Quelle libération pour le stade de Bata ! Sur un contre, Javier Angel Balboa Osa battait le gardien libyen Aboud et ouvrait les festivités de cette 28e CAN, avant le second match Sénégal-Zambie. Ekanga aurait même pu doubler le score dans la foulée mais trouvait la barre (90e).
Les joueurs de Guinée équatoriale ont dans l'ensemble dominé les débats pour leur première participation à une CAN, sous les yeux du président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema et de celui de la Confédération africaine (CAF), Issa Hayatou.
Le bloc défensif équato-guinéen gênait les attaquants libyens, qui butaient sans relâche sur ce mur, avec le milieu défensif Konaté Mamadou Ben Esono officiant comme un troisième défenseur central.
Et ils n'avaient pas le renfort des milieux excentrés, qui ne prenaient pas leur couloir. Les "Chevaliers de la Méditerranée" se montraient plutôt attentistes, suivant un plan de jeu timoré.
Le sélectionneur de la Libye, Marcos Paqueta, l'avait dit: "La clef, ce sera de remporter le premier match parce que, si nous le perdons, il faudra prendre plus de risques lors du deuxième match et ouvrir des espaces".
Une manière d'annoncer une certaine prudence. Le bilan offensif des Libyens frisait finalement le zéro, avec deux frappes sans danger pour seules occasions (32e, 58e). Et c'est le Nzalang qui s'est créé les meilleures occasions, notamment au bout du premier quart d'heure, avec une frappe déjà de Balboa Osa difficilement repoussée par le gardien (16e) et surtout ce tir du capitaine Juvenal Edjogo Owono Montalban sur le poteau (18e). Dans la continuité, Ivan Bolado Palacios (un des trois Sud-Américains naturalisés) reprenait et marquait, mais était signalé hors-jeu.
Fausse joie pour le stade de Bata, prompt à s'enflammer. D'autant que ce temps fort n'allait plus revenir, la suite se révélant plus ronronnante, hormis ce coup franc lointain de Laurence Doe (73e) et un centre-tir d'Iyanga Travieso (78e) détournés par Samir Aboud. Jusqu'à ce que Balboa ne mette les Libyens KO. (afp)
Les joueurs de Guinée équatoriale ont dans l'ensemble dominé les débats pour leur première participation à une CAN, sous les yeux du président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema et de celui de la Confédération africaine (CAF), Issa Hayatou.
Le bloc défensif équato-guinéen gênait les attaquants libyens, qui butaient sans relâche sur ce mur, avec le milieu défensif Konaté Mamadou Ben Esono officiant comme un troisième défenseur central.
Et ils n'avaient pas le renfort des milieux excentrés, qui ne prenaient pas leur couloir. Les "Chevaliers de la Méditerranée" se montraient plutôt attentistes, suivant un plan de jeu timoré.
Le sélectionneur de la Libye, Marcos Paqueta, l'avait dit: "La clef, ce sera de remporter le premier match parce que, si nous le perdons, il faudra prendre plus de risques lors du deuxième match et ouvrir des espaces".
Une manière d'annoncer une certaine prudence. Le bilan offensif des Libyens frisait finalement le zéro, avec deux frappes sans danger pour seules occasions (32e, 58e). Et c'est le Nzalang qui s'est créé les meilleures occasions, notamment au bout du premier quart d'heure, avec une frappe déjà de Balboa Osa difficilement repoussée par le gardien (16e) et surtout ce tir du capitaine Juvenal Edjogo Owono Montalban sur le poteau (18e). Dans la continuité, Ivan Bolado Palacios (un des trois Sud-Américains naturalisés) reprenait et marquait, mais était signalé hors-jeu.
Fausse joie pour le stade de Bata, prompt à s'enflammer. D'autant que ce temps fort n'allait plus revenir, la suite se révélant plus ronronnante, hormis ce coup franc lointain de Laurence Doe (73e) et un centre-tir d'Iyanga Travieso (78e) détournés par Samir Aboud. Jusqu'à ce que Balboa ne mette les Libyens KO. (afp)
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