La forte pollution aux particules qui a débuté jeudi s'est accentuée ce vendredi avec un indice de qualité de l'air qui passe en alerte rouge, c’est-à-dire ‘’très mauvais’’, selon le Centre de gestion de la qualité de l’air.
‘’Les effets de la poussière désertique, couplés à ceux de la densification du trafic, notamment avec les véhicules à moteur diesel sont les principaux facteurs à l'origine de cette dégradation de la qualité de l'air’’, relève cette structure dans un communiqué reçu à l’APS.
Elle estime que la vigilance doit être ‘’de mise pour tous, d'autant plus que cette tendance pourrait se maintenir jusqu'au 15 mars’’.
Le Centre de gestion de la qualité de l’air recommande de ‘’respecter scrupuleusement tout traitement médical en cours, ou l'adapter sur avis d'un médecin, consulter un médecin en cas d'aggravation ou d’apparition de tout symptôme évocateur (toux, gêne respiratoire, irritation de la gorge ou des yeux)’’.
Il faut également ‘’ éviter toute activité physique ou sportive intense (notamment compétition) augmentant de façon importante le volume d'air et de polluants inhalés’’, selon le centre.
La structure ajoute qu’il y a lieu de ‘’veiller à ne pas aggraver les effets de cette pollution par d'autres facteurs irritants des voies respiratoires, tels que l'usage de solvants et surtout la fumée de tabac’’.
Selon le centre toujours, ‘’les enfants, les asthmatiques, et les personnes âgées devraient éviter de s'exposer longuement à l'air extérieur pendant la période’’.
‘’Les effets de la poussière désertique, couplés à ceux de la densification du trafic, notamment avec les véhicules à moteur diesel sont les principaux facteurs à l'origine de cette dégradation de la qualité de l'air’’, relève cette structure dans un communiqué reçu à l’APS.
Elle estime que la vigilance doit être ‘’de mise pour tous, d'autant plus que cette tendance pourrait se maintenir jusqu'au 15 mars’’.
Le Centre de gestion de la qualité de l’air recommande de ‘’respecter scrupuleusement tout traitement médical en cours, ou l'adapter sur avis d'un médecin, consulter un médecin en cas d'aggravation ou d’apparition de tout symptôme évocateur (toux, gêne respiratoire, irritation de la gorge ou des yeux)’’.
Il faut également ‘’ éviter toute activité physique ou sportive intense (notamment compétition) augmentant de façon importante le volume d'air et de polluants inhalés’’, selon le centre.
La structure ajoute qu’il y a lieu de ‘’veiller à ne pas aggraver les effets de cette pollution par d'autres facteurs irritants des voies respiratoires, tels que l'usage de solvants et surtout la fumée de tabac’’.
Selon le centre toujours, ‘’les enfants, les asthmatiques, et les personnes âgées devraient éviter de s'exposer longuement à l'air extérieur pendant la période’’.
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