DAKARACTU.COM Une question hante bien des esprits. Le scrutin du 26 février peut-il se tenir en toute quiétude et de façon claire qui ne mette aucun doute sur sa sécurité et sa sincérité ? De nombreuses sources, corroborées par des éléments d’appréciation notables, laissent entendre que des tentatives de sabotage du processus électoral devraient être entreprises par des acteurs de l’opposition opposés à la participation d’Abdoulaye Wade à cette élection. Selon des sources proches des renseignements dont nous disposons, il est de plus en plus clair qu’une bonne partie de l’opposition fait des pieds et des mains pour que la présidentielle n’ait pas lieu à date échue. Il s’agit, pour y parvenir, d’accentuer la pression de la rue en faisant participer des jeunes organisés en bande pour créer une guérilla urbaine qui insécuriserait les populations, dans le but de les faire rester chez elles le jour du vote. Selon des notes de renseignements dont nous avons pu avoir connaissance, il apparaît que trois stratégies sont à l’étude. La première consiste à envoyer le jour du scrutin des groupes de jeunes dans la rue incendier des pneumatiques. La deuxième, à attaquer les bureaux de vote, détruisant et les urnes et les bulletins de vote. Une troisième piste étudiée pour mettre le processus en péril pourrait être le fait de mercenaires, dont d’ailleurs tout le monde se met à parler en même temps, lesquels porteraient atteinte à la vie même des membres des forces de sécurité, ou à celle d’une personnalité politique de quelque bord que ce soit. Une stratégie chaotique qu’on n’espère ne pas voir se réaliser.
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