradent la pelouse du stade, récemment réfectionné par l’Etat, pour près d’un demi-milliard de francs Cfa. C’est dire que maintenant, le feu, le lait et les œufs cassés, le sel font partie, entre autres, de la liste des produits interdits aux lutteurs au stade Demba Diop.
Ainsi, les managers sont invités à une réunion pour discuter de cette mesure qui renforce la récente sortie du Grand Serigne de Dakar. «Il est évident que les détériorations vont continuer. Que les gens de la lutte n’oublient pas qu’on leur prête le stade en attendant que nous ayons une arène nationale», a dit, avant-hier, Abdoulaye Makhtar Diop.
Profitant de l’organisation du face-à-face entre Sa Thiès et Lac Rose, hier, au Cices, Malick Thiandoum a fustigé l’attitude de la direction du stade Demba Diop. «S’asperger de lait, casser des œufs, utiliser le feu et verser le sel participent au charme de la lutte. Ces rituels participent aussi à la protection du lutteur du mauvais œil. Interdire ces pratiques, c’est dégrader l’image de la lutte et notre culture», a défendu le chroniqueur de lutte de la SenTv qui semble se soucier très peu des dégradations que la lutte cause à la pelouse synthétique de Demba Diop.
«Nous avons l’impression que la construction de l’arène nationale est devenue une chimère et non une réalité. Le président de la République doit savoir que la non-construction de notre arène nationale sera considérée comme une échec dans sa politique sportive», a-t-il d’ailleurs affirmé, comme pour enfoncer le clou.
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